Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 mars 2025
Interview Clothilde Morette, directrice artistique de la MEP : « Remettre au centre de l’histoire de l’art et de la photographie certains artistes invisibilisés » 4 jours ago
Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 mars 2025
Le bruissement entre les murs de Clara Chichin et Sabatina Leccia par Céline Pévrier (sun/sun éditions) 2 jours ago
Cyrielle Lévêque. Les Joueurs par les éditrices Soraya Hocine & Sandy Berthomieu (Éditions de l’Épair) 7 jours ago
Eva Diallo. Bolol aux éditions Cécile Fakhoury par l’éditrice Véronique Prugnaud (The Eyes) 5 mars 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 5) 4 mars 2025
Nouvelle Saison au Palais de Tokyo : Radioscopie de la joie collective, Raphaël Barontini… 14 heures ago
Un nouveau chapitre pour le Centre d’Art Contemporain, Genève : Interview Andrea Bellini, directeur 3 jours ago
Partager Partager Temps de lecture estimé : 3minsPour sa quatrième et dernière carte blanche, notre invité de la semaine, Yves Rousselet, a décidé de nous parler de la Maison de la Photographie Robert Doisneau à Gentilly. Un lieu qui rend hommage à celui qui porte son nom, en explorant la photographie humaniste dans son histoire et dans ses pratiques actuelles, revisitant cette notion au-delà des frontières, privilégiant le regard, le réel et le documentaire. Ce lieu d’exposition, considéré comme non essentiel est toujours fermé au public. Je ne vais pas vous faire mentir chère Brigitte Patient, pas vous non plus Ericka, pas non plus tout·es et tous les invité·es qui ont confié dans vos colonnes la difficulté de ne citer qu’un lieu institutionnel ou une galerie, un festival, un événement, un espace de rencontres avec des photographies et surtout des photographes … Pour notre plus grand bonheur des yeux du cœur et mon insatiable besoin d’écouter autant que de bavarder … La plupart accessibles gratuitement sinon il m’arrive de demander une faveur (une entrée gratuite en échange d’une photographie) ils sont nombreux de Charleroi, à Toulouse, de Brest à Metz en passant par Gracay ,Vendôme, Corbeil ou encore Cergy … Comme autant de rendez-vous qui témoignent de la créativité de la diversité, domaine dans lequel il y a toujours à faire … Déplacer un peu les gros arbres s’enfoncer un peu dans la forêt … Et puis, située au numéro un de la rue de la Division-du-Général-Leclerc à Gentilly se trouve la Maison de la Photographie Robert Doisneau ouverte depuis avril oui avril 1996 … Je l’ai « apprivoisée » en m’y rendant fréquemment plutôt les premières années à la manière d‘une sortie dominicale … selon un itinéraire de balade agrémenté d’une traversée des jardins de l’hôpital Sainte Anne du parc Montsouris de celui de la cité Universitaire et la passerelle du Cambodge au dessus du périphérique … un enjambement pour l’ailleurs … et un peu comme chez moi pour visiter et revisiter les parts d’humanité contenues dans les photographies, dans des expositions privilégiant toujours le regard, le réel documenté « documenteur ». Auprès d’ Annie-Laure Wanaverbecq qui en fut la première directrice j’ai même confié mon souhait d’être « adopté » par la maison pendant un mois ou deux … aujourd’hui je redoute que les surfaces murs planchers plafonds disponibles soient insuffisantes pour mon projet de « monumentALbum » … il faut tout de même que j’en parle à Michaël Houlette. Depuis qu’il en assure la programmation mon attachement au lieu ne s’est pas émoussé. Au contraire je partage encore avec enthousiasme le triptyque artistique esthétique scénographique de ses choix … c’est sans infidélité donc que je m’intéresse au futur espace « villa Georges Eastman » … de l’autre côté de la place d’Italie … INFORMATIONS PRATIQUES Maison de la Photographie Robert Doisneau1, rue de la Division Général Leclerc 94250 Gentilly ven02oct2021lun01marParis années 50Frank HorvatMaison de la Photographie Robert Doisneau, 1, rue de la Division Général Leclerc 94250 Gentilly Détail de l'événementAu début des années 1950, Frank Horvat est alors un jeune photographe qui navigue dans les différentes sphères du métier. Tour à tour reporter, illustrateur et bientôt photographe de mode Détail de l'événement Au début des années 1950, Frank Horvat est alors un jeune photographe qui navigue dans les différentes sphères du métier. Tour à tour reporter, illustrateur et bientôt photographe de mode reconnu, il refuse dès cette époque de choisir, de se limiter à une spécialité ou de s’enfermer dans un genre. C’est donc avec un certain goût pour l’expérience et une curiosité aiguisée qu’il déambule dans Paris, la