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Partager Partager Temps de lecture estimé : 8minsÀ l’heure où les travaux des lauréats de la seconde édition du Mentorat initié par l’Agence VU’ et le Fonds Régnier pour la Création sont exposés jusqu’au 23 septembre à Paris, les noms des nouveaux lauréats viennent d’être dévoilés. Ce sont six jeunes photographes qui profiteront, neuf mois durant, d’un accompagnement personnalisé pour le développement de leur pratique artistique et gagner en visibilité. Ce tremplin destiné aux photographes émergents est dirigé et supervisé par l’équipe de VU’. Les six lauréats de la troisième édition du Mentorat Photographique ont été choisis par un jury de professionnels suite à un appel à candidatures. Ils seront accompagnés pendant 9 mois dans le développement de leur pratique artistique et de leur visibilité professionnelle. Chaque photographe bénéficiera, sous la supervision de l’équipe de VU’, d’un dispositif personnalisé et transdisciplinaire combinant accompagnement de projet par des photographes-mentors, consultations d’experts, participation à des formations du programme VU’Education, rencontres professionnelles et ateliers collectifs. A l’issue de ce Mentorat, une exposition-événement présentera les projets réalisés. Les lauréats MP#03 : • Victor Drouineau Photographe français né en 1994 Lettonie, 2021- en cours © Victor Drouineau Titulaire d’European Bachelor of Fine Arts in Photography de l’EFET (Paris), Victor Drouineau entame un cursus universitaire en sociologie avant de rentrer à l’École Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles dont il sort diplômé en 2022. Travaillant à la chambre et au moyen format, Victor Drouineau privilégie une approche poétique qui s’éloigne de la frontalité et de la factualité documentaires pour proposer des fragments de sensations et de réminiscences. Avec sa série Geography of variations, exposée en Allemagne et en Espagne, il interroge la notion de paysage qui oscille entre permanence de l’enracinement et réactualisation du phénomène perceptif. C’est cette ambivalence de rapport au temps et à l’environnement qu’il propose de développer dans le cadre de MP#03 avec un travail sur la jeunesse lettone, son premier projet personnel initié en janvier 2021. Dans ce pays balte, anciennement soviétique et désormais membre de l’Union Européenne, la jeunesse rêve des grandes capitales européennes tout en développant un attachement très fort à la nature de leur territoire et à la qualité de vie qu’il leur offre. Au fil des saisons, Victor Drouineau propose de faire le récit du rapport de cette jeunesse à la nature et aussi à son histoire. victordrouineau.com • Aurélien Goubau Photographe belge né en 1996 Russie, Mourmansk, 18 septembre 2021. Znamya (2021 – 2022) © Aurélien Goubau Ingénieur de formation, Aurélien Goubau réalise sa première série photographique en Éthiopie où il réside 4 mois dans le cadre d’un projet scientifique. De retour en Belgique, il développe son écriture et se forme à la photographie documentaire à l’ESA le 75 dont il sort diplômé en 2022. Son travail photographique documente la relation des habitants à leur territoire. Znamya, son premier projet personnel, porte ainsi sur la promesse faite aux habitants de Mourmansk (en Russie septentrionale) de construire un soleil artificiel audessus de leur ville. Publié dans la presse belge et néerlandaise, ce travail est exposé au festival Promenades Photographiques de Vendôme et au festival Linx de Gand. MP#03 va lui permettre de réaliser son nouveau projet documentaire, suite logique de Znamya, sur la principale artère européenne pour le transport du pétrole russe : l’oléoduc Druzhba (qui signifie «amitié» en russe). À partir des histoires individuelles des habitants allemands, polonais et biélorusses rencontrés le long de son parcours, Aurélien Goubau souhaite constituer le récit documentaire de la vie en Europe de l’Est autour de la veine artificielle et