Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 mars 2025
Interview Clothilde Morette, directrice artistique de la MEP : « Remettre au centre de l’histoire de l’art et de la photographie certains artistes invisibilisés » 3 jours ago
Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 mars 2025
Le bruissement entre les murs de Clara Chichin et Sabatina Leccia par Céline Pévrier (sun/sun éditions) 1 jour ago
Cyrielle Lévêque. Les Joueurs par les éditrices Soraya Hocine & Sandy Berthomieu (Éditions de l’Épair) 6 jours ago
Eva Diallo. Bolol aux éditions Cécile Fakhoury par l’éditrice Véronique Prugnaud (The Eyes) 5 mars 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 5) 4 mars 2025
Nouvelle Saison au Palais de Tokyo : Radioscopie de la joie collective, Raphaël Barontini… 11 heures ago
Un nouveau chapitre pour le Centre d’Art Contemporain, Genève : Interview Andrea Bellini, directeur 2 jours ago
Partager Partager Temps de lecture estimé : 7minsNé à Rouen le 1er décembre 1821, Gustave Flaubert n’a jamais complètement quitté sa Normandie natale, source inépuisable d’inspiration. Il est l’épicentre de l’année 2021 en Seine-Maritime à travers une vingtaine d’initiatives : expositions mais aussi parcours dans les jardins ou les sites remarquables, conférences, dégustations gastronomiques… d’avril à décembre sous l’apostrophe « Flaubert encré en Seine-Maritime » (affiche générale). Isabelle Hupert est présidente d’honneur de Flaubert 21 pour son inoubliable prestation dans le rôle d’Emma Bovary par Claude Chabrol. Le temps d’une journée, petit voyage et aperçu de l’évènement avec comme proposition la plus convaincante, l’évocation de son roman emblématique Madame Bovary. Je commence donc par cette exposition proposée par le Musée des Traditions et Arts Normands Château de Martinville à la Maison Marrou et à l’Opéra de Rouen dont le titre emprunté à Alain Bashung « Madame Rêve… » donne le ton de ce qui va suivre. C’est principalement à la Maison Marrou que se joue l’acmé de l’intrigue. Derrière la façade classée monument historique du célèbre ferronnier Ferdinand Marrou, se cache le petit théâtre recréé de la vie de cette femme que l’on est invité à reconsidérer chacun.e selon ses impressions au fil d’un parcours totalement immersif. La commissaire générale Sandra Predine-Ballerie a fait appel au scénographe Jean Oddes, qui en véritable magicien, nous transporte dans la psyché de cette paysanne du pays de Caux qui a cru en son rêve et va finir par se perdre dans ses chimères et son éternelle insatisfaction. Dans un habile système de flash-back, sa vie défile sous nos yeux alors que la maison, son mobilier et ses souvenirs vont être bientôt vendus aux enchères. Après un préambule sous le signe d’un parfum entêtant, nous pénétrons dans la salle à manger du mariage de Charles et Emma, le début pour elle d’une possible émancipation. La table est dressée tandis que défile en toile de fond des films d’archives de mariages normands. Au 1er étage est évoqué l’ennui des premières années de son mariage à Totes avant qu’ils ne déménagent à Yonville, tandis que le 2ème étage évoque Rouen, lieu de ses frasques sentimentales. Alors qu’elle cherche à s’échapper de ce quotidien évoqué par la pluie, les lectures, la religion avant que la fameuse scène du bal et sa rencontre avec le Vicomte ne la fasse basculer dans un ailleurs traduit par ses nombreuses toilettes, gazettes de mode, tapisseries qu’elle commence sans jamais les achever. Au 2ème étage, il est alors question de confusion des sentiments et des sens au fur et à mesure de ses aventures galantes qui la révèle en tant que femme. Le fameux trajet en calèche