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Partager Partager L'InterviewPhoto Véronique Souben, Frac Normandie Rouen : la photographie à l’épreuve de l’abstraction, une exposition, 3 lieux Marie-Elisabeth De La Fresnaye24 septembre 2020 Temps de lecture estimé : 7minsC’est une première en France et elle rassemble trois institutions majeures, le Frac Normandie Rouen, Micro Onde-Centre d’art de l’Onde et le Centre Photographique d’Ile de France (CPIF) autour de l’abstraction et de son influence sur l’évolution du statut de l’image contemporaine. Véronique Souben qui dirige le Frac nous dévoile les contours de cet ambitieux programme qui même s’il a du être décalé, bénéfice de prêts importants en France et l’international. Elle revient également sur cette période de crise, son impact sur la programmation du Frac et son rôle en tant que présidente de l’association RN 13 bis qui fédère 23 structures du territoire et a pu lancer un plan d’urgence d’aide aux artistes avec la Région normandie. Véronique Souben © Laurent Ducros Comment cette exposition autour de la photographie et l’abstraction entre-t-elle en résonance avec le fil rouge du festival Normandie Impressionniste, et en quoi est-elle totalement inédite en France ? Malgré la grande exposition il y a un an à la Tate Modern qui portait d’un point de vue plus historique, ce sujet n’avait pas été traité encore en France. Nous en sommes à un stade encore expérimental sur ce sujet dû à un manque de connaissance, alors que beaucoup d’artistes, photographes ou non, pratiquent des approches photographiques abstraites avec une recrudescence très importante du fait du passage de l’argentique au digital qui a été une révolution. Cette étape a eu des conséquences décisives dans notre relation à l’image et à l’œuvre d’art aujourd’hui. C’est un sujet passionnant à la fois très technique et pointu qui nous emmène vers des contrées scientifiques assez vertigineuses. La date de l’exposition a du être décalée car nous avions beaucoup de transports venant d’Allemagne et d’Angleterre et aucune visibilité sur la certitude d’avoir ces œuvres majeures pour ce projet sur la photographie abstraite très concentré sur les dernières créations, au tournant du XXème siècle. Ce projet autour de l’abstraction photographique est construit à plusieurs, pourquoi ? Je trouve que les collaborations sont toujours vivifiantes et cela permet de faire transiter les idées et les envies. Nous avons ainsi l’occasion de faire collaborer un Frac avec un centre photographique, le CPIF à Pontault-Combault et un centre d’art, Micro Onde à Vélizy avec Nathalie Giraudeau et Audrey Illouz avec qui je suis souvent en contact, Audrey Illouz faisant partie du comité technique d’achat du Frac. Ce sujet les intéressaient particulièrement aussi nous avons décidé d’un co-commissariat et nous nous sommes réparties les différents volets de ce projet très riche. Nous allons également proposer une publication commune bilingue aux éditions allemandes Hatje Cantz. Comment sera organisé au Frac le parcours de visite ? Au Frac nous aurons une approche très archéologique de la photographie et cette manière dont les artistes s’emparent de nouveau, entre les balbutiements de l’ère photographique et l’heure du tout numérique, non pas de façon nostalgique mais au contraire dans une approche très abstraite essentialiste, presque minimale. En contre point nous soulignerons l’émergence des nouvelles technologies notamment les techniques de l’impression et les nouveaux programmes algorithmiques qui vont permettre de redéfinir l’abstraction. La photographie abstraite allant alors verser dans l’abstraction pure, ce qui restait inconcevable pour certains. Quels artistes emblématiques seront présentés ? Nous allons avoir les grandes figures très représentatives de ce courant comme Thomas Ruff, Wolfgang Tillmans (qui sera présent au CPIF), Stan Douglas (sublimes color fields), Paul Graham, Wade Guyton, ou encore Barbara Karsten, Zoe Leonard ou Walead Beshty certains moins connus en France. A leur côté nous avions à cœur de proposer des artistes plus jeunes dont beaucoup de