Arianna Sanesi nommée lauréate de la 1ère édition de la résidence photographique Chambre noire 5 jours ago
Interview Clothilde Morette, directrice artistique de la MEP : « Remettre au centre de l’histoire de l’art et de la photographie certains artistes invisibilisés » 10 mars 2025
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) 3 jours ago
Salon du dessin 2025, Galerie Larock-Granoff : Interview Gabrielle Larock « Donner la parole aux femmes fait partie de ma ligne directrice » 1 jour ago
Interview Stéphanie Pécourt, Centre Wallonie Bruxelles : « Un manifeste dissident pour un cosmopolitisme renouvelé. » 4 jours ago
« Corps et âmes », une nouvelle saison incandescente à la Pinault Collection-Bourse de commerce 21 mars 2025
Partager Partager Temps de lecture estimé : 2minsPour sa quatrième et dernière carte blanche, le directeur de la galerie Polaris, Bernard Utudjian, a choisi de nous parler du travail de Ruddy Roye, photographe jamaïcain vivant à Brooklyn. Un « œil humaniste » à découvrir jusqu’au 24 février à la galerie à l’occasion de son exposition « When Living is A Protest ». Ruddy utilise son appareil photo comme un outil qui lui permet de documenter le monde qui l’entoure. De New-York à la Nouvelle Orléans, de la Jamaïque à Cleveland, ses photographies nous parlent de la condition humaine, en abordant la myriade de cas d’indifférence et d’injustice dont il est témoin quotidiennement. © Ruddy Roye Lorsque j’ai découvert le travail de Ruddy Roye, j’ai été surpris par le regard des personnes photographiées. Il ne pouvait pas s’agir de photographies prises à la sauvette dans la ville ou les campagnes. J’ai compris que l’artiste dialoguait longuement avec celles et ceux qu’il voulait photographier. Échanger sur leur vie quotidienne, la difficulté de vivre, leur situation souvent précaire. Se connaître l’un l’autre. Le photographe le décrit de façon très poétique dans un de ses textes (chaque photographie est accompagnée d’un texte écrit par l’artiste) : « Je fais passer leurs histoires entre le bout de mon index et la paume de ma main gauche, les cassant soigneusement comme des brindilles séchées, brûlant le courage de leurs âmes pour en faire de purs êtres humains ». Et c’est ce pouvoir du photographe et de la photographie qui transparaît dans cette œuvre, celui de (re)donner de la dignité aux êtres humains. INFORMATIONS PRATIQUES Galerie Polaris - Bernard Utudjian15 rue des Arquebusiers 75003 Paris sam27jan(jan 27)11 h 00 minsam24fev(fev 24)19 h 00 minRuddy RoyeWhen Living is A ProtestGalerie Polaris - Bernard Utudjian, 15 rue des Arquebusiers 75003 Paris Détail de l'événementRuddy Roye est un photographe basé à Brooklyn, né à Montego Bay, en Jamaïque. Il utilise son appareil photo comme un outil qui lui permet de documenter le monde qui l’entoure. Détail de l'événement Ruddy Roye est un photographe basé à Brooklyn, né à Montego Bay, en Jamaïque. Il utilise son appareil photo comme un outil qui lui permet de documenter le monde qui l’entoure. De New-York à la Nouvelle Orléans, de la Jamaïque à Cleveland, ses photographies nous parlent de la condition humaine, en abordant la myriade de cas d’indifférence et d’injustice dont il est témoin quotidiennement. Des images qui sont souvent ignorées ou non publiées. Pourtant, ces photographies que ce soit, celles sur les conséquences d’événements tels que l’ouragan Katrina, , ou le mouvement Black Lives Matter, le sans-abrisme chronique et son propre projet personnel When Living is A Protest (Quand vivre est un acte de résistance) n’existent pas seulement pour capturer la misère, mais aussi pour transmettre la force, la résilience et la compassion. Les portraits de Roye sont souvent réalisés en collaboration avec les personnes qu’il photographie, comme un échange, et accompagnés d’un texte de l’artiste, qui humanise cette rencontre. Roye s’inspire de la vie rude et quotidienne des pauvres, des laissés-pour-compte, des “oubliés”, et en particulier de ceux de son pays d’origine, la Jamaïque. Il s’efforce de “raconter l’histoire de leurs maux mais aussi de leurs victoires en faisant entendre leur voix sur les médias sociaux et sur le papier photographique. Dates27 Janvier 2024 11 h 00 min - 24 Février 2024 19 h 00 min(GMT-11:00) LieuGalerie Polaris - Bernard Utudjian15 rue des Arquebusiers 75003 ParisOther Events Get Directions En savoir plus CalendrierGoogleCal Marque-page0
L'Invité·e Carte blanche à Hervé Castaing : Destination Venise Pour sa quatrième et dernière carte blanche, notre invité de la semaine, Hervé Castaing – fondateur de la galerie Mostra à Nantes, ...
Interview Art Contemporain Salon du dessin 2025, Galerie Larock-Granoff : Interview Gabrielle Larock « Donner la parole aux femmes fait partie de ma ligne directrice » Les Larock représentent la 4ème génération de descendants de Katia Granoff, ukrainienne arrivée à Paris 1924, pionnière, qui a défendu les impressionnistes ...
L'Ephéméride Ça s’est passé un 28 mars : mort du photographe Michel Vanden Eeckhoudt Le 28 mars 2015, il y a tout juste 10 ans, le photographe belge, Michel Vanden Eeckhoudt, meurt à Bruxelles à l’âge ...
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
Arianna Sanesi nommée lauréate de la 1ère édition de la résidence photographique Chambre noire 5 jours ago
Interview Clothilde Morette, directrice artistique de la MEP : « Remettre au centre de l’histoire de l’art et de la photographie certains artistes invisibilisés » 10 mars 2025
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) 3 jours ago
Salon du dessin 2025, Galerie Larock-Granoff : Interview Gabrielle Larock « Donner la parole aux femmes fait partie de ma ligne directrice » 1 jour ago
Interview Stéphanie Pécourt, Centre Wallonie Bruxelles : « Un manifeste dissident pour un cosmopolitisme renouvelé. » 4 jours ago
« Corps et âmes », une nouvelle saison incandescente à la Pinault Collection-Bourse de commerce 21 mars 2025