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Partager Partager Temps de lecture estimé : 7minsUne édition 2023, la seconde de Christoph Wiesner où les têtes d’affiche : Saul Leiter, Diane Arbus, Wim Wenders, Agnès Varda… cohabitent avec une vraie variété d’écritures sans réelle prise de risque mais avec une place à l’émergence. Le plaisir reste toujours au rendez-vous dans cette ville en phase aiguë de gentrification. Les nouvelles adresses se chuchotent entre initiés. Morceaux choisis entre l’intime, et les stéréotypes, la mémoire et l’exil, le temps, la résilience… Texte par Marie-Elisabeth de la Fresnaye Sélection par Mailys Darbord Eglise des trinitaires Zofia Kulik. Splendeur de moi-même, épreuves gelatino-argentiques, 2007. Avec l’aimable autorisation de l’artiste / Persons Project. Zofia Kulik la Splendeur de l’artisane Première exposition en France de la photographe polonaise qui utilise une technique bien particulière : des masques de son invention et du papier photographique exposé à des négatifs donne lieu à un univers composite où se mêle imagerie médiévale, culture patriarcale, politique totalitaire. La Mécanique Générale – LUMA Gregory Crewdson Eveningside 2012 2022 Gregory Crewdson. Morningside Home for Women, série Eveningside, épreuve pigmentaire, 2021-2022. Avec l’aimable autorisation de l’artiste. J’ai eu la chance d’interviewer l’artiste à l’occasion de son exposition à la galerie Templon en 2020 autour de sa série mythique An Eclipse of Moths. Une Amérique en proie doute pour cet amateur fou de David Lynch qui joue d’une mise en scène très léchée cour délivrer désillusions douces mères. Un univers très cinématographique et désenchanté où le héros se réveille sur un lit de roses comme dans American Beauty, satire mélancolique. La série en noir et blanc Eveningside est présentée pour la première fois en France. Diane Arbus Constellations C’est l’un des étudiants de Diane Arbus, Neil Selkirk qui est la seule personne, depuis sa mort, autorisée à tirer ses négatifs. Pendant plus de 30 ans il a constitué un ensemble exceptionnel de 454 épreuves d’imprimerie acquis par la fondation LUMA et présenté sous forme d’une installation immersive. Le commissaire Mathieu Humery, rencontré par ailleurs à Dinard à l’occasion de l’exposition de la collection Pinault, a fait le choix d’une déambulation comme le pratiquait l’artiste elle-même dans les rues de New York en dehors de toute approche chronologique ou thématique. Des obsessions se dégagent au fil des rapprochements : asiles psychiatriques, gémellité et dissemblances, cirque et fête foraine, travestis, freaks… Au delà du côté iconique de ses images, la question du refus de pouvoir réaliser des photographies par les visiteurs pose question. Carrie Mae Weems The shape of things Sans doute l’une des propositions les plus abouties de ces Rencontres. Photographe vidéaste afro américaine, elle déroule ce qu’elle appelle e « cirque du monde » en 7 parties projeté sur un dispositif sophistiqué le cylorama. Entre documentaire et veine poétique ce présent tumultueux nous embarque dans une déflagration vertigineuse. Eglise des frères prêcheurs : cap sur l’émergence ! Vishal Kumaraswamy. Série ಮರಣ Marana [Décès], 2022-2023, photogrammétrie et direction par Vishal Kumaraswamy, traitement génératif des images par Emilia Trevisani. Avec l’aimable autorisation de l’artiste. Nieves Mingueza. Sans titre, série Une femme sur trois, 2021. Avec l’aimable autorisation de l’artiste. Vishal Kumaraswamy Marana (Décès) Transcender l’absence et la mort par le rituel d’une caste, la communauté Dalit, celle de l’artiste, opprimée qui investit l’espace public avec une procession défiant les lois sociales et culturelles dominantes et archaïques. L’artiste à partir de la photogrammétrie et de scanners 3D donne une autre vie à ces corps qui se mettent à flotter dans un espace-temps autre. Nieves