fantasmée que constitue ce « pipeline de l’amitié ». aureliengoubau.net • Cloé Harent Photographe française née en 1998 Le temps d’une pause, 2019 – en cours © Cloé Harent Élevée dans la campagne toulousaine par des parents danseurs, Cloé Harent développe très tôt une sensibilité particulière à son environnement et à son expression artistique. Après des études de design à Nîmes, elle intègre ETPA Toulouse dont elle sort diplômée en 2019 avec la mention «Prix Spécial du Jury» du Grand Prix. Animée par un sentiment d’urgence de retenir ce qui tend à disparaître, sa recherche photographique se développe autour des notions de temps qui passe et de mémoire collective. Dans le cadre de résidences notamment, elle propose ainsi des projets documentaires dont l’approche tendre et sensible convoque le passé tout en suscitant une réflexion sur l’avenir. En 2019, elle initie Le temps d’une pause, projet au long cours sur les fermes biologiques françaises qui accueillent, pour quelques jours ou semaines, des bénévoles en quête d’authenticité, d’expérience concrète de la terre et d’échanges humains. Cloé Harent compte en poursuivre le développement dans le cadre de MP#03 afin de témoigner de ce renouveau d’intérêt pour les modes de vie durables et pour la relation intime au vivant qu’ils accompagnent. cloeharent.com • Samir Maouche Photographe algérien né en 1988 Barbès, Paris-18. 29 mars 2022. Harraga : du rêve à la désillusion, 2020 – en cours © Samir Maouche Alors qu’il travaille dans le secteur de la communication visuelle en Kabylie, Samir Maouche commence à couvrir le « Hirak », ensemble de manifestations citoyennes contre le système menées de 2019 à 2021 en Algérie. Il développe ainsi une approche photojournalistique puis documentaire sur la soif de liberté du peuple algérien en général et sur la revendication de l’identité berbère en particulier. En 2020, il s’installe en France, deux jours seulement avant le confinement total décrété suite à la crise sanitaire. Il découvre un Paris fantomatique et, dans ce décor de carte postale vidée de ses occupants, les sans-papiers dont il se rapproche pour témoigner de leur vie, leur survie, au quotidien et de leurs espoirs brisés par la réalité de l’exil clandestin. Il se forme en parallèle à la photographie documentaire à l’EMI-CFD et voit son travail publié, exposé et récompensé en France et au Maghreb. Avec MP#03, Samir Maouche va poursuivre le travail au long cours qu’il a engagé sur les « Harraga », ces jeunes immigrés clandestins qui ont quitté l’Algérie en plein confinement, suite à l’échec du « Hirak ». Harraga : du rêve à la désillusion propose ainsi de mettre la lumière sur ces anonymes, de documenter ce sujet complexe de l’immigration clandestine, en proposant divers outils de narration : photographies de reportage, de portraits et témoignages. Instagram : @samir__maouche • Camille Nivollet Photographe française née en 1992 Enfance sauvage, 2022 – en cours © Camille Nivollet Diplômée de l’École Nationale Supérieure d’Art de Bourges en 2016, Camille Nivollet développe un intérêt spécifique pour la réalisation de projets à long terme sur des sujets sociaux et sur des modes de vie alternatifs, ce qui la conduit à poursuivre sa formation à l’EMI-CFD dont elle sort diplômée en photojournalisme en 2020. En parallèle de reportages de société, Camille Nivollet s’attache à réaliser des projets personnels qui s’inscrivent dans la lignée du documentaire d’auteur. Elle propose de nouvelles approches sur des sujets liés aux notions d’ancrage territorial, de chez-soi et de migrations, trop souvent réduites à des clichés. Ses séries Fragments calaisiens et Ainsi squattent-ils sont ainsi exposées en festival et publiées dans la presse. Dans le cadre de MP#03, Camille Nivollet va poursuivre un projet initié en février 2022. Titré provisoirement Enfance sauvage, ce projet mêle les situations individuelles et les narrations – portraits, paysages et scènes de vie – pour documenter