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Partager Partager Temps de lecture estimé : 12minsEntre la BNF –site Richelieu- métamorphosée, Munch au musée d’Orsay, Kokoschka, Patti Smith, Frida Kahlo, Henri Cartier Bresson et Martin Parr, les espions à la Cinémathèque, la science-fiction au Centre Pompidou-Metz… la programmation de cet automne nous redonne de l’élan alors que l’exercice de la rentrée parisienne tourne déjà à la déprime ! Morceaux choisis pour faire le plein de pep’s, dans l’ordre et le désordre. Edvard Munch. Un poème de vie, d’amour et de mort, musée d’Orsay (20 septembre-22 janvier 2023) En partenariat avec le musée Munch d’Oslo, l’exposition présente une centaine d’œuvres, peintures, mais aussi dessins, estampes ou encore blocs gravés, rendant compte de la diversité de sa pratique. Cette présentation d’ampleur, à la dimension rétrospective, embrassera l’ensemble de la carrière de l’artiste https://www.musee-orsay.fr/ Venise Révélée Grand Palais immersif (21 septembre-19 février 2023) L’invention de Venise tient du miracle. Miracle d’ingénierie, d’architecture et miracle artistique, cette ville incomparable, construite de toutes pièces sur une lagune, lutte depuis plusieurs siècles contre la mer qui fait aussi sa richesse. Percer ses mystères, découvrir ses trésors, mesurer l’étendue de sa splendeur: c’est ce que permet Venise Révélée, au moyen d’images inédites et surprenantes, de projections géantes et immersives et de dispositifs interactifs ludiques et innovants. Le Grand Palais Immersif s’installe à Paris dans le 12e (Métro Bastille). https://www.grandpalais.fr/ Frida Kahlo, au-delà des apparences au Palais Galliera (15 septembre-5 mars) Frida Kahlo par Nickolas Muray Frida Kahlo, Autoportrait au Resplandor Si l’on peut parler d’une « Fridamania » que les fans se rassurent, ils peuvent assouvir leur passion car pour la première fois en France et en étroite collaboration avec le Museo Frida Kahlo, l’exposition rassemble plus de 200 objets provenant de la Casa Azul, la maison où Frida est née et a grandi : vêtements, correspondances, accessoires, cosmétiques, médicaments, prothèses médicales… Ces effets personnels ont été mis sous scellés au décès de l’artiste, en 1954, par son mari le peintre muraliste mexicain Diego Rivera, et ont été redécouverts cinquante ans plus tard, en 2004. https://www.palaisgalliera.paris.fr/fr Füssli, entre rêve et fantastique, musée Jacquemart-André (16 septembre- 23 janvier) Füssli – Musée Jacquemart André Des sujets shakespeariens aux représentations du rêve, du cauchemar et des apparitions, en passant par les illustrations mythologiques et bibliques, Füssli développe une nouvelle esthétique qui oscille entre rêve et fantastique. https://www.musee-jacquemart-andre.com/fr/ Face au soleil, un astre dans les arts, Musée Marmottan-Monet (21 septembre-29 janvier) En 2022, le musée Marmottan Monet, en collaboration avec le Museum Barberini, célèbrent les 150 ans, Impression, soleil levant et lui rendent hommage à travers l’exposition « Face au Soleil, un astre dans les arts » https://www.marmottan.fr/ Miroir du monde –Chefs d’œuvre du Cabinet de Dresde, Musée du Luxembourg (14 septembre- 15 janvier) L’exposition du Musée du Luxembourg réunit une centaine d’œuvres et objets exceptionnels collectés entre le XVIe et le XVIIIe siècle par les puissants Princes électeurs de Saxe. Dans la période marquée par la lutte pour le pouvoir impérial entre les Électorats du Saint Empire romain germanique et les cours européennes, cette collection éclatante de richesse montre le pouvoir politique du Prince électeur. Composée d’objets d’art, d’instruments et de livres scientifiques, de matériaux naturels et d’objets ethnographiques, la Kunstkammer ou « cabinet d’art » fut la première collection d’Europe à ouvrir ses portes au grand public qui la considérait comme un lieu de savoir et d’éducation. https://museeduluxembourg.fr/ Parisiennes citoyennes ! Musée Carnavalet (28 septembre- 29 janvier) Pierre Michaud, 6 oct 1979 Marche des femmes, Groupe de femmes assises faisant le signe « féministe », 1979© Pierre Michaud / Gamma Rapho Graphisme : Atelier Pierre Michaud Dans un Musée Carnavalet entièrement transformé, les « Parisiennes citoyennes » ont mille et un visages au service d’innombrables causes, dans une capitale qui crée l’événement, fabrique des icônes et rend possible les avant-gardes et les combats collectifs. Peintures, sculptures, photographies, films, archives, affiches, manuscrits, ou autres objets militants voire insolites, rendent compte de la diversité des combats et des modes de revendications. https://www.carnavalet.paris.fr/ Musée Carnavalet - Histoire de Paris23 Rue de Sévigné, 75003 Paris mer28sep(sep 28)10 h 00 min2023dim29jan(jan 29)18 h 00 minParisiennes citoyennesEngagements pour l’émancipation des femmes (1789-2000)Musée Carnavalet - Histoire de Paris, 23 Rue de Sévigné, 75003 Paris Détail de l'événementL’exposition « Parisiennes citoyennes ! » nous entraîne dans une ambitieuse traversée historique, de la Révolution française jusqu’à la loi sur la parité, sur les traces des luttes que les Détail de l'événement L’exposition « Parisiennes citoyennes ! » nous entraîne dans une ambitieuse traversée historique, de la Révolution française jusqu’à la loi sur la parité, sur les traces des luttes que les femmes ont menées à Paris pour leur émancipation. Le musée Carnavalet présente une synthèse inédite sur l’histoire et la mémoire des luttes pour l’émancipation des femmes en se concentrant sur l’histoire des féminismes à Paris. Aux côtés de certaines figures incontournables, d’Olympe de Gouges à Gisèle Halimi, une large place est faite aux Parisiennes moins connues ou anonymes : citoyennes révolutionnaires de 1789, de 1830, de 1848, Communardes, suffragettes, pacifistes, résistantes, femmes politiques ou syndicalistes, militantes féministes, artistes et intellectuelles engagées, travailleuses en grève, collectifs de femmes immigrées… Le parcours de l’exposition suit un fil chronologique qui commence avec la revendication du « droit de cité » pour les femmes, pendant la Révolution, et se clôt avec la loi sur la parité, en 2000. Entre ces deux dates se déploie une dynamique de l’émancipation des femmes explorée dans toutes ses dimensions : elle implique le droit à l’instruction comme celui de travailler, les droits civils et les droits civiques, si difficiles à obtenir, mais aussi la liberté de disposer de son corps et l’accès à la création artistique et culturelle. Peintures, sculptures, photographies, films, archives, affiches, manuscrits, ou autres objets militants voire insolites, rendent compte de la diversité des combats et des modes de revendications. Les Parisiennes citoyennes ont mille et un visages au service d’innombrables causes, dans une capitale qui crée l’événement, fabrique des icônes et rend possible les avant-gardes et les combats collectifs. Autour de l’exposition Un ouvrage écrit par Christine Bard, avec des illustrations inédites de Lisa Mandel, comprenant 180 reproductions est publié aux Éditions Paris Musées. Dates28 Septembre 2022 10 h 00 min - 29 Janvier 2023 18 h 00 min(GMT-11:00) LieuMusée Carnavalet - Histoire de Paris23 Rue de Sévigné, 75003 ParisOther Events Musée Carnavalet - Histoire de Paris23 Rue de Sévigné, 75003 ParisLe musée est ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h. Musée Carnavalet - Histoire de Paris Get Directions CalendrierGoogleCal « Réconciliation » Henri Cartier Bresson avec Martin Parr (8 novembre – 12 février) Henri Cartier-Bresson, Blackpool, juillet 1962© Fondation Henri Cartier-Bresson / Magnum Photos Une petite révolution à l’occasion de la nomination de Clément Chéroux, nouveau directeur de la Fondation Cartier Bresson et de l’ouverture du Tube, extension du bâtiment du Marais. Cette exposition réconcilie les deux photographes, qu’un « gouffre » sépare comme Martin Parr le qualifie lui-même, à travers leurs regards, à trois époques différentes, sur la société du Nord de l’Angleterre au travail comme lors de ses loisirs. Si les deux photographes affichent ouvertement leurs différends artistiques, une récente découverte les nuancent. En 2021, la Cinémathèque française exhume un film réalisé au banc-titre, avec les photographies d’Henri Cartier-Bresson, par Douglas Hickox en 1962 pour la télévision britannique ITV/ABC. Dans Stop laughing – This is England (Cessez de rire, voici l’Angleterre), Cartier-Bresson y fait un portrait amusé des Anglais au travail et lors de leurs loisirs dans le Nord industriel du pays. https://www.henricartierbresson.org/ Fondation Henri Cartier Bresson79, rue des Archives 75003 Paris mar08nov(nov 8)11 h 00 min2023dim12fev(fev 12)19 h 00 minRéconciliationHenri Cartier-Bresson & Martin ParrFondation Henri Cartier Bresson, 79, rue des Archives 75003 Paris Détail de l'événementÀ l’occasion de l’inauguration de son nouvel espace, la Fondation HCB présente une exposition inédite sur l’oeuvre d’Henri Cartier-Bresson (1908-2004) et de Martin Parr (né en 1952). Cette exposition réconcilie Détail de l'événement À l’occasion de l’inauguration de son nouvel espace, la Fondation HCB présente une exposition inédite sur l’oeuvre d’Henri Cartier-Bresson (1908-2004) et de Martin Parr (né en 1952). Cette exposition réconcilie