ville où il a choisi de s’installer. Cette exposition présente ainsi deux séries réalisées durant la même décennie avec la capitale pour toile de fond ou pour sujet et qui révèle la large palette expressive maîtrisée par le photographe dès ses débuts. Le premier ensemble d’images, qui pourrait s’apparenter à une forme documentaire, montre un Paris de nuit, fait de night-clubs et de cabarets fréquentés par les touristes étrangers en quête de strip-tease à la française. En réalisant ses premières prises de vues, Frank Horvat ne souhaite pas en faire le thème d’un travail au long cours mais répond simplement à la commande d’un magazine américain. S’il photographie le spectacle et le public du Sphinx à Pigalle, son culot l’introduit rapidement derrière le rideau où il rejoint les danseuses dans leurs loges. Ces instantanés, pourtant réalisés dans une certaine hâte, nous plongent dans une promiscuité intime où les corps dénudés se laissent approcher pour un instant de pose et où les regards complices croisent volontiers ceux du jeune photographe. Quelques années plus tard, cette série ainsi que d’autres clichés (pris au Crazy Horse notamment) font l’objet d’une publication intitulée J’aime le Strip-Tease. La seconde série d’images exposée ici montre davantage un Paris au grand jour où s’affichent la physionomie, le dessin et même le « graphisme » de la ville ainsi que les mouvements qui l’animent. Frank Horvat utilise un téléobjectif pour réaliser certains de ses clichés qui, à l’époque, ne font pas non plus l’objet d’un thème spécifique. De ce travail résulte des séquences étonnantes, riches de surprises formelles voire abstraites, où les plans impitoyablement martelés en aplats affirment les lignes, les contours et les matières des lieux ou des visages. À ravers cet ensemble, cette recherche esthétique libre, Frank Horvat dévoile sa vision de Paris faite à la fois d’individus, anonymes ou célèbres, de foules, de points de vue et d’ambiances insolites mais aussi de pauses et d’accélérations, de silences et d’effervescences. Michaël Houlette Photo : © Frank Horvat Toits, Paris, 1956 Téléobjectif Dates2 Octobre 2020 13 h 30 min - 1 Mars 2021 18 h 30 min(GMT+00:00) LieuMaison de la Photographie Robert Doisneau1, rue de la Division Général Leclerc 94250 GentillyOther Events Maison de la Photographie Robert Doisneau1, rue de la Division Général Leclerc 94250 GentillyEntrée Libre. Ouvert du mercredi au vendredi : 13h30 - 18h30 et le samedi et dimanche : 13h30 - 19h Dermée les jours fériés Maison de la Photographie Robert Doisneau Get Directions CalendrierGoogleCal Dans l’attente de la réouverture des lieux culturels. Photo de couverture : 1959, Paris, France, Gare Saint-Lazare (détail) © Frank Horvat Marque-page0
L'Invité·e Carte blanche à Valérie-Anne Giscard d’Estaing : Photographie et matérialité Pour sa troisième carte blanche, notre invitée de la semaine, la fondatrice et directrice de la Galerie XII, Valérie-Anne Giscard d’Estaing partage avec nous ...
L'Invité·e Carte blanche à Valérie-Anne Giscard d’Estaing : Le Festival Photo La Gacilly Pour sa deuxième carte blanche, notre invitée de la semaine, la fondatrice et directrice de la Galerie XII, Valérie-Anne Giscard d’Estaing souhaite apporter un ...
L'Invité·e Carte blanche à Valérie-Anne Giscard d’Estaing : Lucien Clergue, Les gitans À l’occasion de sa première carte blanche, notre invitée de la semaine, la fondatrice et directrice de la Galerie XII, Valérie-Anne Giscard d’Estaing revient ...
Le bruissement entre les murs de Clara Chichin et Sabatina Leccia par Céline Pévrier (sun/sun éditions)
Cyrielle Lévêque. Les Joueurs par les éditrices Soraya Hocine & Sandy Berthomieu (Éditions de l’Épair)
Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 mars 2025
Interview Clothilde Morette, directrice artistique de la MEP : « Remettre au centre de l’histoire de l’art et de la photographie certains artistes invisibilisés » 4 jours ago
Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 mars 2025
Le bruissement entre les murs de Clara Chichin et Sabatina Leccia par Céline Pévrier (sun/sun éditions) 2 jours ago
Cyrielle Lévêque. Les Joueurs par les éditrices Soraya Hocine & Sandy Berthomieu (Éditions de l’Épair) 7 jours ago
Eva Diallo. Bolol aux éditions Cécile Fakhoury par l’éditrice Véronique Prugnaud (The Eyes) 5 mars 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 5) 4 mars 2025
Nouvelle Saison au Palais de Tokyo : Radioscopie de la joie collective, Raphaël Barontini… 14 heures ago
Un nouveau chapitre pour le Centre d’Art Contemporain, Genève : Interview Andrea Bellini, directeur 3 jours ago