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Partager Partager Il y a un an, le 25 mars 2021, la Ministre de la Culture Roselyne Bachelot-Narquin missionne Laurence Franceschini, conseillère d’état, pour réaliser un rapport sur l’état de la Photographie en France. Ce rapport devait être remis au début de l’été dernier au ministère, il ne sera finalement déposé qu’à l’automne après avoir interrogé un grand nombre d’acteur·ices du secteur de la photo. A quelques jours de la période de réserve électorale présidentielle, il semblerait que ce rapport soit condamné à tomber aux oubliettes… Télérama jette un pavé dans la mare avec la publication de son article intitulé « Pourquoi le rapport sur le niveau de vie des photographes a-t-il disparu des radars ? ». Il fait état d’une apparente volonté du ministère de ne pas publier le rapport Franceschini. Une situation qui alarme l’ensemble des professionnels du secteur de l’image fixe. Si le rapport Racine avait fait état d’une situation catastrophique au sein des arts visuels, ce nouveau rapport devait se concentrer sur le métier de photographe et de tout son eco-système. Dans la lettre de mission, la Ministre de la Culture Roselyne Bachelot-Narquin pointe le fait que le secteur de la photographie manque de mécanismes de régulation préservant le dynamisme de la création française, comme cela existe dans d’autres industries culturelles. Et demande à la secrétaire d’Etat, Florence Franceschini, d’identifier les pistes de financement solidaires des différents acteurs de la filière et les mesures organisationnelles, législatives, fiscales et financières à mettre en place pour soutenir les acteurs de la photographie et préserver une diversité de la création. La réflexion que vous mènerez devra être ambitieuse et réaliste, concertée et ouverte, prospective et portant sur tous les champs de la photographie. Pour établir un état des lieux complet du secteur, Florence Franceschini interroge une sélection de professionnels, tous domaines confondus. Le rapport remis au Ministère l’automne dernier a certainement provoqué l’inquiétude, puisque se rapport peine à être publié ! Il semblerait que la réalité de nos métiers soit un chantier bien difficile à mener. Est-ce un manque d’intérêt et de considération de la part des pouvoirs public concernant le secteur de la photographie ? Un faux pas de plus après la décision, fin 2020, de rétrograder la délégation à la photographie au rang de simple bureau. La grande commande photographique qui permet à 200 photographes de presse de réaliser un projet financé à auteur de 22000€ avait alors balayé les craintes, mais n’était-ce finalement pas une manière de se débarrasser du « problème photographie » ? Pourquoi le Ministère de la Culture reste t-il muet face à la demande des professionnels de publier ce rapport ? La période de réserve électorale présidentielle commence le 18 mars. Si rien n’est fait avant cette date, ce rapport sera probablement définitivement de l’histoire ancienne avant même d’avoir pu exister. Et les nombreux projets de lois visant à renforcer ce secteur fragile, avec ! Le comité de pilotage des États généraux de la Photographie (L’Adagp, les Agents Associés, le CLAP, le réseau Diagonal, Les Filles de la Photo, France PhotoBook, la Saif, l’UPP) viennent de publier une lettre ouverte, qui doit être signée par le plus grand nombre ! Pour faire entendre notre voix, partagez et signez le document en cliquant-ici ! A LIRE : https://www.telerama.fr/sortir/pourquoi-le-rapport-sur-le-niveau-de-vie-des-photographes-a-t-il-disparu-des-radars-7009208.php Marque-page2
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