les deux photographes, qu’un « gouffre » sépare comme Martin Parr le qualifie lui-même, à travers leurs regards, à trois époques différentes, sur la société du Nord de l’Angleterre au travail comme lors de leurs loisirs. En 1989, Martin Parr, photographe de renom et néanmoins controversé pour ses photographies en couleur de la « middle class » britannique sur les plages du Nord de l’Angleterre, soulève un tollé lorsqu’il tente d’intégrer l’agence coopérative Magnum Photos. Henri Cartier-Bresson, co-fondateur de l’agence, fulmine contre cette perspective. Une rencontre des deux artistes permet une réconciliation amicale et la coexistence de leurs conceptions de la photographie, appartenant à « deux systèmes solaires différents » d’après Cartier-Bresson. Martin Parr intègre finalement Magnum Photos en 1994. Si les deux photographes affichent ouvertement leurs différends artistiques, une récente découverte les nuancent. En 2021, la Cinémathèque française exhume un film réalisé au banc-titre, avec les photographies d’Henri Cartier-Bresson, par Douglas Hickox en 1962 pour la télévision britannique ITV/ ABC. Dans Stop laughing – This is England (Cessez de rire, voici l’Angleterre), Cartier-Bresson y fait un portrait amusé des Anglais au travail et lors de leurs loisirs dans le Nord industriel du pays. Les photographies de Cartier-Bresson, commandées pour ce film, ainsi que les commentaires, résonnent de façon troublante, à 24 ans d’écart, avec le travail décrié de Martin Parr, publié dans l’ouvrage The Last Resort en 1986. L’exposition Réconciliation présente ce film ainsi que les tirages originaux d’Henri Cartier-Bresson qui en sont la matière première ; l’ouvrage The Last Resort de Martin Parr et une commande plus récente (2009/2010), Black Country Stories, passée à ce dernier pour retourner sur ses propres traces dans le Nord de l’Angleterre photographier… les Anglais au travail et lors de leurs loisirs. Trois époques, deux regards pour décrire une même société et son évolution (1962, 1986, 2010). Comme l’a dit Henri Cartier-Bresson : « Il n’est pas plus exotique que l’Angleterre ». Dates8 Novembre 2022 11 h 00 min - 12 Février 2023 19 h 00 min(GMT-11:00) LieuFondation Henri Cartier Bresson79, rue des Archives 75003 ParisOther Events Fondation Henri Cartier Bresson79, rue des Archives 75003 ParisLa Fondation est ouverte du mardi au dimanche de 11h à 19h. Plein tarif 10 € / Tarif réduit 5 € (sur justificatif) Fondation Henri Cartier Bresson Get Directions CalendrierGoogleCal Gisèle Freund – Ce Sud si lointain à la Maison de l’Amérique latine (21 octobre – 7 janvier) Marché d’Otavalo, Equateur, vers 1944. Gisèle Freund ©RMN – Grand Palais/ Gisèle Freund/IMEC. Service presse – Maison de l’Amérique latine Photographe, sociologue, journaliste, Gisèle Freund, connue pour ses célèbres portraits, vit ses plus fortes expériences esthétiques en Terre de Feu au fil de reportages et rencontres. Ces images révèlent la place importante qu’a occupée l’Amérique latine dans la trajectoire de la photographe et mettent en lumière la constante capacité de Gisèle Freund à s’intéresser non seulement au portrait humain « je n’ai jamais cessé de vouloir comprendre ce qui se trouve derrière un visage » mais à « l’être humain et ce qui l’entoure », à son environnement et à sa condition. https://www.mal217.org/ Maison de l’Amérique latine217 Boulevard Saint-Germain, 75007 Paris ven21oct(oct 21)10 h 00 min2023sam07jan(jan 7)20 h 00 minCe sud si lointainGisèle FreundMaison de l’Amérique latine, 217 Boulevard Saint-Germain, 75007 Paris Détail de l'événementÀ l’automne prochain, la Maison de l’Amérique latine invite le public à un voyage sensible en Amérique latine à travers le regard et les photo – graphies de Gisèle Freund. Détail de l'événement À l’automne prochain, la Maison de l’Amérique latine invite le public à un voyage sensible en Amérique latine à travers le regard et les photo – graphies de Gisèle Freund. Sous l’intitulé « Ce Sud si lointain »*, l’exposition met en valeur un patrimoine photographique de 72 images – tirages posthumes – , pour certaines inédites, réparties entre portraits de personnalités culturelles (majoritaire – ment), puis paysages, scènes de villages et de marchés, réalisées principalement entre 1941 et 1952. Ces images révèlent la place importante qu’a occupée l’Amérique latine dans la trajectoire de la photo – graphe germano-française, renommée pour ses portraits d’écrivains du XX e siècle devenus iconiques, caractérisés par un cadrage serré et l’usage de la couleur dès 1938. Elles mettent en lumière sa constante capacité à s’intéresser non seulement à l’expression corporelle