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Entretien avec Nele Verhaeren, Art Brussels, 41e édition : Un programme artistique très exigeant ! 8 avril 2025
Partager Partager L'InterviewNewsPhoto Parlement de la Photographie 2023 : Des avancées vertes, pour une transition écologique Entretien avec Aurélie de Lanlay et Pauline Guélaud Ericka Weidmann22 mai 2023 Pour la troisième année consécutive, 9 Lives magazine poursuit son partenariat avec le ministère de la Culture dans le cadre de la quatrième édition du Parlement de la Photographie, qui se déroulera les 8 et 9 juin prochains. Chaque jour, nous vous dévoilerons les différentes thématiques explorées à travers de courts entretiens. Aujourd’hui, nous vous proposons de découvrir les points qui seront évoqués lors de la table ronde intitulée « Des avancées vertes : pour une transition écologique » avec deux des quatre intervenants : Aurélie de Lanlay, directrice adjointe des Rencontres d’Arles et Pauline Guélaud – chargée de mission pour la commande artistique, et référente écologie à la délégation aux arts visuels. Pour cette toute première table ronde, nous vous proposons de rencontrer la directrice adjointe des Rencontres d’Arles Aurélie de Lanlay, et Pauline Guélaud, chargée de mission pour la commande artistique et référente écologie à la délégation aux arts visuels (DGCA) autour des enjeux écologiques dans le secteur des arts visuels et pour comprendre comment la transition écologique se met en place. Après avoir été nommée administratrice générale des Rencontres d’Arles en 2012, Aurélie de Lanlay devient la directrice adjointe du festival en 2019. Les équipes s’interrogent sur les questions de transitions écologiques depuis près de 20 ans. Si les premières actions se sont faites de manière empirique, dans le réemploi des ressources par exemple, petit à petit, les initiatives se sont structurées et mettent en avant le partage d’expériences. L’éco-responsabilité et la responsabilité sociale des organisations se sont imposées naturellement au fil des dernières années. Actuellement, à la délégation aux arts visuels du ministère de la Culture, une feuille de route est en cours de rédaction dans le cadre du groupe défi environnemental permettant d’approfondir plusieurs pistes de réflexion, autour notamment des questions de l’engagement des artistes en matière de création dans le champ de l’écologie. D’autres pistes sont également explorées, comme le référentiel carbone et le soutien d’un pacte d’engagement permettant une mobilisation des acteurs dans leur transition écologique. INFORMATIONS PRATIQUES Le Parlement de la photographie vous propose deux jours de rencontres, les 8 et 9 juin 2023 au Palais de Tokyo et accessibles en ligne Vous souhaitez suivre la table ronde « L’éducation à l’image, des expérimentations sur le territoire ». 📅 Rendez-vous le 9 juin 2023 à 10h00 (Durée 1h30) Avec : Aurélie de Lanlay – directrice adjointe des Rencontres d’Arles, Guillaume Désanges – président du Palais de Tokyo, Fanny Legros – fondatrice et directrice de Karbone Prod, Pauline Guélaud – chargée de mission pour la commande artistique, référente écologie, délégation aux arts visuels (DGCA). Charlotte Fauve – journaliste, Télérama. Palais de Tokyo13 Avenue du Président Wilson, 75116 Paris jeu08jui(jui 8)9 h 00 minven09(jui 9)18 h 00 min4ème édition du Parlement de la Photographie : De nouveaux horizons pour la photographiePalais de Tokyo, 13 Avenue du Président Wilson, 75116 Paris Détail de l'événementLe ministère de la Culture renouvèle en juin 2023 la tenue du Parlement de la photographie avec sa 4e édition sous une forme hybride permettant une grande accessibilité à l’événement Détail de l'événement Le ministère de la Culture renouvèle en juin 2023 la tenue du Parlement de la photographie avec sa 4e édition sous une forme hybride permettant une grande accessibilité à l’événement : deux journées de rencontres en présentiel et en ligne depuis le Palais de Tokyo. Attentif aux problématiques actuelles et nouvelles de la filière, le Parlement de la photographie s’attache à rendre compte, expliquer et mettre en débat les sujets qui animent la photographie et son écosystème. Quatre grandes thématiques dressent le portrait d’un secteur en prise avec des enjeux sociétaux et culturels majeurs : l’éco-responsabilité et la transition écologique, le parcours du photographe-auteur, l’éducation à l’image et enfin le devenir marchand et technologique de la photographie. Onze tables rondes et rencontres rythmeront les deux journées du Parlement, invitant plus d’une quarantaine de