Mingueza : Une femme sur trois Chercheuse et commissaire d’exposition hispano-britannique, Nieves Mingueza part d’un triste constat : une femme sur trois subit des agressions sexistes dans sa vie. Manipulant des images issues d’archives familiales pour en révéler la nature trompeuse ,elle adopte une méthodologie de scènes de crime entre dévoilement et effacement. Samantha Box. Bordures, tirage jet d’encre de qualité archive, 2020. Avec l’aimable autorisation de l’artiste. Riti Sengupta. Pause. Avec l’aimable autorisation de l’artiste. Samantha Box : Rêves Caribéens A partir de ses racines multiples, l’artiste basée aux Etats-Unis, donne à voir un autre récit des origines, émancipateur Elle compose des natures mortes à partir de plantes vernaculaires et objets de famille sous le prisme de la marchandisation et artificialisation des corps. Riti Sengupta : Ce que je ne peux pas dire à voix haute Redonner toute sa dignité au rôle de sa mère prisonnière de carcans invisibles au sein du foyer tel est l’objectif suivi par l’artiste et designer. Les conversations mère fille donnent lieu à des performances culinaires photographiques qui interrogent les réalités patriarcales. A noter que c’est l’artiste équatorienne Isadora Romero qui est la lauréate 2023 du Prix Découverte Louis Roederer. Jardin d’été Yohanne Lamoulère. Léo, série Les enfants du fleuve, Genève, 2022. Avec l’aimable autorisation de l’artiste / Tendance Floue. Yohanne Lamoulère : Les enfants du fleuve Diplômée de l’ENSP Arles en 2004 elle est membre du collectif Tendance Floue. Embarquant sur une barque caravane, elle parcourir les 520 kms du Rhône de la mer Méditerranée au lac Léman à la rencontre des insulaires. Armée de son Rolleifleix elle tisse des liens avec ses sujets qui sont partie prenante du dispositif. La présentation de l’exposition en plein et accès libre, ajoute au charme de l’aventure. Croisière Olenka Carrasco : Patria Maison prêtée pour un deuil, Oleñka Carrasco © Adagp, Paris, 2020 Vénézuélienne exilée en France c’est à partir de la mort de son père qu’elle fait l’expérience douloureuse du deuil loin de sa famille et sa maison d’enfance. En 2022 tous les membres de sa famille doivent quitter le pays et devenir exilés politiques dans différents pays. Ne lui reste alors plus que 3 kilos d’archives photographiques abimés. Dolores Marat Dérèglement chromatique Dolorès Marat. Sur le « Napoléon Bonaparte », entre Marseille et Bastia, 2000. Avec l’aimable autorisation de l’artiste. Dans une approche très cinématographique, la photographe et son Leica capte des errances diurnes et nocturnes. Silhouettes et fragments de paysages traduisent une narration entrecoupée de ruptures, de halos, de hors champ. Eglise Saint Anne : photographie nordique Emma Sarpaniemi signe la photographie de la couverture des Rencontres SOSTERSKAP veut dire sororité en norvégien et les 17 photographes réunis traduisent le modèle nordique à travers un certain nombre d’enjeux quotients. L’État providence est ainsi interrogé à l’aune de la crise écologique, de l’immigration … Chapelle Saint-Martin du Méjan : Charles Fréger Rejoignant les séries sur les mascarades dans le monde, le projet Aam Aastha ra été réalisé en Inde entre 2019 et 2022. Le photographe se penche sur les divinités incarnées lors de rituels ou de processions. Des avatars qui par le truchement du masque et du costume défient les assignations. James Barnor. Une assistante de la boutique Sick-Hagemeyer à Accra, 1971. Avec l’aimable autorisation de la Collection Florence et Damien Bachelot. Musée Reattu La Collection Bachelot Constituée d’un millier de clichés les commissaires Françoise Docquiert et Andy Neyrotti ont fait une sélection de 120 images confrontées aux œuvres de la collection permanente. C’est la première fois que la musée accueille une autre collection et le résultat est plutôt pertinent. La thématique du portrait est comme