d’une personne et à son vi – sage « je n’ai jamais cessé de vouloir comprendre ce qui se trouve derrière un visage », mais aussi à « l’être humain et ce qui l’entoure », à son environnement et à sa condition. C’est en 1941 que Gisèle Freund fuyant l’occupation nazie découvre pour la première fois l’Amérique latine en émigrant à Buenos Aires où elle est accueillie par une grande figure argentine des lettres, Victoria Ocampo. Depuis la capitale argentine, elle effectuera plusieurs voyages, en Uruguay, en Patagonie, au Chili, puis de façon intermittente jusqu’aux début des années 1950, elle se rendra en Equateur, au Mexique, en Bolivie, au Pérou, au Brésil. L’Argentine et le Mexique plus particulièrement, seront sources de vibrantes émotions esthétiques et humaines, et laisseront une empreinte profonde et durable dans sa vie. Elle réalisera de nombreux reportages pour Time Magazine et Life, pour les journaux argentins La Nación et El Hogar, ou encore mexicains comme Novedades. Elle fera partie de l’agence Magnum dès sa fondation en 1947 et jusqu’en 1954. « Ce Sud si lointain » rassemble donc pour la première fois un corpus axé en majorité sur les quelques figures marquantes du monde culturel qu’elle rencontra en Amérique latine, – et, dans une moindre mesure, en France, dans une période plus proche de nous, – sur les paysages qu’elle y découvrit, et sur des scènes de la vie du monde rural, rarement montrées auparavant. L’exposition permettra d’ apprécier pleinement le triple profil de Gisèle Freund, à la fois photographe, sociologue et journaliste. Celle-ci confiera en 1991 : « J’ai pensé que la photographie était un moyen merveilleux pour que les peuples se connaissent entre eux…J’ai cru à cette utopie : la connaissance des autres, de leurs différences, comme langage de paix entre les hommes. Ma tâche était donc, pensais-je, de participer à la paix du monde à travers la photographie.» À propos de Gisèle Freund Née à Berlin, Gisèle Freund (1908-2000) est issue d’une famille aisée et cultivée. Dès son jeune âge elle voue sa vie à l’art, grâce à la collection de tableaux familiale et aux musées qu’elle ar – pente en compagnie de son père . Son baccalauréat obtenu, elle recevra des mains de ce dernier un nouvel appareil photo – un Leica de poche, qui peut prendre 36 poses de suite. Elle étudie la sociologie à Francfort puis à Fribourg avec Adorno, Karl Mannheim et Norbert Elias, et parallèlement pratique activement la photographie. En 1933, face à la montée du nazisme et craignant les persécutions, elle décide de quitter l’Allemagne pour s’installer définitivement à Paris. Lorsque la guerre éclate en 1940, elle se réfugie dans la France libre, à Saint-Sozy, petit village du Lot. Fin 1941, avec l’aide d’André Malraux et de la mécène argentine Victoria Ocampo, elle parvient à embarquer du port de Bilbao à bord d’un na- vire espagnol au nom prédestiné Cabo de Bue- na Esperanza. Destination Buenos Aires. Elle découvre les côtes du nouveau monde et la majestueuse géographie de tout un continent. Entre la baie châtoyante de Rio de Janeiro – objet de l’une de ses premières photos – et les villes modernistes et trépidantes du Rio de la Plata, la promesse de vastes horizons vont venir combler sa soif de liberté… Photo : Marché d’Otavalo, Equateur, vers 1944. Gisèle Freund ©RMN – Grand Palais/ Gisèle Freund/IMEC. Service presse – Maison de l’Amérique latine Dates21 Octobre 2022 10 h 00 min - 7 Janvier 2023 20 h 00 min(GMT-11:00) LieuMaison de l’Amérique latine217 Boulevard Saint-Germain, 75007 ParisOther Events Maison de l’Amérique latine217 Boulevard Saint-Germain, 75007 ParisOuvert de 10h à 20h tous les jours, de 14h à 18h le samedi et fermé le dimanche Maison de l’Amérique latine Get Directions CalendrierGoogleCal Les choses– Une histoire de la nature morte, Musée du Louvre (12 octobre – 23 janvier) Conçue par Laurence Bertrand Dorléac, « Les Choses » est une exposition d’auteur proposant une vision nouvelle d’un genre longtemps considéré comme mineur et dont l’intitulé en français n’est pas sans poser question : la nature morte. L’exposition revisite le genre de la nature morte, dans la perspective de cet éternel dialogue entre les artistes du passé et ceux du présent. À la faveur de l’attachement que nous leur portons, c’est aussi notre relation avec les biens matériels qui est racontée. Des haches préhistoriques au ready-made de Duchamp en passant par Chardin et Manet, toute l’histoire de l’art est revisitée. https://www.louvre.fr/ Shocking ! les mondes surréalistes d’Elsa Schiaparelli au MAD (6 juillet-22 janvier) Une femme qui fait de sa vie une œuvre, influenceuse avant l’heure qui