dans les rues de Rouen sans fin est transposé de façon très créative avec une vidéo qui reprend les titres des différentes rues de Rouen que les amants traversent. Comme le souligne Sandra Predine-Ballerie, si Emma rêve d’un ailleurs social à travers une image qu’elle se fabrique elle-même, elle ressemble en cela à beaucoup d’autres jeunes femmes et en devient très contemporaine à travers cette puissante évocation qui se poursuit à travers la publication inédite par Gallimard et la Fondation Pierre Bergé Yves Saint-Laurent à partir des dessins inédits du jeune Yves Saint-Laurent évoqués dans la scène du Bal (collection Hors Série littérature). Yves Saint-Laurent, page de garde du livre en partie recopié et illustré Madame Bovary d’après le roman éponyme de Gustave Flaubert © Fondation Pierre Bergé Yves-Laurent En écoute : visite par la commissaire et le scénographe 🎧 Fomo-Podcast L’autre volet de l’exposition à l’Opéra de Rouen (dont le théâtre des arts est par ailleurs toujours occupé) a été imaginée à partir de malles de voyages au nombre de 7 et un piano customisé. L’application audio Musair peut de nouveau ici accompagner le visiteur. Le point de départ est la musique intime de la jeunesse d’Emma, puis le Bal à travers l’évocation de spectacles des années 1840 avec des costumes mais aussi livrets d’opéra, photographies des films, maquettes anciennes de décors…un panorama qui plaira aux connaisseurs. En ce qui concerne l’exposition Voyage(s) en Orient au Musée Victor Hugo-Maison Vacquerie elle évoque ces écrivains normands voyageurs qui se sont nourris d’un Orient réel ou fantasmé et ont contribué à la naissance de l’archéologie orientale. L’essor de l’orientalisme est favorisé par le Romantisme français et Victor Hugo même s’il n’a pas fait le voyage, s’en fait le chantre dans Les Orientales qui auront une influence notable sur de nombreux artistes et écrivains. C’est le voyage de Flaubert avec Maxime Du Camp qui va être une expérience significative, après l’échec de La Tentation de Saint Antoine. Flaubert en rapportera des Carnets, prémisses du Voyage en Orient et de son célèbre Salammbô et Du Camp des clichés qui représentent de véritables avancées photographiques et archéologiques. D’autres voyageurs sont évoqués comme Camille Saint-Saëns, Paul-Emile Botta, le Père Delattre ou Henri de Genouillac, aumônier archéologue dont plusieurs objets en terre cuite mésopotamiens de sa collection sont présentés. Enfin l’expédition de Félix-Archimède Pouchet sur l’île de Philae va avoir un retentissement certain avant que n’ouvre le musée égyptien au Louvre en décembre 1827. Pompéi, la basilique (côté), 2001 – Tirage jet d’encres pigmentaires, Collection de l’artiste © Claudio Sabatino A l’Abbaye de Jumièges, l’exposition Pompéi proposée par Gabriel Bauret à partir des photographies de Claudio Sabatino est une déception. Après la remarquable proposition de Victoria Jonathan à l’occasion de Normandie Impressionniste, la soi-disant confrontation entre Flaubert qui est passé par Pompéi et l’ancien assistant de Gabriele Basilico ne prend pas dans ce lieu pourtant unique. Ses vues du site ne dégagent pas d’émotion particulière ni de portée formelle dans des tirages dont la qualité laisse à désirer. Gabriel Bauret nous avait habitué à beaucoup mieux notamment à l’occasion de sa très belle saison nordique conçue pour le musée des Beaux-Arts de Rouen. Pompéi, la maison de l’Ancienne Chasse, 2001 – Tirage jet d’encres pigmentaires, Collection de l’artiste © Claudio Sabatino Tous les espoirs se tournent donc en faveur de Juliette Agnel qui transportera le visiteur aux confins du Soudan sur le site mythique de