Festival Circulation(s) #15 : Entretien avec Clara Chalou, direction artistique, collectif Fetart 8 avril 2025
Sensibilités partagées à la Galerie Echo 119. Rencontre avec Salomé d’Ornano et Kinuko Asano 7 avril 2025
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) 26 mars 2025
Masterclass Oeildeep : « Syncopée Méditerranée / Marseille », une série de Pierryl Peytavi 4 avril 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 6) 31 mars 2025
Art Brut d’Iran à la Halle Saint Pierre, entre traditions millénaires et cosmogonies contemporaines 11 avril 2025
Entretien avec Nele Verhaeren, Art Brussels, 41e édition : Un programme artistique très exigeant ! 8 avril 2025
Partager Partager L'InterviewPhoto Bordeaux : Nathalie Lamire Fabre accueille les deux lauréates du Prix HSBC pour la Photographie 2017 La Rédaction23 novembre 2017 Temps de lecture estimé : 4minsDernière étape de l’exposition itinérante pour l’édition 2017 du Prix HSBC pour la Photographie. Laura Pannack et Mélanie Wenger sont accueillies par Nathalie Lamire Fabre, directrice de la galerie Bordelaise Arrêt sur l’Image. Le public est invité à redécouvrir les travaux primés, et découvrir les nouvelles productions de deux jeunes photographes que nous dévoilons aujourd’hui. Rencontre avec Nathalie Lamire Fabre. 9 lives : Vous exposez les lauréats du Prix HSBC pour la huitième fois, quel regard portez-vous sur l’évolution de ce Prix ? Nathalie Lamire Fabre : En 2004, l’équipe du Prix HSBC m’a contactée pour savoir si les lauréats pouvaient être présentés à la galerie. Bien sûr je connaissais le Prix, et j’ai été très honorée qu’ils pensent à moi pour la présentation de l’exposition au public bordelais. Les premières années, l’exposition itinérante faisait halte à Bordeaux tous les deux ans, et après avoir présenté Christian Vium et Marta Zgierska l’an passé, nous nous retrouvons de nouveau cette année ! Tout au long de cette expérience, j’ai pu remarquer qu’à chaque édition, il y a un regard sans cesse renouvelé avec le même intérêt. J’ai un grand respect pour ce Prix qui accompagne et promeut ces jeunes photographes. L’évolution du Prix est pour moi en parfaite adéquation avec l’évolution de la photographie elle-même. Elle reflète le courant photographique du moment. Je suis avec intérêt le parcours des anciens lauréats, certains sont même revenus exposer à la galerie; c’est le cas de Patrick Taberna (lauréat 2004) par exemple. Il y a toujours un lien et une écoute avec les photographes que l’on a exposés ici, je pense notamment à Delphine Burtin (lauréate 2014) ou encore Eric Pillot (lauréat 2012). Il y a une authenticité de partage très forte dans ce Prix. 9 lives : Quel regard portez-vous sur cette nouvelle exposition ? Y a-t-il un fil conducteur entre le travail des deux lauréates et les artistes de la galerie ? N. L. F. : Il y a en effet des préoccupations communes, c’est le cas notamment de l’analyse de la relation complexe entre sujet et photographes : que ce soit des questions sociales pour Laura Pannack et des histoires humaines pour Mélanie Wenger. Il y a une grande qualité dans le choix opéré par les conseillers artistiques. Exposer la jeune photographie au sein de nos murs est un des rôles de la galerie. Je présente de la photographie depuis quelques années maintenant, et pour le public de la ville, il est important de découvrir les travaux de jeunes talents internationaux. 9 lives : Vous clôturez l’exposition itinérante de cette édition 2017, à cette occasion, vous exposez de nouvelles œuvres, réalisées cette année grâce à une aide à la production allouée par HSBC ? Pouvez-vous nous parler de ces nouveaux travaux. Oui c’est une nouveauté pour moi, car c’est la première fois que la galerie Arrêt sur l’Image termine l’itinérance. J’ai donc la chance de faire découvrir au public une présentation, ou tout du moins, les prémices du prochain projet photographique des lauréates. Pour Laura Pannack, nous présentons deux images de « Inside out », la photographe souhaite explorer l’émotion des relations humaines. Pour Mélanie Wenger, il y a quatre images sur une série en cours intitulée « Broken Silence ». C’est une enquête documentaire sur les violences sexuelles dans le monde. Après avoir été au Zimbabwe, cette année la photographe se rend en Colombie, dans la guerre des gangs de l’une des plus grandes plaques tournantes du traffic de cocaïne. N. L. F. : L’exposition est présentée jusqu’au 9 décembre prochain, quelle est votre programmation à venir ? Pendant une très courte semaine (du 14 au 23 décembre), nous allons présenter des photographies inédites de Barbara à l’occasion du 20ème anniversaire de sa disparition. L’exposition rassemblera des images de Libor Sir réalisées en 1967. Toutes sont absolument inédites ! Et par la suite, pour la rentrée de janvier 2018, nous accueillerons Bernard Plossu – avec qui je travaille régulièrement – à travers l’exposition « A voir et à Manger ». C’est une collection qui propose de revisiter les archives d’un photographe ou d’un collectionneur. INFORMATIONS PRATIQUES Laura Pannack & Mélanie Wenger Lauréates 2017 du Prix HSBC pour la Photographie Du 10 novembre au 9 décembre 2017 Arrêt sur l’Image Galerie Cours du Médoc 33000 Bordeaux http://arretsurlimage.com En savoir plus : http://prixhsbc.evenium.com http://laurapannack.com http://www.melaniewenger.be A Lire : Interview avec Mélanie Wenger Interview avec Laura Pannack Marque-page0
Photo Masterclass Oeildeep : « Lunaria », une série de Blandine Vives Cette semaine nous poursuivons la restitution de la Masterclass Oeildeep qui s’est achevée en décembre 2024 sous l’égide de Raphaële Bertho, Bruno ...
Interview Art Contemporain Art Brut d’Iran à la Halle Saint Pierre, entre traditions millénaires et cosmogonies contemporaines La nouvelle exposition de la Halle Saint Pierre se penche sur le phénomène de l’art brut iranien sur la scène internationale à ...
Interview Art Contemporain Interview Muriel Enjalran, Frac Sud – Cité de l’art contemporain Rencontre avec Muriel Enjalran à l’occasion des expositions d’Eléonore False « Le Fil de chaîne » et du récit de collection « ...
L'Interview Festival Circulation(s) #15 : Entretien avec Clara Chalou, direction artistique, collectif Fetart
L'Interview Sensibilités partagées à la Galerie Echo 119. Rencontre avec Salomé d’Ornano et Kinuko Asano
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
Festival Circulation(s) #15 : Entretien avec Clara Chalou, direction artistique, collectif Fetart 8 avril 2025
Sensibilités partagées à la Galerie Echo 119. Rencontre avec Salomé d’Ornano et Kinuko Asano 7 avril 2025
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) 26 mars 2025
Masterclass Oeildeep : « Syncopée Méditerranée / Marseille », une série de Pierryl Peytavi 4 avril 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 6) 31 mars 2025
Art Brut d’Iran à la Halle Saint Pierre, entre traditions millénaires et cosmogonies contemporaines 11 avril 2025
Entretien avec Nele Verhaeren, Art Brussels, 41e édition : Un programme artistique très exigeant ! 8 avril 2025