impose l’étrange et le bizarre en règle de beauté. Visionnaire, elle ne cesse d’inspirer les créateurs contemporains. https://madparis.fr/ Années 80 : Mode, design et graphisme Des années Palace au clubbing berlinois, un vent de liberté qui souffle après l’élection de François Mitterrand jusqu’aux ravages du Sida, une relative insouciance et nostalgie aux côtés de créateurs de génie de Claude Montana à Thierry Mugler, Jean-Paul Gaultier, Etienne Daho, Jean-Paul Goude… https://madparis.fr/Annees-80- Formes vivantes, Sèvres Cité de la céramique (9 novembre – 7 mai) Des décors naturalistes de Bernard Palissy aux céramiques biomédicales imprimées en 3D, l’existence d’un lien spécifique entre la céramique et le monde du vivant est mis en exergue par des oeuvres issues de collections patrimoniales, des créations contemporaines et des objets scientifiques. http://sevresciteceramique.fr Les tribulations d’Erwin Blumenfeld, Musée d’art et d’histoire du judaïsme (13 octobre – 5 mars) Malgré un destin sans cesse contrarié par la guerre et les persécutions, cet artiste de l’avant-garde finit par triompher à New York. À travers près de 180 photographies — dont des ensembles jamais exposés — et de nombreux documents, l’exposition « Les Tribulations d’Erwin Blumenfeld, 1930-1950 » met en lumière la période la plus féconde du photographe. Elle offre également des éclairages sur sa vision de l’art et sur sa vie personnelle pendant l’Occupation. https://www.fondationshoah.org/ mahJ - Musée d'art et d'Histoire du JudaïsmeHôtel de Saint-Aignan 71, rue du Temple 75003 Paris jeu13oct(oct 13)11 h 00 min2023dim05mar(mar 5)18 h 00 minLes Tribulations d’Erwin Blumenfeld, 1930-1950PhotographiesmahJ - Musée d'art et d'Histoire du Judaïsme, Hôtel de Saint-Aignan 71, rue du Temple 75003 Paris Détail de l'événementÀ travers près de 180 photographies — dont des ensembles jamais exposés — , l’exposition « Les Tribulations d’Erwin Blumenfeld, 1930-1950 » met en lumière sa période la plus féconde, Détail de l'événement À travers près de 180 photographies — dont des ensembles jamais exposés — , l’exposition « Les Tribulations d’Erwin Blumenfeld, 1930-1950 » met en lumière sa période la plus féconde, tant du point de vue de ses expérimentations artistiques que de la révélation de son talent dans la photographie de mode qui l’amena à travailler pour les plus grands magazines américains. Elle offre également des éclairages sur sa vision de l’art et sur sa vie personnelle pendant l’Occupation. Entre son installation à Paris en 1936, et les débuts de sa carrière américaine, après 1941, Erwin Blumenfeld (Berlin, 1897 — Rome, 1969) voit son destin, tant artistique que personnel, bouleversé. Sa plongée dans l’effervescence de la capitale et l’univers de la mode est brutalement interrompue par la défaite de 1940. Il connaît l’errance, l’internement comme « étranger indésirable » dans plusieurs camps français avant d’obtenir un visa pour les États-Unis. Embarqué sur le Mont Viso, il doit encore subir l’enfermement avec sa famille dans un camp français au Maroc. Blumenfeld traverse cette tourmente comme nombre d’artistes juifs, mais peut se réfugier in extremis aux États-Unis, où il renoue immédiatement avec l’industrie de la mode. Photo : Erwin Blumenfeld, Double autoportrait à la Linhof, Paris, 1938 © Collection famille Blumenfeld Dates13 Octobre 2022 11 h 00 min - 5 Mars 2023 18 h 00 min(GMT-11:00) LieumahJ - Musée d'art et d'Histoire du JudaïsmeHôtel de Saint-Aignan 71, rue du Temple 75003 ParisOther Events mahJ - Musée d'art et d'Histoire du JudaïsmeHôtel de Saint-Aignan 71, rue du Temple 75003 ParisDu mardi au vendredi : 11 h à 18 h / Samedi et dimanche : 10 h à 18 h mahJ - Musée d'art et d'Histoire du Judaïsme Get Directions CalendrierGoogleCal Renverser ses yeux – Autour de l’arte povera, Jeu de Paume + Bal Paris (11 oct. – 29 janvier) Giuseppe Penone, Svolgere la propria pelle [Développer sa peau] (détail), 1970Détail issu de 607 tirages photographiques noir et blanc virés au sélénium sur papier baryté, répartissur 18 panneaux de 53,5 x 73,5 cm chacunTurin, collectionparticulière© Giuseppe Penone-Adagp, Paris 2022© Photo : Archivio Penone, TurinPiero Manzoni, Sculture viventi-Cinegiornale SEDI, Milan[Sculptures vivantes-Actualités cinématographiques SEDI], photographie de plateau, Milan, 13 janvier 1961© Piero Manzoni-Adagp, Paris, 2022© Photo : Giuseppe Bellon Paolo-Gioli, Secondo il mio occhio di vetro,1972 Le projet de Diane Dufour, directrice du Bal voit le jour et c’est un évènement. Pour la première fois, le Jeu de Paume et LE BAL présentent une exposition thématique commune autour de l’utilisation des médias – photographie, film, vidéo – par les artistes italiens des années 1960 et du début des années 1970. Réponse italienne au Pop Art américain et contemporaine des travaux de la scène conceptuelle internationale, l’arte povera se voulait, selon les mots de Celant, un art simple, « une expression libre liée à la contingence, à l’événement, au présent », rapprochant l’art et la vie. Ces recherches sont, dans le même temps, profondément ancrées dans une culture et une histoire italiennes : en cela, elles aboutissent à la création de quelques-unes des œuvres les plus fécondes et les plus originales de la période, décloisonnant les genres et les disciplines. https://www.le-bal.fr/ https://jeudepaume.org/ LE BAL6, Impasse de la défense 75018 Paris mar11oct(oct 11)12 h 00 min2023dim29jan(jan 29)19 h 00 minRenverser ses yeuxAutour de l’arte povera, 1960 - 1975LE BAL, 6, Impasse de la défense 75018 Paris Détail de l'événementPour la première fois, le Jeu de Paume et LE BAL présenteront une exposition thématique commune autour de l’utilisation des médias – photographie, film, vidéo – par les artistes italiens Détail de l'événement Pour la première fois, le Jeu de Paume et LE BAL présenteront une exposition thématique commune autour de l’utilisation des médias – photographie, film, vidéo – par les artistes italiens des années 1960 et du début des années 1970. Centrée autour du groupe de l’arte povera, elle s’ouvrira à divers compagnons de route du mouvement et au-delà, pour étudier la position des avant-gardes italiennes face à la photographie et à l’image en mouvement. Cette exposition donnera à voir l’extraordinaire richesse d’une période où les artistes italiens se sont appropriés le pouvoir narratif de la photographie, de la vidéo et du film. Des tableaux miroirs de Michelangelo Pistoletto aux grandes photographies sur toile de Giulio Paolini ou de Giovanni Anselmo, des oeuvres sur photocopie d’Alighiero Boetti aux photomatons de Franco Vaccari ou aux vidéos de performance réalisées par Luciano Giaccari, elle dressera un panorama des expérimentations visuelles des avant-gardes italiennes de la période dans le domaine de l’image. Contemporaines des travaux de la scène conceptuelle internationale, ces recherches sont, dans le même temps, profondément ancrées dans une culture et une histoire italiennes : en cela, elles aboutissent à la création de quelques-unes des oeuvres les plus fécondes et les plus originales de la période, décloisonnant les genres et les disciplines. L’exposition déploiera une réflexion articulée en quatre sections thématiques réparties sur les deux lieux : CORPS (LE BAL), EXPÉRIENCE, IMAGE, THÉÂTRE (Jeu de Paume). La section autour du CORPS présentera la façon dont, à la suite de Piero Manzoni, le corps, photographié ou filmé, devient un des matériaux privilégiés des artistes de la période – et plus singulièrement le propre corps de l’artiste. Remettant la figure de l’artiste au coeur de la pratique artistique, ces travaux renouvellent indirectement le genre de l’autoportrait tout en interrogeant, paradoxalement, la notion même d’identité, voire en remettant en cause le rôle de l’auteur. La section EXPÉRIENCE abordera la manière dont photographie et film sont utilisés comme des instruments d’investigation du temps, de la durée et de l’espace. Quittant leurs ateliers, nombre de ces artistes manifestent une même volonté d’enregistrer une action et de nouer un lien au monde et à la nature plus direct, à la fois exploratoire et expérimental. La troisième section autour de l’IMAGE traitera de l’utilisation de la photographie et de l’image en mouvement dans une dimension critique : réflexion sur le monde des médias, déconstruction des pratiques artistiques traditionnelles, remise en cause de l’objectivité de la photographie. Enfin, la section THÉÂTRE traitera de mise en scène : celle de l’art et de l’artiste qui anime les vues et films d’exposition de la période, comme celle, inhérente à la pratique du tableau vivant, qui parcourt nombre de travaux photographiques à partir du début des années 1970. Au total, plus de 250 oeuvres de 45 artistes seront réparties dans les deux lieux. L’exposition donnera également lieu à l’édition d’un catalogue, coédité par le Jeu de Paume, LE BAL et l’Atelier EXB, reproduisant une grande partie des oeuvres exposées et proposant plusieurs études d’historiens de l’art ainsi qu’une chronologie développée. Commissaires : Quentin Bajac, directeur du Jeu de Paume, Diane Dufour, directrice du BAL, Giuliano Sergio, commissaire indépendant Commissaire associée : Lorenza Bravetta, conservateur photographie, cinéma et new media Triennale Milano Photo : Giuseppe Penone Rovesciare i propri occhi – progetto, 1970 Collage de photographies noir et blanc, aux sels d’argent teintés au sélénium sur papier baryté Collection privée, Turin © Archivio Penone / Adagp, Paris, 2022 Dates11 Octobre 2022 12 h 00 min - 29 Janvier 2023 19 h 00 min(GMT-11:00) LieuLE BAL6, Impasse de la défense 75018 ParisOther Events LE BAL6, Impasse de la défense 75018 ParisLE BAL est une plateforme indépendante d’exposition, d’édition, de réflexion et de pédagogie, dédiée Mercredi 12h - 22h Nocturne. Jeudi 12H - 19H Soirées BAL LAB 20H-22H (Fermeture de l'exposition à 19H) et le Vendredi, samedi, dimanche 12H - 19H. Fermé le Lundi et Mardi LE BAL Get Directions CalendrierGoogleCal Related Events Renverser ses yeux 11 Octobre 2022 11 h 00 min - 29 Janvier 2023 19 h 00 min Jeu de Paume1, place de la Concorde 75008 Paris mar11oct(oct 11)11 h 00 min2023dim29jan(jan 29)19 h 00 minRenverser ses yeuxAutour de l’arte povera, 1960 - 1975Jeu de Paume, 1, place de la Concorde 75008 Paris Détail de l'événementPour la première fois, le Jeu de Paume et LE BAL présenteront une exposition thématique commune autour de l’utilisation des médias – photographie, film, vidéo – par les artistes italiens Détail de l'événement Pour la première fois, le Jeu de Paume et LE BAL présenteront une exposition thématique commune autour de l’utilisation des médias – photographie, film, vidéo – par les artistes italiens des années 1960 et du début des années 1970. Centrée autour du groupe de l’arte povera, elle s’ouvrira à divers compagnons de route du mouvement et au-delà, pour étudier la position des avant-gardes italiennes face à la photographie et à l’image en mouvement. Cette exposition donnera à voir l’extraordinaire richesse d’une période où les artistes italiens se sont appropriés le pouvoir narratif de la photographie, de la vidéo et du film. Des tableaux miroirs de Michelangelo Pistoletto aux grandes photographies sur toile de Giulio Paolini ou de Giovanni Anselmo, des oeuvres sur photocopie d’Alighiero Boetti aux photomatons de Franco Vaccari ou aux vidéos de performance réalisées par Luciano Giaccari, elle dressera un panorama des expérimentations visuelles des avant-gardes italiennes de la période dans le domaine de l’image. Contemporaines des travaux de la scène conceptuelle internationale, ces recherches sont, dans le même temps, profondément ancrées dans une culture et une histoire italiennes : en cela, elles aboutissent à la création de quelques-unes des oeuvres les plus fécondes et les plus originales de la période, décloisonnant les genres et les disciplines. L’exposition déploiera une réflexion articulée en quatre sections thématiques réparties sur les deux lieux : CORPS (LE BAL), EXPÉRIENCE, IMAGE, THÉÂTRE (Jeu de Paume). La section autour du CORPS présentera la façon dont, à la suite de Piero Manzoni, le corps, photographié ou filmé, devient un des matériaux privilégiés des artistes de la période – et plus singulièrement le propre corps de l’artiste. Remettant la figure de l’artiste au coeur de la pratique artistique, ces travaux renouvellent indirectement le genre de l’autoportrait tout en interrogeant, paradoxalement, la notion même d’identité, voire en remettant en cause le rôle de l’auteur. La section EXPÉRIENCE abordera la manière dont photographie et film sont utilisés comme des instruments d’investigation du temps, de la durée et de l’espace. Quittant leurs ateliers, nombre de ces artistes manifestent une même volonté d’enregistrer une action et de nouer un lien au monde et à la nature plus direct, à la fois exploratoire et expérimental. La troisième section autour de l’IMAGE traitera de l’utilisation de la photographie et de l’image en mouvement dans une dimension critique : réflexion sur le monde des médias, déconstruction des pratiques artistiques traditionnelles, remise en cause de l’objectivité de la photographie. Enfin, la section THÉÂTRE traitera de mise en scène : celle de l’art et de l’artiste qui anime les vues et films d’exposition de la période, comme celle, inhérente à la pratique du tableau vivant, qui parcourt nombre de travaux photographiques à partir du début des années 1970. Au total, plus de 250 oeuvres de 45 artistes seront réparties dans les deux lieux. L’exposition donnera également lieu à l’édition d’un catalogue, coédité par le Jeu de Paume, LE BAL et l’Atelier EXB, reproduisant une grande partie des oeuvres exposées et proposant plusieurs études d’historiens de l’art ainsi qu’une chronologie développée. Commissaires : Quentin Bajac, directeur du Jeu de Paume, Diane Dufour, directrice du BAL, Giuliano Sergio, commissaire indépendant Commissaire