Méroé, chargé pour elle d’une énergie particulière. Un ravissement qu’elle capture de nuit et qui rejoint cette quête de sacré et de sens qui l’anime. « Voyage dans le temps et Nocturnes-Soudan » se veut un hommage à Du Camp et Flaubert. © Juliette Agnel © Juliette Agnel © Juliette Agnel Autre volet : la botanique qui vient compléter cette évocation de l’ailleurs flaubertien dans les Jardins de l’abbaye de Saint-Georges de Boscherville avec les paysagistes Michel Racine et Béatrice Saurel ou l’herbier contemporain de Pascal Levaillant et le voyage en Orient par les plantes proposé dans l’ensemble des jardins des sites et musée du Département. Abbaye Saint-Georges de Boscherville Last but not least, A table avec Flaubert imaginé avec l’Union des Métiers de l’Hôtellerie et restaurateurs en Seine-Maritime devrait réjouir les papilles ! Nombreuses publications en résonance. Bonnes balades sur les sentiers de la Seine ! INFOS PRATIQUES : > « Madame Rêve en Bovary » Du 19 mai au 14 novembre 2021 Maison Marrou (Rouen) > « Voyage(s) en Orient » Du 1er août au 31 octobre 2021 Musée Victor Hugo-Maison Vacquerie Abbaye de Jumièges24 Rue Guillaume le Conquérant, 76480 Jumièges sam04sep(sep 4)9 h 00 minmar30nov(nov 30)17 h 15 minAu fil du Nil - Juliette Agnel sur les traces de Flaubert et de Du CampAbbaye de Jumièges, 24 Rue Guillaume le Conquérant, 76480 Jumièges Détail de l'événementL’abbaye de Jumièges programme, au Logis abbatial, une sélection de deux séries photographiques de l’artiste Juliette Agnel : Voyage dans le temps et Nocturnes – Soudan. Son travail a été Détail de l'événement L’abbaye de Jumièges programme, au Logis abbatial, une sélection de deux séries photographiques de l’artiste Juliette Agnel : Voyage dans le temps et Nocturnes – Soudan. Son travail a été en partie inspiré par la production photographique que Maxime Du Camp réalisa lors de son voyage en Orient avec Gustave Flaubert, publié dans Égypte, Nubie, Palestine et Syrie : dessins photographiques recueillis pendant les années 1849, 1850 et 1851. Ouvrage accompagné d’un texte explicatif et précédé d’une introduction par Du Camp, alors chargé d’une mission archéologique en Orient par le ministère de l’Instruction publique en 1852. Qui est Juliette Agnel ? Née en 1973, Juliette Agnel a fait des études d’arts plastiques et d’ethno-esthétique à Paris 1 et aux Beaux Arts de Paris (félicitée en 1999). Une rencontre avec Jean Rouch l’amène sur les routes de l’Afrique pendant plus de 10 ans. En 2011, elle conçoit et fabrique une machine : la camera obscura numérique avec laquelle elle filme et photographie. Soutenue par Michel Poivert qui l’invite au séminaire photographique en 2012, son travail sera exposé en Corée du Sud, en Norvège ou en France, notamment à la FIAC (Galerie Françoise Paviot – 2013), aux Nouvelles Vagues du Palais de Tokyo (2013), à l’exposition Close to me de Guillaume Lasserre (2015), au Mois de la Photo (2015), à Paris Photo (2016). Elle a bénéficié d’une exposition personnelle à L’Espace Van Gogh à Arles en 2014 et est invitée par Léa Bismuth, aux Tanneries d’Amilly en 2017. Elle participe au Prix découverte à Arles en 2017 avec « les Nocturnes » qui seront aussi présentées à la FIAC la même année. Elle poursuit son travail de recherche vers les paysages extrêmes lors d’une expédition au Groenland en 2018 et est invitée à produire et montrer ce travail, « les Portes de glace » au centre d’art Labanque (Béthune) pendant l’année 2018-2019 pour le 3e volet de la trilogie sur Georges Bataille (La traversée des Inquiétudes, commissaire Léa Bismuth) et en parallèle à Chaumont-Photo-sur-Loire. Commissariat d’exposition : Juliette