femmes photographes comme Aurélie Pétrel, Laure Tiberghien, Pauline Beaudemont ou Sarah Ritter. Quel a été l’impact de la crise pour le Frac ? Nous avons été comme tout le monde pris par surprise, un peu abasourdis par tout ce qui arrivait et avons dû suspendre l’exposition de Diogo Pimentão qui était en pleine montée en puissance. Un certain nombre de décisions se sont imposées assez rapidement comme d’annuler certains projets avec l’artiste. En même temps, pour être positifs, nous avons été rapidement à pied d’œuvre pour prendre le relais avec les réseaux sociaux et avec toute une approche dématérialisée grâce à l’association Platform qui a été très active et certains frac avec qui nous avons mis en place un système d’échanges d’idées et d’informations plus développé. L’ équipe pédagogique en lien avec l’équipe de la communication a profité aussi de ce temps pour passer en revue toutes les archives du Frac et mettre en place des dispositifs, notamment un système de newsletters autour des grandes monographies marquantes de ces dernières années. Nous avons ainsi pu faire le point sur ce que nous avions créé autour de ces expositions : publications et évènements. Ce travail a permis de redonner de la visibilité à ces projets. Une solidarité a-t-elle émergé sur l’ensemble du territoire ? Oui elle a été très forte ayant moi-même été sollicitée en tant que présidente de l’association RN13 bis art contemporain en Normandie qui coordonne le Schéma d’Orientation pour le Développement des Arts Visuels, Sodavi Normandie, ce qui a permis de faire remonter rapidement la situation critique des artistes. Nous avons été très mobilisés et avons organisé des échanges en visio-conférence pour mesurer l’impact du Covid sur la création, la manière dont on pouvait prendre le relais et faire remonter auprès de la région et des départements les enjeux d’un écosystème ultra fragile, les artistes n’ayant pas le statut d’intermittent du spectacle. Ne pas suspendre les règlements et continuer à payer les artistes même s’ils n’intervenaient pas, était l’une des priorités. La Région Normandie nous a de plus sollicité pour lancer un plan d’urgence assez ambitieux, sous la forme d’un appel à projet encore en cours, que nous allons porter et qui va permettre d’accorder des aides de recherche à une centaine d’artistes sur le territoire avec un jury très composite composé d’artistes et de représentants de divers structures. Cela va être un ambitieux chantier avec comme objectif de proposer une restitution pour lancer un plan de relance et un plan de filière, le tout supporté par la Région sur un budget que nous avons estimé à 220 000€. On espère que cela va encourager et aider à structurer la filière. La vocation des musées et centres d’art va-t-elle selon vous, devoir évoluer suite aux bouleversements soulevés par cette crise ? Il est certain en effet. Il y a eu un effet d’accélérateur notamment sur la nécessité de procéder de manière beaucoup plus dématérialisée et de savoir capitaliser sur tous ces projets et archives en ligne. Cela a souligné la nécessité d’une vie parallèle en dehors de l’institution, ce qui est également valable pour les galeries ou d’autres structures. Même si l’institution garde un aspect essentiel sur le territoire auprès des publics, nous devons garder à l’esprit les incertitudes qui pèsent pour accélérer ces mutations digitales dans une approche plus intelligente et analytique. Il y a encore plein de choses à développer pour rendre ces canaux plus accessibles. C’était même assez enthousiasmant de le constater pendant cette période et les Frac ont été très innovants dans ce sens. Les artistes : Xavier Antin, Pierre-Olivier Arnaud, Mustapha Azeroual, Sylvia Ballhause, Uta Barth, Taysir Batniji, Lionel Bayol-Thémines, Pauline Beaudemont, Walead Beshty, Jean-Christophe Béchet, Juliana Borinski, Michel Campeau, Marieta Chirulescu, Stan Douglas, Jan Paul Evers, Ryan Gander, Paul Graham, Shannon Guerrico, Wade Guyton, Barbara Kasten, Zoe Leonard, Matan Mittwoch, Roman Moriceau, Hanako Murakami, Constance Nouvel, Eileen Quinlan, Sébastien Reuzé, Evariste Richer, Sebastian