un fil rouge déroulé dans une dialectique peinture photographie agissante. Aux classiques Doisneau, Cartier Bresson, Paul Strand, Edouard Boubat, s’ajoutent des talents plus émergents de la scène française. INFORMATIONS PRATIQUES Les Rencontres d'Arles32, rue du Docteur Fanton 13200 Arles lun03jul(jul 3)10 h 00 mindim24sep(sep 24)19 h 00 minLes Rencontres d'Arles 2023Un état de conscienceLes Rencontres d'Arles, 32, rue du Docteur Fanton 13200 Arles Détail de l'événementTel un relevé sismographique de notre temps, chaque année les Rencontre d’Arles se font l’écho de l’état de conscience de notre monde, aussi étrange qu’il puisse paraître. Les photographes, artistes Détail de l'événement Tel un relevé sismographique de notre temps, chaque année les Rencontre d’Arles se font l’écho de l’état de conscience de notre monde, aussi étrange qu’il puisse paraître. Les photographes, artistes et commissaires nous donnent à voir, à percevoir, avec une acuité aiguisée, les transformations que nous vivons. La prise en considération – a minima – du réchauffement climatique s’est imposée à nous, impactant directement nos habitudes. Conscient de la nécessité et de son rôle de défricheur, le festival, en collaboration avec la Cité Anthropocène de Lyon, s’est lancé cette année dans l’exploration du territoire arlésien et de son écosystème. Scientifiques, chercheurs, penseurs et artistes sont partis à sa découverte afin d’en faire un état des lieux. Choisi comme QG de cette réflexion, Ground Control, ancienne halle industrielle de la SNCF, a été au coeur de toutes les discussions ; en résulte un dispositif de reformulation de l’espace. L’exploration du territoire peut prendre de multiples formes. Ainsi, l’exposition Soleil Gris d’Eric Tabuchi et Nelly Monnier présente un corpus territorial issu du travail au long court Atlas des Régions Naturelles. Tandis que l’enquête sur la zone industrielle, autrefois fleuron de la modernité de Tarascon, menée par Mathieu Asselin au coeur de l’exposition Ici près nous en donne une tout autre vision. Entouré de Tanja Engelberts explorant le Rhône et de Sheng-Wen Lo en arpenteur camarguais ; chacun par son approche et sa sensibilité nous rappelle que cet espace entre terre et eau est à protéger, si l’on veut pouvoir continuer à en jouir dans un futur proche. Car la Camargue c’est surtout le delta et son fleuve, Yohanne Lamoulère nous propose un voyage entre étrange et réalisme à la fois hors du temps et magique. Non loin de là, aux Saintes-Maries-de-la-Mer, Lumières des Saintes explore l’histoire de ce pèlerinage sur plus d’un siècle avec ses moments joyeux mais aussi ses temps tragiques. Entre matériel vernaculaire issu d’archives et grands noms de la photographie, nombreux sont les artistes à avoir fait le voyage, de Chiki Weisz à Lucien Clergue, d’Erwin Blumenfeld à Martine Franck, pour nous faire rêver et revivre une partie de ce qui fait l’histoire de la Camargue. Marseille, terre d’arrivée et de départ, halte avant une prochaine étape, ville de passage de femmes et d’hommes venus du Maghreb et de l’Afrique subsaharienne. C’est de cette histoire que témoignent les archives du Studio Rex du quartier de Belsunce que Jean-Marie Donat nous fait découvrir. Souvenir lointain et exil. Entre nos murs retrace une Histoire de l’Iran des années 1950 à nos jours tandis que la présence de la diaspora iranienne sur la côte ouest américaine est rendue visible avec Soleil of Persian Square d’Hannah Darabi. Se promener à travers l’Histoire de notre monde et de l’actualité c’est ce que propose l’exposition célébrant les 50 ans du journal Libération à l’abbaye de Montmajour. Photographie vernaculaire et archives, les supports sont multiples pour documenter une époque et scandent une partie de la programmation. En 2004, deux antiquaires découvrent 340 photographies tirages et polaroïds des années 1950 et 1960 sur un marché aux puces