Agnel et Caroline Dorion-Peyronnet Dates4 Septembre 2021 9 h 00 min - 30 Novembre 2021 17 h 15 min(GMT-11:00) LieuAbbaye de Jumièges24 Rue Guillaume le Conquérant, 76480 JumiègesOther Events Abbaye de Jumièges24 Rue Guillaume le Conquérant, 76480 JumiègesJusqu’au 15 septembre : tous les jours de 10h à 13h et de 14h à 18h. À partir du 16 septembre : de 10h à 12h30 et de 14h30 à 17h Plein tarif : 7,50€ / Tarif réduit : 5,50€ Abbaye de Jumièges Get Directions CalendrierGoogleCal Abbaye de Jumièges24 Rue Guillaume le Conquérant, 76480 Jumièges lun29mar(mar 29)9 h 00 mindim27jui(jui 27)17 h 15 minVisiter Pompei : Claudio Sabatino, un photographe sur les pas de Gustave FlaubertAbbaye de Jumièges, 24 Rue Guillaume le Conquérant, 76480 Jumièges Détail de l'événementAbbaye de Jumièges Dans son Voyage en Orient, Gustave Flaubert consacre plusieurs pages à sa visite de Pompéi qu’il effectue en 1851. Un siècle après la découverte du site (1748), Détail de l'événement Abbaye de Jumièges Dans son Voyage en Orient, Gustave Flaubert consacre plusieurs pages à sa visite de Pompéi qu’il effectue en 1851. Un siècle après la découverte du site (1748), seules quelques parties de la ville avaient été mises à jour. Aujourd’hui, le paysage s’est considérablement élargi, des fouilles récentes ayant d’ailleurs permis de dévoiler de nouvelles richesses. Les manifestations qui marquent le bicentenaire de la naissance de Flaubert sont l’occasion de présenter au sein du logis abbatial de Jumièges un travail que le photographe italien Claudio Sabatino réalise depuis 2001 sur Pompéi. Même si les histoires et les dimensions de Pompéi et Jumièges ne sont pas comparables, la représentation du site italien vient ici faire écho, sur le registre thématique des ruines, à la majestueuse présence de l’abbaye. Gustave Flaubert et Pompéi Dans la notice d’une édition du Voyage en Orient (collection Folio classique, éditons Gallimard, 2006), on peut lire cette remarque à propos du séjour de l’écrivain en Italie : « Ici, Flaubert renonce pratiquement à tout récit : “Je ne tenais pas de journal […]. J’ai seulement pris des notes sur les musées et quelques monuments“. » Le texte révèle une approche qui pour l’essentiel est celle d’un visiteur curieux, souhaitant d’abord garder une trace, une mémoire, de tout ce qu’il a pu voir. Claudio Sabatino et Pompéi Il y a dans le travail de Claudio Sabatino une démarche que l’on pourrait rapprocher de celle de Gustave Flaubert. Le photographe a arpenté très librement les lieux. Il n’est investi d’aucune mission qui aurait pu lui être attribuée par une institution : il répond pour l’essentiel à une exigence artistique, obéissant même à une nécessité d’ordre personnel du fait qu’il est originaire de la région de Naples. Sans jamais négliger son histoire ni sa configuration, il n’a pas pour autant porté un regard clinique sur le site de Pompéi : il a opéré lorsque celui-ci était ouvert au public et ainsi ne s’interdit pas la présence de quelques visiteurs qui viennent à certains endroits ponctuer ses images. Il n’a pas cherché l’exhaustivité, préférant privilégier l’unité visuelle de son approche, tant en termes de couleurs que de lumières. Son travail est complété par un ensemble de photographies réalisées autour de Naples, notamment à Herculanum dont le destin est comparable à celui de Pompéi. Mais il témoigne aussi d’une préservation souvent fragile de sites et vestiges romains au milieu de la ville moderne. Assistant par le passé de Gabriele Basilico (le travail de Gabriele Basilico sur Beyrouth a été exposé à Jumièges en 2015), l’un des photographes italiens les plus influents de sa génération dans le