S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) 6 jours ago
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 6) 15 heures ago
Salon du dessin 2025, Galerie Larock-Granoff : Interview Gabrielle Larock « Donner la parole aux femmes fait partie de ma ligne directrice » 4 jours ago
Interview Stéphanie Pécourt, Centre Wallonie Bruxelles : « Un manifeste dissident pour un cosmopolitisme renouvelé. » 7 jours ago
« Corps et âmes », une nouvelle saison incandescente à la Pinault Collection-Bourse de commerce 21 mars 2025
Photo PFP – Portrait de Femmes Photographes Glwadys Le Moulnier1 août 2017 Partager Partager Temps de lecture estimé : 3minsJe lance cette chronique car je pense que les femmes sont complètement sous représentées dans le milieux de la photographie. En tant que photographe et femme, il est de ma responsabilité de ne pas attendre une reconnaissance mais d’en enclencher le processus. Je sais que nous avons la capacité de faire bouger les lignes. J’écrivais il y a deux ans cet article « Le milieux de la photographie est-il misogyne? » et il débutait comme ceci: … en chiffres, l’unique étude que j’ai trouvé ou les femmes sont évoquées émane du Ministère de la Communication et date de 2015. Nous y apprenons que les femmes représentent 28% de l’ensemble de la profession soit 7000 sur 25 000 photographes. Qu’en une dizaine d’années la progression des femmes dans la photographie représente 7% (passant de 21 à 28% entre 1993 et 2012). Tous photographes confondus, 48% ont moins de 40 ans et 52% plus de 40 ans. Sur la population féminine (28% donc), la majorité se situe sur une échelle d’âge inférieur à 40 ans. Après 49 ans elle passe de 25% à 5% alors que celle des hommes passe de 23 à 26% sur les 72% de population qu’ils représentent. Ce qui fait de la photographie une discipline largement masculine, vieillissante dont le renouvellement se féminise…Un peu… Je lançais cet article comme une bouteille à la mer, déjà épuisée par tout ce que j’avais affronté au quotidien depuis ma sortie de la faculté trois ans auparavant. Et deux ans après je suis heureuse parce que les choses changent, et surtout je me sens moins seule (Colère Nom Féminin, Fondation des Femmes, dernier hors série de Fish eye, expositions et livres divers). Quelque chose est dans l’air, quelque chose est en train d’arriver et je veux en être. Je veux être de celles qui ne subissent pas et qui inspirent. Et je veux donner à d’autres l’envie d’en être aussi. La chronique PFP me permettra au fil du temps de revenir sur mon apprentissage de la photographie et de réintroduire la juste place des femmes. Toutes ne me parlent pas, toutes ne m’intéressent pas et mes choix seront nécessairement peu objectifs. Mais j’assume ce choix de laisser ma personnalité s’exprimer et voir ce qu’il en ressort. D’une certaine façon je reprends à zéro en acceptant que je ne sais pas et qu’un monde merveilleux est en train de s’ouvrir à moi. To be continued… Plus d’articles: Livre: femmes photographes: une introduction Suis-je féministe? Le milieu de la photographie est-il misogyne? Photo: No eyes No hands, Glwadys Le Moulnier Marque-page0
L'Interview Interview Anne Lacoste, directrice, Institut pour la photographie A l’initiative de la Région Hauts-de-France en collaboration avec les Rencontres d’Arles, l’Institut pour la photographie est porté par des ambitions fortes, ...
News Véronique de Viguerie, nouvelle lauréate du Prix Roger Pic Le jury vient de se réunir pour décerner la 33ème édition du Prix Roger Pic pour récompenser le travail d’un·e photographe « ...
Photo Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 6) Nous poursuivons aujourd’hui, la publication du journal de bord du photographe Pierre-Elie de Pibrac, actuellement en Israël dans le cadre de son ...
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) 6 jours ago
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 6) 15 heures ago
Salon du dessin 2025, Galerie Larock-Granoff : Interview Gabrielle Larock « Donner la parole aux femmes fait partie de ma ligne directrice » 4 jours ago
Interview Stéphanie Pécourt, Centre Wallonie Bruxelles : « Un manifeste dissident pour un cosmopolitisme renouvelé. » 7 jours ago
« Corps et âmes », une nouvelle saison incandescente à la Pinault Collection-Bourse de commerce 21 mars 2025