la multiplicité des modes d’éducation regroupés sous le terme d’«instruction à domicile». Avec ce projet, Camille Nivollet propose d’interroger le rôle de la famille et d’un environnement plus large (social ou environnemental) dans l’expérimentation et l’apprentissage inhérents au monde de l’enfance. camillenivollet.com • Ivan Verbizh Photographe français né en 1983 Romainville, 2021 – en cours © Ivan Verbizh Après des études en cinéma et audiovisuel, Ivan Verbizh travaille comme cadreur-monteur pour des agences de communication et des institutions culturelles durant dix ans avant de se réorienter vers la photographie en 2015. Après une formation complémentaire à l’École de l’image GOBELINS et une année passée comme assistant du portraitiste Philippe Quaisse, il s’établit comme photographe indépendant. En parallèle des reportages et portraits qu’il réalise en commande pour des institutions, des médias, des éditeurs, des entreprises ou encore des associations, son regard se porte sur l’architecture, le paysage et la vie urbaine dont il documente à la fois les permanences et les métamorphoses, les constructions et leur appropriation par les usagers. Avec MP#03, Ivan Verbitz compte ainsi proposer une série documentaire au long cours sur les évolutions qui s’opèrent sur le territoire francilien, et plus particulièrement en Seine-Saint Denis, à Romainville. Avec le prolongement de la ligne 11 du métro parisien qui desservira deux stations sur la commune, c’est un nouveau territoire qui se dessine, offrant de nouvelles réponses aux préoccupations sociales et environnementales, mais imposant également aux riverains une adaptation particulièrement rapide. ivan-verbizh.com INFORMATIONS PRATIQUES Galerie VU'58 rue Saint-Lazare, 75009 Paris ven09sep(sep 9)12 h 30 minven23(sep 23)18 h 30 minExposition du Mentorat Photographique du Fonds Régnier pour la Création #02Exposition CollectiveGalerie VU', 58 rue Saint-Lazare, 75009 Paris Détail de l'événementPour clore la deuxième édition du Mentorat Photographique du Fonds Régnier pour la Création avec VU’, la Galerie VU’ est heureuse de présenter au grand public et aux professionnels une Détail de l'événement Pour clore la deuxième édition du Mentorat Photographique du Fonds Régnier pour la Création avec VU’, la Galerie VU’ est heureuse de présenter au grand public et aux professionnels une exposition des travaux réalisés par les cinq photographes émergents. Ils ont été sélectionnés pour leur énergie et leur talent, pour la singularité de leur approche et de leur écriture photographique. Sous la supervision de l’équipe de VU’, Lys Arango, Charlotte Audoynaud, Louisa Ben, Souleymane Bachir Diaw et Maxime Michelet ont bénéficié d’un dispositif personnalisé et transdisciplinaire alliant accompagnement de projet par des photographes-mentors, consultations d’experts, participation à des formations du programme VU’Education, rencontres professionnelles et ateliers collectifs. Ainsi accompagnés durant neuf mois dans le développement de leur pratique artistique et de leur visibilité, ils ont pu mener à bien leur projet : conception, développements et restitution sous forme d’exposition à la Galerie VU’. Lys Arango — El río bajaba negro La rivière coulait noire « Mes grands-parents se sont installés dans les Asturies, en Espagne, dans les années 1950. L’extraction du charbon y était le moteur du développement économique. Depuis, le déclin des bassins miniers a marqué le paysage et la population. Les tours minières rouillées sont encore debout tandis que la nature récupère l’espace. Dans les villages, maisons et commerces ont fermé leurs volets. Les jeunes partent faute de perspectives d’emploi et ceux qui restent se souviennent avec nostalgie des années où la région attirait des travailleurs de toute l’Espagne. Née à Madrid, loin de ces terres chargées du symbolisme de la lutte ouvrière, j’ai voulu retourner là où ma famille paternelle est née, pour photographier la fin d’une époque