associée : Lorenza Bravetta, conservateur photographie, cinéma et new media Triennale Milano Photo : Gino De Dominicis Tentativo di far formare dei quadrati invece che dei cerchi attorno ad un sasso che cade nell’acqua, 1969 Courtesy Lia Rumma © Gino De Dominicis / Adagp, Paris, 2022 Dates11 Octobre 2022 11 h 00 min - 29 Janvier 2023 19 h 00 min(GMT-11:00) LieuJeu de Paume1, place de la Concorde 75008 ParisOther Events Jeu de Paume1, place de la Concorde 75008 ParisEntrée 10€ / Tarif réduit 7,5€ Ouvert le mardi de 11h à 21h et du mercredi au dimanche de 11h à 19h. Jeu de Paume Get Directions CalendrierGoogleCal Related Events Renverser ses yeux 11 Octobre 2022 12 h 00 min - 29 Janvier 2023 19 h 00 min Gérard Garouste, Rétrospective Centre Georges Pompidou (du 7 septembre au 2 janvier) L’exposition des superlatifs orchestrée par Sophie Duplaix dans le sillage de Bernard Blistène en son temps. Aux côtés de 120 tableaux majeurs, souvent de très grand format, l’exposition donne également une place à l’installation, à la sculpture et à l’œuvre graphique. Elle permet de saisir toute la richesse du parcours inclassable de Gérard Garouste, « l’intranquille », dont la vie sous le signe de l’étude mais aussi de la folie, et l’œuvre énigmatique, se nourrissent l’une l’autre en un dialogue saisissant. https://www.centrepompidou.fr/ Black Indians de la Nouvelle-Orléans au Quai Branly (4 octobre – 16 janvier) Qui sont ces indiens ayant accueilli des esclaves fugitifs célébrés chaque année à l’occasion du Carnaval de la Nouvelle-Orléans ? En marge de ce carnaval, ses chars et fanfares héritées de l’époque coloniale française, une tradition longtemps passée sous silence perdure depuis plus de 150 ans : les spectaculaires défilés de Black Indians, aux magnifiques costumes ornés de perles, sequins et plumes. Popularisées par la série Treme de David Simon (HBO) dans les années 2010, ces parades constituent un puissant marqueur social et culturel pour les Africains-Américains de Louisiane. Portées par les percussions et les chants des Big Chiefs et Queens issus d’une quarantaine de « tribus », elles célèbrent la mémoire de deux peuples opprimés, amérindiens et descendants d’esclaves. https://m.quaibranly.fr/ Art Déco France-Amérique, Cité de l’architecture et du patrimoine (du 20 octobre au 6 mars) Après l’exposition « 1925. Quand l’Art déco séduit le monde », présentée en 2013, cette nouvelle exposition propose de continuer l’exploration de la période Art déco en faisant le récit des échanges intellectuels et artistiques transatlantiques de la fin du 19ème siècle aux années 1930. http://citedelarchitecture.fr Top Secret : cinéma et espionnage, La Cinémathèque (du 21 octobre au 21 mai) L’épicentre des intrigues d’espionnage ne cesse d’être déplacé et reconfiguré, des villes divisées d’Europe (La Lettre du Kremlin, John Huston, 1970) au Moyen-Orient (la série du Bureau des légendes, créée par Eric Rochant), mettant aujourd’hui en avant des stratégies renouvelées du renseignement, caractéristiques du monde sécuritaire post 11-Septembre, dont l’impact sur la mise en scène génère de nouveaux codes, de nouveaux visages. https://www.cinematheque.fr/exposition/ Oskar Kokoschka Musée d’Art Moderne ( 23 sept-12 fevrier ) Peintre, mais aussi écrivain, dramaturge et poète, Oskar Kokoschka apparaît comme un artiste engagé, porté par les bouleversements artistiques et intellectuels de la Vienne du début du XXe siècle. Par sa volonté d’exprimer l’intensité des états d’âmes de son époque, et un talent certain pour la provocation, il devient pour la critique l’enfant terrible de Vienne à partir de 1908 où, soutenu par Gustav Klimt et Adolf Loos, il inspire une nouvelle génération d’artistes, parmi lesquels Egon Schiele. Portraitiste de la société viennoise, Kokoschka parvient à mettre en lumière l’intériorité de ses modèles avec une efficacité inégalée (..) https://www.mam.paris.fr/fr/ Régions – International : William Morris, l’art en tout -La Piscine (Roubaix), Barbe à papa, ou la fête foraine au musée CAPC (Bordeaux) Lynette Yiadom-Boakye à la Tate Britain (Londres), après la très belle exposition au Mudam Luxembourg Lucian Freud, New Perspectives à la National Gallery (Londres) Joan Miro, l’essence des choses passées et présentes au BAM à Mons (Belgique) La Réouverture du KMSKA d’Anvers, Collectionneuses Rothschild. Mécènes et donatrices d’exception à Liège | La Boverie et tant d’autres encore… Bonne rentrée, en attendant la « semaine de l’art » à Paris autour de la nouvelle foire Paris + Par Art Basel qui cristallisera toutes les énergies. Marque-page1
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