personnalités du monde de la photographie (photographes, journalistes, historiens, directeurs de structures, responsables de réseaux, enseignants, juristes …) à nourrir un programme riche et diversifié à l’image de la pluralité des enjeux de la photographie. Informations pratiques : 8 et 9 juin 2022 Lieu : Palais de Tokyo (Salle Toguna), 13, avenue du Président Wilson 75116 Paris Métro : Ligne 9, stations Iéna et Alma Marceau Bus : Lignes 32, 42, 63, 72, 80, 82, 92 RER : Ligne C, Station Pont de l’Alma Velib’ : Station 8046 (Marceau – Président Wilson) Présence de parkings à proximité Présence de bornes de rechargement électrique à proximité Programme : https://www.culture.gouv.fr/Thematiques/Photographie/Le-Parlement-de-la-photographie Accessible en présentiel et en ligne. Ouverture des inscriptions le mercredi 10 mai. Un événement organisé par le ministère de la Culture avec 9Lives et Le Quotidien de l’Art. Crédits photo (de gauche à droite) : © Sara Ritter, Les éléments_7 | © Bénédicte Kurzen, les douanes / Grande Commande Photojournalisme Dates8 Juin 2023 9 h 00 min - 9 Juin 2023 18 h 00 min(GMT-11:00) LieuPalais de Tokyo13 Avenue du Président Wilson, 75116 ParisOther Events Palais de Tokyo Get Directions CalendrierGoogleCal Virtual Event Details Event has already taken place! >>> INSCRIVEZ VOUS : https://parlementdelaphoto.eventmaker.io/registration/644287ceec3ee2006b4551b7?force_new_registration=true Photo de couverture : © Bénédicte Kurzen (détail). Kurzen , Ziara – Les douanes / Grande Commande Photojournalisme. Visuel du Parlement de la Photographie 2023. (Voir le visuel complet en cliquant-ici) ACTUALITÉS DES INTERVENANTS Les Rencontres d'Arles32, rue du Docteur Fanton 13200 Arles lun03jul(jul 3)10 h 00 mindim24sep(sep 24)19 h 00 minLes Rencontres d'Arles 2023Un état de conscienceLes Rencontres d'Arles, 32, rue du Docteur Fanton 13200 Arles Détail de l'événementTel un relevé sismographique de notre temps, chaque année les Rencontre d’Arles se font l’écho de l’état de conscience de notre monde, aussi étrange qu’il puisse paraître. Les photographes, artistes Détail de l'événement Tel un relevé sismographique de notre temps, chaque année les Rencontre d’Arles se font l’écho de l’état de conscience de notre monde, aussi étrange qu’il puisse paraître. Les photographes, artistes et commissaires nous donnent à voir, à percevoir, avec une acuité aiguisée, les transformations que nous vivons. La prise en considération – a minima – du réchauffement climatique s’est imposée à nous, impactant directement nos habitudes. Conscient de la nécessité et de son rôle de défricheur, le festival, en collaboration avec la Cité Anthropocène de Lyon, s’est lancé cette année dans l’exploration du territoire arlésien et de son écosystème. Scientifiques, chercheurs, penseurs et artistes sont partis à sa découverte afin d’en faire un état des lieux. Choisi comme QG de cette réflexion, Ground Control, ancienne halle industrielle de la SNCF, a été au coeur de toutes les discussions ; en résulte un dispositif de reformulation de l’espace. L’exploration du territoire peut prendre de multiples formes. Ainsi, l’exposition Soleil Gris d’Eric Tabuchi et Nelly Monnier présente un corpus territorial issu du travail au long court Atlas des Régions Naturelles. Tandis que l’enquête sur la zone industrielle, autrefois fleuron de la modernité de Tarascon, menée par Mathieu Asselin au coeur de l’exposition Ici près nous en donne une tout autre vision. Entouré de Tanja Engelberts explorant le Rhône et de Sheng-Wen Lo en arpenteur camarguais ; chacun par son approche et sa sensibilité nous rappelle que cet espace entre terre et eau est à protéger, si l’on veut pouvoir continuer à en jouir dans un futur proche. Car la Camargue c’est surtout le delta et son fleuve, Yohanne Lamoulère nous propose un voyage entre étrange et réalisme à la fois hors du temps et magique. Non loin de là, aux Saintes-Maries-de-la-Mer, Lumières des Saintes explore l’histoire de ce pèlerinage sur plus d’un siècle avec ses moments joyeux mais aussi ses temps tragiques. Entre matériel vernaculaire issu d’archives et grands noms de la photographie, nombreux sont les artistes à avoir fait le voyage, de Chiki Weisz à Lucien Clergue, d’Erwin Blumenfeld à Martine Franck, pour nous faire rêver et revivre une partie de ce qui fait l’histoire de la Camargue. Marseille, terre d’arrivée et de départ, halte avant une prochaine étape, ville de passage de femmes et d’hommes venus du Maghreb et de l’Afrique subsaharienne. C’est de cette histoire que témoignent les archives du Studio Rex du quartier