et recueillir les histoires des derniers mineurs. » Charlotte Audoynaud — J’irai creuser la mer « Mes oiseaux sont innocents, ils n’ont pas connu la perte, l’absence, le manque. Ils sont vie et joie, mais aussi colère et larmes. Ils sont forts et fragiles à la fois. Naufragés échoués d’un matin d’automne, ils évoluent dans un équilibre précaire, de roche en roche, de failles en creux, dans un brouhaha silencieux d’écume. Là un paysage rocheux, une plage isolée leurs servent de remparts, territoire inespéré de jeux, d’expérimentations. Ils explorent, grimpent, observent. Une falaise infranchissable, une mer infinie comme frontière, ils sont seuls au monde. Un refuge tellurique et marin, récif escarpé d’une île imaginaire où tout est à construire. Un monde auquel je n’ai plus accès. Depuis le seuil j’en sonde les contours, les strates qui se mêlent, le sable qui remonte et l’océan qui fuit… » Louisa Ben — Yelli « Mon père s’appelle Lahoucine. Ma mère Chantal. J’avais trois ans lors de mon premier voyage au Maroc. J’ai grandi avec l’idée que j’étais française, ce sont les autres qui m’ont renvoyée à cette double appartenance. En France je ne suis pas totalement d’ici, au Maroc pas totalement de là-bas. En grandissant, j’ai voulu comprendre d’où je venais. Là-bas, j’ai rencontré de jeunes femmes de ma génération, qui auraient pu être des soeurs, des cousines ou des amies. En France, j’ai rencontré de jeunes immigrées ou descendantes d’immigrés, avec qui j’ai eu la sensation de partager une partie de mon histoire. J’ai rassemblé ces deux jeunesses lointaines et proches à la fois. » Souleymane Bachir Diaw — Sutura, la voix silencieuse des hommes « Le masculin m’est toujours apparu comme une contradiction, un entre-deux impossible entre une façade rigide et un coeur flou, expressif peut-être mais qui semble peu accessible. Entre « homme » et « fort », il y a (très souvent) une relation d’équivalence, presque tautologique. Le mot wolof sutura renvoie à une vertu de discrétion, impliquant de « sauver les apparences ». Elle s’applique à tous. Le vêtement semble révéler cette ambivalence de la masculinité. Là où j’ai grandi et ailleurs, il est un moyen privilégié de s’annoncer et de se représenter. Cependant, j’ai le sentiment que le vêtement masculin n’a pas vocation à raconter les nuances de sa vie (sensible). Je les recrée donc en mettant en scène hommes et femmes, objets et vêtements. Leur versatilité est l’étoffe de mon travail. En oubliant de rappeler la force et la virilité, le vêtement prend de plus en plus de place. Il finit par se personnifier, par exprimer des sentiments. » Maxime Michelet — Mes soeurs et mes frères « Dans les albums de familles, les premières photos, épreuves et preuves de nos existences, ne nous racontent pas seuls… Nus au bain, sous le sapin, sur le sable, portraits endimanchés, elles nous mettent en scène aux côtés de celles et ceux qui partagent, par l’intime et par l’âge, notre monde. Mes soeurs et mes frères recrée quelques-uns des moments, bêtises ou sacrements qui font la vie des fratries. Du repas au jeu, du jardin au canapé, du rire au deuil, les temps complices ou solennels renaissent sous forme de tableaux exaltant la fraternité et la sororité. La conjonction de ces multiples scénettes dessine alors un monde : un monde de sangs liés, de rivaux pourtant alliés, de nos derniers soutiens, parce qu’ils étaient là les premiers. A chaque fratrie, sa mise en scène capable de symboliser les liens singuliers qui les unissent. » Photo © Maxime Michelet Dates9 Septembre 2022 12 h 30 min - 23 Septembre 2022 18 h 30 min(GMT-11:00) LieuGalerie VU'58 rue Saint-Lazare, 75009 ParisOther Events Galerie VU'58 rue Saint-Lazare, 75009 ParisOuverte au public du mercredi au vendredi de 12h30 à 18h30. Sur rendez-vous les autres jours. Galerie VU' Get Directions En savoir plus CalendrierGoogleCal Voir la programmation à la Galerie VU’ Marque-page0
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