Riemer, Thomas Ruff, Bettina Samson, Adrian Sauer, Zin Taylor, Laure Tiberghien, James Welling, Hannah Whitaker… INFORMATIONS PRATIQUES CPIF - Centre Photographique d'Ile-de-France107 Avenue de la République, 77340 Pontault-Combault dim27sep(sep 27)14 h 00 min2021jeu21jan(jan 21)18 h 30 minLa Photographie à l'épreuve de l'abstractionExposition CollectiveCPIF - Centre Photographique d'Ile-de-France, 107 Avenue de la République, 77340 Pontault-Combault Détail de l'événementLe Centre photographique d’Île-de-France (CPIF) associé au Fonds régional d’art contemporain (Frac) Normandie Rouen et à Micro Onde – Centre d’art de l’Onde, réalise un programme exceptionnel présenté simultanément dans Détail de l'événement Le Centre photographique d’Île-de-France (CPIF) associé au Fonds régional d’art contemporain (Frac) Normandie Rouen et à Micro Onde – Centre d’art de l’Onde, réalise un programme exceptionnel présenté simultanément dans les trois lieux : une exposition commune dédiée à la problématique de l’abstraction dans le champ de la photographie contemporaine. La Photographie à l’épreuve de l’abstraction se propose d’explorer la force du lien renouvelé entre photographie et abstraction. Liée à l’évolution du statut de l’image comme à l’essor des nouvelles technologies depuis les années 80, une véritable tendance à l’abstraction parcourt aujourd’hui une pluralité de démarches évoquées en quatre volets complémentaires. C’est une approche formaliste qui est proposée au CPIF et fait entrer le spectateur dans l’exposition par la couleur. Ainsi, l’accrochage prend notamment comme matrice la décomposition chromatique du spectre lumineux, qui aura animé les chantres de l’Abstraction picturale au début du XXe siècle, pour aborder les stratégies formelles des artistes qui, fascinés par la lumière, renouvellent leur rapport au visible. Les artistes mobilisent tout autant les techniques issues de l’ère numérique que les manipulations argentiques plus anciennes et rivalisent d’inventivité protocolaire pour développer un nouveau vocabulaire. Surfaces, volumes, espaces et couleurs captés deviennent les objets, souvent ambigus, de compositions aux rendus abstraits. D’autres œuvres restituent le seul jeu de la lumière, de la chimie et du support, et prennent des formes sculpturales ou installatives opérant un déplacement de la notion et du statut de l’image. À Micro Onde, c’est l’approche résolument expérimentale et matériologique de la photographie qui est développée. L’exposition prend pour ancrage l’activité photographique du célèbre dramaturge suédois August Strindberg – dont l’étude de cristaux et de ciels nocturnes a donné lieu à ses célèbres Cristallographies et Celestographies ou photogrammes – pour sonder des pratiques artistiques contemporaines qui explorent la matérialité de l’image, l’imagerie scientifique tout autant qu’un autre rapport au paysage. Plus les artistes investiguent le monde physique, plus la représentation s’efface et cède la place à l’abstraction. Au Frac Normandie Rouen, trois aspects sont développés. Un premier temps s’intéresse à un abord quasi archéologique de la photographie, de ses composantes scientifiques jusqu’à l’apparition d’une iconographie propre à la photographie argentique. Un deuxième axe rassemble, par contraste, des artistes dont la quête d’abstraction passe avant tout par des approches faisant appel à des procédés technologiques parfois complexes. Les techniques liées aux modes d’impression divers comme la création de programmes informatiques performants permettent alors de développer un nouveau langage, sans plus aucun référent apparent au monde matériel. Un troisième temps enfin, aussi présent au CPIF, met en valeur des stratégies ouvertement formelles, jouant autant sur le prisme, la sculpture que l’architecture, et ménage des jeux sur la surface et l’espace. À travers tout un vocabulaire de formes les artistes développent une réflexion autant sur la notion de réel que sur les mécanismes de production d’image, sur son éventuelle redéfinition, voire sur sa potentielle « sortie ». L’exposition rassemble le travail d’artistes