de Belsunce que Jean-Marie Donat nous fait découvrir. Souvenir lointain et exil. Entre nos murs retrace une Histoire de l’Iran des années 1950 à nos jours tandis que la présence de la diaspora iranienne sur la côte ouest américaine est rendue visible avec Soleil of Persian Square d’Hannah Darabi. Se promener à travers l’Histoire de notre monde et de l’actualité c’est ce que propose l’exposition célébrant les 50 ans du journal Libération à l’abbaye de Montmajour. Photographie vernaculaire et archives, les supports sont multiples pour documenter une époque et scandent une partie de la programmation. En 2004, deux antiquaires découvrent 340 photographies tirages et polaroïds des années 1950 et 1960 sur un marché aux puces de New York. Ces images content l’histoire d’une Amérique, celle de la Casa Susanna, celle dont on ne pouvait parler, d’une minorité qui risquait à tout moment sa place dans la société. D’une intimité secrète naissent toutes ces photographies qui ont la particularité de représenter des hommes travestis en femme d’intérieur – telles qu’elles furent vantées par cette Amérique victorieuse de l’après-guerre. Ces images sont là pour témoigner de l’essentialité de la photographie pour l’un des premiers réseaux de la communauté LGBTQIA+. Une autre Amérique surgit, avec Gregory Crewdson, qui convie les techniques cinématographiques dans sa réalisation d’images d’un rêve en déliquescence, l’Amérique de la crise. C’est l’aboutissement de 10 ans de travail. C’est la version noire des images d’Edward Hopper, image à la Melville et représentation du polar qui tourne mal, tout comme dans l’Ami américain dont Wim Wenders nous révèle la genèse de son film dans ses polaroïds avec Dennis Hopper et Bruno Ganz. Kaléidoscopique, la richesse de la rétrospective de Saul Leiter nous invite, entre noir, blanc, et couleur, à une déambulation dans les rues de New York ; comme Diane Arbus, née la même année que Saul Leiter, en 1923, à travers une exposition présentée par LUMA Arles. Tandis qu’à la même époque, à la fin des années 1940, Agnès Varda revient à Sète après y avoir passé la période de l’occupation. Elle photographie la vie locale du quartier populaire de la Pointe courte, prémisse quelques années plus tard de son premier long métrage La Pointe courte avec Philippe Noiret et Silvia Montfort. Cette année encore, l’expérimentation traverse le champ des expositions et des thématiques. Avec le scrapbook dont l’origine de la pratique anglo-saxonne mêle la tradition de l’album photo au journal intime pour prendre une forme très cinématographique, mais également par la manipulation du médium photographique de Zofia Kulik qui vient construire une nouvelle identité féminine, pleine de symboles. Aux confins de l’expédition et de l’expérience des premiers inventeurs, Roberto Huarcaya convoque dans une pratique nocturne la technique du photogramme pour jouer de nos sens dans la représentation de la forêt tropicale péruvienne pendant que Juliette Agnel nous invite au mystère de nos origines dans les cryptoportiques, lieu antique et magique, investi pour la première fois cette année par le festival. Et pour finir une exposition, non moins importante dans la poursuite de la représentation de la création féminine, qui convoque les pays nordiques et la découverte d’une scène méconnue, de l’après-guerre à l’époque contemporaine, où une réflexion sur la relation que l’État providence a entretenue avec une certaine idée de la sororité [Søsterskap] se déploie au travers des regards de 18 photographes. Cette année, c’est l’artiste finlandaise Emma Sarpaniemi, qui signe l’affiche du festival avec son autoportrait, à retrouver à l’église Sainte-Anne. Les Rencontres d’Arles font cette année encore la part belle à l’émergence avec l’exposition Une attention particulière, réunissant l’oeuvre photographique de trois étudiants de l’École nationale supérieure de la photographie, et le Prix Découverte Fondation Louis Roederer à l’église des frères Prêcheurs, écrin du magnifique travail sur la scène du grand Sud proposé par la commissaire Tanvi Mishra, qui nous ouvre de nouveaux horizons de Kolkata au Caire, en passant par Dhaka. Avec Aurélie de Lanlay, et toute l’équipe du festival, nous vous attendons pour vous faire découvrir l’ensemble de la programmation, dès le 3 juillet à Arles. Christoph Wiesner Dates3 Juillet 2023 10 h 00 min - 24 Septembre 2023 19 h 00 min(GMT-11:00) LieuLes Rencontres d'Arles32, rue du Docteur Fanton 13200 ArlesOther Events Get Directions CalendrierGoogleCal Marque-page0
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