Opportunités

Le concept est simple, je ne viens qu’avec des œuvres déjà prêtes, tirées et encadrées, et je les ptropose à prix réduits. de – 10% à – 40%.
Pour le savoir, vous n’aurez qu’à regarder le petit œillet de couleur posé sur le cartel.
Je n’ai pas encore décidé des couleurs, mais une couleur impliquera une hauteur de remise. quatre couleurs donc.
Alors vous vous dites mais pourquoi ? pourquoi pas faire simple avec le prix (remisé) sur le cartel ?
Parce que vous me lisez, souvent ou rarement, ce n’est pas le cas de tous les gens qui entreront dans la galerie. Imaginons qu’un visiteur (au sens large) ne se pose pas la question, entre et tombe amoureux d’une œuvre … ce qui ne manquera pas de se produire.
Et qu’il se jette dessus, au prix du cartel…
Qu’est ce que je fais ?
Je garde la possibilité de la vendre au prix normal. Et hop ! C’est pas pêcher puisque c’est le prix.
Mais nous verrons au cas par cas.
En général je sympathise assez vite, je ne suis pas le genre « difficile d’accès ». Dans ce cas évidemment, je lui expliquerai les règles.
J’ai de la chance d’avoir des voisins conciliants à Joinville. Des sociétés voisines qui pour la plupart sont devenues des sociétés amies et où trônent souvent quelques belles pièces du catalogue.
Il faut qu’il le soit parce que pour préparer une exposition de ce gente, je peux être un peu lourd.
J’ai littéralement envahi le couloir principal, pourtant long de 25 mètres qui est un mon espace d’exposition principal. J’ai sorti l’intégralité du stock, toutes le photos posées par terre par tas de 5/6 des deux côtés, pour pouvoir faire mon choix. A deux de front, ça passe plus. Seul, c’est parfois limite.
Je me balade dans et espace pour recréer des petits tas :
-Toi, oui bien sûr !
– Toi non ! C’est pas que je t’aime pas mais il me faut équilibrer, varier…. Donc tu viendras la prochaine fois.
Il me faut compter aussi avec les œuvres sur lesquelles je peux faire une forte remise, quand je n’en suis qu’aux premiers numéros, que la photo n’a pas eu le destin que je lui rêvais et que je veux la « lancer » dans la vie.
Et d’autres ou je suis moins souple parce qu’il n’en reste presque plus ou même elle vient d’arriver et c’est un peu ridicule de la « déstocker ». Mais je m’oblige : – 10% minimum.
C’est le mélange le secret.
Mais je lis bien dans les regards sombres qui m’entourent que s’interroger, supputer, c’est cool, mais qu’ils ne seraient pas contre pouvoir regagner leurs bureaux.
J’en étais là, dans l’urgence, quand je me suis dit qu’il serait bien de vous redonner les infos.
Ça démarre dimanche quand même et je vous sais sollicités de mille manières.
Parce que tous ces efforts sans prévenir personne, c’est benêt.

Henningsvaer, la photographie du jour a été mise dans le camp des oui.
Le tirage, 40X60, n’est déjà pas chèr au départ, 750€, malgré tout il aura l’œillet – 20%
Il faut qu’elle se lance. Pour l’instant, seul un 60X90 est parti.
L’auteur, Dimitri Weber, un jeune photographe qui fait des débuts en galerie doit se dire que j’assure pas.
C’est intrigant parce que je l’ai beaucoup exposée, elle a toujours eu un franc succès, pas le petit sourire coincé accompagné du : Mouais … qui l’accompagne d’ordinaire.
Elle est aimée sincèrement mais jamais achetée.
Donc je donne le petit coup de pouce salvateur pour ce N°1/15 du 40X60.
Un jour je la produirai et l’exposerai en grand, ça va changer la donne. En diasec avec caisse affleurante par exemple et pourquoi pas en 100X150. Un jour.
Ce terrain des Iles Lofoten en Norvège, l’auteur en avait entendu parler. C’était dans sa check lits qua dil est parti en trip dans le Nooord!
Je le laisse s’exprimer
 » … pendant 2 mois, et seul, en Scandinavie, jusqu’au point le plus au Nord d’Europe, dans le but de découvrir des paysages que je n’osais jusqu’alors imaginer. Entre deux aurores boréales et quelques rennes, je me suis attardé sur ce stade de football, banal vu du sol, mais si impressionnant en prenant un peu de hauteur, comme isolé, au bout du monde. Aux alentours de 18h, le soleil d’octobre était déjà couchant, offrant de somptueuses teintes d’été indien. »
Ah oui, j’imagine que quand il l’a vu dans le cadre en pilotant son drône, il a du se dire : « c’est pas la même chose » .
Le terrain devient un truc très graphique et un peu mystérieux. Henningsvaer est une petit groupe d’iles des Lofoten avec un seul village.
Des pêcheurs probablement vu les installations de bois pour faire sécher le poisson.
Et un jour la marmaille s’est révolté :  » On veut un terrain de foot ! »
Et voilà le résultat !
Pour se rendre mieux compte, je vous engage à regarder l’autre photographie ramenée par l’auteur.
C’est une vue plus large qui permet de visualiser.
Ce sont les deux seules photographies que j’ai prises de cet auteur. Deux qui parlaient de sport et qui me semblaient dignes.
Deux tirages vendus de la seconde, celle que vous pourrez voir par le lien du bas. Il y a du mieux mais pas non plus de quoi écrite à ses parents.
Pas en stock donc pas à l’exposition.
C’est donc toute la semaine prochaine et le vernissage est mardi 4 février.