domaine du paysage urbain, il a tiré parti de cette précieuse expérience qui mêle étroitement art et document. Gustave Flaubert et Claudio Sabatino L’exposition de Jumièges confronte donc deux époques et deux visions d’un même lieu chargé d’histoire ; elle nous invite à comparer leur restitution à travers ces deux modes d’expression que sont l’écriture et la photographie. Le dialogue Flaubert – Sabatino est ici enrichi par la présence de photographies prises entre 1865 et 1870, soit quelques années après le passage de l’écrivain. On les doit à Giorgio Sommer (1834 – 1914) qui avait alors constitué un album d’une cinquantaine de clichés*. *l’album est déposé à la BnF et consultable sur le site Gallica Commissariat d’exposition : Gabriel Bauret et Caroline Dorion-Peyronnet Ouvert tous les jours de 9h à 13h et de 14h30 à 17h15. Dates29 Mars 2021 9 h 00 min - 27 Juin 2021 17 h 15 min(GMT+00:00) LieuAbbaye de Jumièges24 Rue Guillaume le Conquérant, 76480 JumiègesOther Events Abbaye de Jumièges24 Rue Guillaume le Conquérant, 76480 JumiègesJusqu’au 15 septembre : tous les jours de 10h à 13h et de 14h à 18h. À partir du 16 septembre : de 10h à 12h30 et de 14h30 à 17h Plein tarif : 7,50€ / Tarif réduit : 5,50€ Abbaye de Jumièges Get Directions CalendrierGoogleCal https://www.normandie.fr/bicentenaire-flaubert Marque-page2
Actu Art Contemporain Nouvelle Saison au Palais de Tokyo : Radioscopie de la joie collective, Raphaël Barontini… L’exposition « Joie Collective » au Palais de Tokyo met en avant des luttes contemporaines autour de la mémoire collective postcoloniale et ...
Evénements Regard intime. Arlene Gottfried au CRP/ de Douchy-les-Mines Le Centre régional de la photographie des Hauts-de-France, à Douchy-Les-Mines, accueille la rétrospective de la photographe américaine Arlene Gottfried (1950-2017), en partenariat ...
L'Edition Le bruissement entre les murs de Clara Chichin et Sabatina Leccia par Céline Pévrier (sun/sun éditions) Tout au long du mois de mars, à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, nous partagerons avec vous une ...
Actu Art Contemporain Le Nouveau Printemps de Toulouse par Kiddy Smile : « réinventer une culture de l’amour »
Actu Art Contemporain Suzanne Valadon au Centre Pompidou : audace et radicalité d’une féministe avant l’heure !
Actu Art Contemporain Une journée au Centre Pompidou-Metz : Cerith Wyn Evans, Sud global émancipé et Katharina Grosse
Actu Art Contemporain Centre Pompidou Metz : « Après la fin. Cartes pour un autre avenir » vers un sud global émancipé
Le bruissement entre les murs de Clara Chichin et Sabatina Leccia par Céline Pévrier (sun/sun éditions)
Cyrielle Lévêque. Les Joueurs par les éditrices Soraya Hocine & Sandy Berthomieu (Éditions de l’Épair)
Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 mars 2025
Interview Clothilde Morette, directrice artistique de la MEP : « Remettre au centre de l’histoire de l’art et de la photographie certains artistes invisibilisés » 3 jours ago
Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 mars 2025
Le bruissement entre les murs de Clara Chichin et Sabatina Leccia par Céline Pévrier (sun/sun éditions) 1 jour ago
Cyrielle Lévêque. Les Joueurs par les éditrices Soraya Hocine & Sandy Berthomieu (Éditions de l’Épair) 6 jours ago
Eva Diallo. Bolol aux éditions Cécile Fakhoury par l’éditrice Véronique Prugnaud (The Eyes) 5 mars 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 5) 4 mars 2025
Nouvelle Saison au Palais de Tokyo : Radioscopie de la joie collective, Raphaël Barontini… 11 heures ago
Un nouveau chapitre pour le Centre d’Art Contemporain, Genève : Interview Andrea Bellini, directeur 2 jours ago