de la jeune génération tel•le•s Anne-Camille Allueva, Pauline Beaudemont, Matan Mittwoch, Constance Nouvel, Aurélie Pétrel, Sarah Ritter ou Laure Tiberghien ainsi que celui d’artistes majeurs et incontournables dans le champ de la photographie contemporaine tel•le•s Liz Deschenes, Stan Douglas, Paul Graham, Barbara Kasten, Zoe Leonard, Thomas Ruff, Wolfgang Tillmans et James Welling. Ce répertoire riche invite à questionner les potentielles filiations artistiques mais aussi à mettre en avant la singularité des pratiques de la jeune génération aux protocoles de plus en plus complexes. Un ouvrage bilingue français/anglais aux éditions Hatje Cantz prolongera cette exposition et réunira des réflexions, des textes fondateurs et des essais originaux de spécialistes. Avec les œuvres de Anne-Camille Allueva, Driss Aroussi, Mustapha Azeroual, Eric Baudart, Camille Benarab-Lopez, Jesús Alberto Benítez, Walead Beshty, Juliana Borinski, Broomberg & Chanarin, Michel Campeau, David Coste, Philippe Durand, Nicolas Floc’h, Marina Gadonneix, Jean-Louis Garnell, Isabelle Giovacchini, Lukas Hoffmann, Karim Kal, Anouk Kruithof, Isabelle Le Minh, Chris McCaw, Constance Nouvel, Aurélie Pétrel, Diogo Pimentão, Sébastien Reuzé, Evariste Richer, Meghann Riepenhoff, Alison Rossiter, Doriane Souilhol, Hiroshi Sugimoto, Thu-Van Tran, Laure Tiberghien et James Welling. Aussi : La Photographie à l’épreuve de l’abstraction La Photographie à l’épreuve de l’abstraction Dates27 Septembre 2020 14 h 00 min - 21 Janvier 2021 18 h 30 min(GMT+00:00) LieuCPIF - Centre Photographique d'Ile-de-France107 Avenue de la République, 77340 Pontault-CombaultOther Events CPIF - Centre Photographique d'Ile-de-France107 Avenue de la République, 77340 Pontault-CombaultDu mercredi au vendredi de 13h à 18h. Les samedis et dimanches de 14h à 18h. Autres créneaux horaires sur rendez-vous. Entrée libre CPIF - Centre Photographique d'Ile-de-France Get Directions CalendrierGoogleCal FRAC Normandie Rouen3 Place des Martyrs de la Résistance 76300 Sotteville-lès-Rouen sam12sep(sep 12)14 h 00 mindim06déc(déc 6)18 h 00 minLa Photographie à l'épreuve de l'abstractionLa couleur au jour le jourFRAC Normandie Rouen, 3 Place des Martyrs de la Résistance 76300 Sotteville-lès-Rouen Détail de l'événementPour la quatrième édition du Festival Normandie Impressionniste, le Fonds régional d’art contemporain (Frac) Normandie Rouen, associé au Centre Photographique d’Île-de-France (CPIF) ainsi qu’à Micro Onde – Centre d’art de Détail de l'événement Pour la quatrième édition du Festival Normandie Impressionniste, le Fonds régional d’art contemporain (Frac) Normandie Rouen, associé au Centre Photographique d’Île-de-France (CPIF) ainsi qu’à Micro Onde – Centre d’art de l’Onde, propose un programme exceptionnel de trois expositions communes dédiées à la problématique de l’abstraction dans le champ de la photographie contemporaine. C’est la première fois que cet enjeu majeur et actuel dans le domaine de la photographie fait l’objet d’une grande exposition en France. Liée à l’évolution du statut de l’image comme à l’essor des nouvelles technologies mais aussi à de véritables tendances qui parcourent aujourd’hui la photographie, la pluralité des démarches sera révélée au sein des trois expositions simultanées et complémentaires dans ces trois lieux. Ce projet d’envergure qui constitue une opportunité unique de s’interroger sur la possibilité d’une photographie contemporaine abstraite, s’articule autour de quatre axes. Au Frac Normandie Rouen, un premier axe amorce un penchant avéré pour un abord quasi archéologique de la photographie, de ses composantes scientifiques jusqu’à l’apparition d’une iconographie propre à la photographie argentique. Un deuxième axe rassemble, par contraste, des artistes dont la quête d’abstraction passe avant tout par des approches faisant appel à des procédés technologiques parfois complexes. Les techniques liées aux modes d’impression les plus divers comme la création de programmes informatiques des plus performants permettent alors de développer un nouveau langage, sans plus aucun référent apparent au monde