de New York. Ces images content l’histoire d’une Amérique, celle de la Casa Susanna, celle dont on ne pouvait parler, d’une minorité qui risquait à tout moment sa place dans la société. D’une intimité secrète naissent toutes ces photographies qui ont la particularité de représenter des hommes travestis en femme d’intérieur – telles qu’elles furent vantées par cette Amérique victorieuse de l’après-guerre. Ces images sont là pour témoigner de l’essentialité de la photographie pour l’un des premiers réseaux de la communauté LGBTQIA+. Une autre Amérique surgit, avec Gregory Crewdson, qui convie les techniques cinématographiques dans sa réalisation d’images d’un rêve en déliquescence, l’Amérique de la crise. C’est l’aboutissement de 10 ans de travail. C’est la version noire des images d’Edward Hopper, image à la Melville et représentation du polar qui tourne mal, tout comme dans l’Ami américain dont Wim Wenders nous révèle la genèse de son film dans ses polaroïds avec Dennis Hopper et Bruno Ganz. Kaléidoscopique, la richesse de la rétrospective de Saul Leiter nous invite, entre noir, blanc, et couleur, à une déambulation dans les rues de New York ; comme Diane Arbus, née la même année que Saul Leiter, en 1923, à travers une exposition présentée par LUMA Arles. Tandis qu’à la même époque, à la fin des années 1940, Agnès Varda revient à Sète après y avoir passé la période de l’occupation. Elle photographie la vie locale du quartier populaire de la Pointe courte, prémisse quelques années plus tard de son premier long métrage La Pointe courte avec Philippe Noiret et Silvia Montfort. Cette année encore, l’expérimentation traverse le champ des expositions et des thématiques. Avec le scrapbook dont l’origine de la pratique anglo-saxonne mêle la tradition de l’album photo au journal intime pour prendre une forme très cinématographique, mais également par la manipulation du médium photographique de Zofia Kulik qui vient construire une nouvelle identité féminine, pleine de symboles. Aux confins de l’expédition et de l’expérience des premiers inventeurs, Roberto Huarcaya convoque dans une pratique nocturne la technique du photogramme pour jouer de nos sens dans la représentation de la forêt tropicale péruvienne pendant que Juliette Agnel nous invite au mystère de nos origines dans les cryptoportiques, lieu antique et magique, investi pour la première fois cette année par le festival. Et pour finir une exposition, non moins importante dans la poursuite de la représentation de la création féminine, qui convoque les pays nordiques et la découverte d’une scène méconnue, de l’après-guerre à l’époque contemporaine, où une réflexion sur la relation que l’État providence a entretenue avec une certaine idée de la sororité [Søsterskap] se déploie au travers des regards de 18 photographes. Cette année, c’est l’artiste finlandaise Emma Sarpaniemi, qui signe l’affiche du festival avec son autoportrait, à retrouver à l’église Sainte-Anne. Les Rencontres d’Arles font cette année encore la part belle à l’émergence avec l’exposition Une attention particulière, réunissant l’oeuvre photographique de trois étudiants de l’École nationale supérieure de la photographie, et le Prix Découverte Fondation Louis Roederer à l’église des frères Prêcheurs, écrin du magnifique travail sur la scène du grand Sud proposé par la commissaire Tanvi Mishra, qui nous ouvre de nouveaux horizons de Kolkata au Caire, en passant par Dhaka. Avec Aurélie de Lanlay, et toute l’équipe du festival, nous vous attendons pour vous faire découvrir l’ensemble de la programmation, dès le 3 juillet à Arles. Christoph Wiesner Dates3 Juillet 2023 10 h 00 min - 24 Septembre 2023 19 h 00 min(GMT-11:00) LieuLes Rencontres d'Arles32, rue du Docteur Fanton 13200 ArlesOther Events Get Directions CalendrierGoogleCal https://www.rencontres-arles.com/ Marque-page1
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