matériel. Un troisième axe met, quant lui, en valeur des stratégies ouvertement formelles jouant autant sur le prisme, la sculpture que l’architecture, et ménage des jeux sur la surface et l’espace. Cet axe, amorcé au Frac, est principalement développé au CPIF au travers du spectre lumineux qui régit l’accrochage. La décomposition chromatique est le prétexte pour assembler expériences numériques et manipulations argentiques, et réinterroger le rapport au réel. Enfin, à Micro Onde, le quatrième axe développé relève d’une approche résolument expérimentale et matiériste de la photographie prenant racine dans les célèbres photogrammes de cristaux et de ciels réalisés à la fin du XIXème siècle par le dramaturge suédois August Strindberg. Il met en évidence autant une pensée matériologique que des expérimentations scientifiques et photographiques qui instaurent de nouveaux rapports à l’image et à la science. S’appuyant sur des prêts d’envergure en France comme à l’étranger, seront présentés des artistes de la jeune génération tels Anne-Camille Allueva, Pauline Beaudemont, Matan Mittwoch, Constance Nouvel, Sarah Ritter ou Laure Tiberghien mais aussi des figures majeures et incontournables de la photographie contemporaine tels Stan Douglas, Wade Guyton, Paul Graham, Barbara Karsten, Zoe Leonard, Thomas Ruff et James Welling. Un ouvrage bilingue aux éditions Hatje Cantz convoquant les spécialistes dans ce domaine concourra à donner une grande visibilité à ce sujet encore très peu abordé en France. Photo : Paul Graham, Kodak Ektar 25, Empty Heaven, 1991 de la série Films, 2011. Courtesy Anthony Reynolds Gallery, London © Paul Graham Aussi : La Photographie à l’épreuve de l’abstraction La Photographie à l’épreuve de l’abstraction Dates12 Septembre 2020 14 h 00 min - 6 Décembre 2020 18 h 00 min(GMT+00:00) LieuFRAC Normandie Rouen3 Place des Martyrs de la Résistance 76300 Sotteville-lès-Rouen Other Events Get Directions CalendrierGoogleCal Micro Onde, Centre d'art de l'Onde8 bis, avenue Louis-Breguet 78140 Vélizy-Villacoublay sam19sep(sep 19)14 h 00 minsam21nov(nov 21)18 h 00 minLa Photographie à l'épreuve de l'abstractionMicro Onde, Centre d'art de l'Onde, 8 bis, avenue Louis-Breguet 78140 Vélizy-Villacoublay Détail de l'événementCe cycle d’expositions conçu en trois volets simultanés avec le Frac Normandie Rouen, le Centre Photographique d’Île-de-France et le centre d’art Micro Onde dresse un panorama des relations entre photographie Détail de l'événement Ce cycle d’expositions conçu en trois volets simultanés avec le Frac Normandie Rouen, le Centre Photographique d’Île-de-France et le centre d’art Micro Onde dresse un panorama des relations entre photographie et abstraction dans la création contemporaine. En ouvrant la photographie à de nouvelles expérimentations, de nombreux artistes, qu’ils se revendiquent ou non photographes, revisitent l’abstraction : monochromes, miroitements colorés, planéité ou mise en espace.L’abstraction telle qu’elle est ici envisagée est liée à l’essor de nouvelles technologies mais aussi à de véritables tendances qui parcourent aujourd’hui la photographie. Au centre d’art de l’Onde, l’exposition prendra pour point de départ l’activité photographique du célèbre dramaturge suédois August Strindberg, pour sonder des pratiques artistiques contemporaines qui investiguent la matérialité de l’image. Photo : Marina Gardonneix, Untitled (Black Hole Collision), 2017 Aussi : La Photographie à l’épreuve de l’abstraction La Photographie à l’épreuve de l’abstraction Dates19 Septembre 2020 14 h 00 min - 21 Novembre 2020 18 h 00 min(GMT+00:00) LieuMicro Onde, Centre d'art de l'Onde8 bis, avenue Louis-Breguet 78140 Vélizy-VillacoublayOther Events Get Directions CalendrierGoogleCal A LIRE : 2020 : Interview Véronique Souben Frac Rouen, Miguel Magalhaes Fondation Gulbenkian Paris et Diogo Pimentão Covid-19 et les artistes : Laure Tiberghien, artiste photographe Rencontre avec Véronique Souben, directrice du Frac Normandie Rouen Véronique Souben face au défi de la réactivation de l’Antique Marque-page0
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