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Partager Partager Temps de lecture estimé : 9minsIl en va d’un mécénat réussi comme d’un millésime de champagne et la Maison Louis Roederer conjugue avec élégance et précision les deux versants d’une même histoire inscrite dans la fidélité et l’émotion. Alchimie du temps et du lieu, vertu de la patience, complexité et intensité. Si la dégustation est un art et les pensionnaires érudites et disciplinées des sous-sols de la rue rémoise de Savoye de véritables carmélites, nombreux sont les amateurs un peu fous d’un « Cristal », joyau de l’institution et véritable signature au pédigrée remontant à la Cour du tsar Alexandre II. Les collectionneurs d’art ne sont-ils pas aussi ces jusqu’au-boutistes du geste et de la révélation, en quête de toutes les flamboyances et vibrations de l’âme ? Si les liens de la Fondation Louis Roederer avec la BnF remontent à 18 ans, c’est bien au nom d’une même intelligence de la culture et d’une éthique du temps partagé. L’exposition « Noir et Blanc : une esthétique de la photographie » au Grand Palais devait offrir un panorama de ces collections uniques au monde sous le prisme du monochrome et de ses expérimentations. Las, la pandémie va priver le public d’un tel éblouissement soulignant le rôle essentiel du mécénat en cette période à travers un remarquable catalogue qui fera œuvre de mémoire. À Reims, la Fondation soutient l’exposition du photoreporter Gilles Caron aux côtés de la Fondation éponyme dans le bel espace du Cellier, révélant les aspects plus intimes d’une personnalité hors du commun. Sa petite équipe a tenu à ce que l’exposition vive malgré tout et nous avons eu la chance de la découvrir en comité restreint et d’interviewer à cette occasion Michel Janneau, secrétaire général de La Fondation. Manifestante républicaine, Derry, Août 1969 © Gilles Caron Gilles Caron, en quoi sa personnalité vous a-t-elle séduit et résonne-t-elle avec les engagements de la Fondation ? Sa personnalité m’a ému avant de me séduire, notamment le jour où j’ai dû me plonger dans la rédaction du communiqué de presse de l’exposition. C’est une personnalité hors du commun : jeune, intelligente, pleine de courage et de tendresse pour ses proches, qui sait toujours aller à l’essentiel en grand professionnel. De plus, nous avions à cœur de nous consacrer davantage à Reims et à son rayonnement. Nous avions dans ce sens notamment contribué à la restauration d’un vitrail de la cathédrale. Nous constituons également une collection éclectique et embryonnaire mais que nous ambitionnons de montrer un jour dans notre cellier ou ailleurs. Elle est répartie entre notre Hôtel Particulier et nos bureaux également dans un autre bel immeuble rémois. Enfin, nous sommes en train de refaire le grand salon des caves dans lequel nous installerons certainement des œuvres de la collection. Il pourra aussi accueillir des expositions en lien avec d’autres événements proposés par nos partenaires. « Grand Mécène de la Culture » la Fondation Louis Roederer a élargi son engament auprès de la BnF au Palais de Tokyo, au Grand Palais, au Festival américain de Deauville, à la Semaine de la Critique à Cannes, aux Rencontres d’Arles et Jeu de Paume. Quel en est l’acte fondateur ? Si l’on remonte aux origines, quand nous avons créé la Fondation, nous voulions une fondation différente des autres qui étaient marquées par le narcissisme. Elles permettaient à des marques ou des hommes de marque de se sourire dans un miroir. Nous, nous tenions à instaurer sur une longue durée une relation amicale et sans clinquant autour du métier du Champagne Louis Roederer tout en participant à l’art sans cesse et partout en train de se renouveler. La photographie a été le premier jalon de notre aventure. 1er janvier 1972 à la Martinique1972. André Kertesz © BnF – Département des Estampes et de la photographie© Rmn-Grand Palais – Gestion droit d’auteur Comment malgré la pandémie et un certain nombre d’évènements annulés ou reportés, avez-vous souhaité continuer à soutenir les institutions ? Nous étions soucieux d’aider sur le plan financier les institutions qui rencontraient de réelles difficultés. La solution a été de travailler avec le digital et nous avons ainsi continué à annoncer les évènements initialement prévus pour leur donner de la visibilité. Nous avons relayé toutes les initiatives destinées à faire parler de nos amis, de leur programme et des artistes qu’ils souhaitaient mettre en avant. Nous avons développé par exemple avec Arles une sorte de constellation de petites capsules autour des lauréats du Prix Découverte de l’année 2020. Un autre exemple très probant aussi concerne le Grand Palais qui a développé des moyens d’une grande intelligence et prépare une visite virtuelle de l’exposition Noir et Blanc une esthétique de la photographie, puisque malheureusement elle ne sera pas visible. En termes de révélations, ce qui a aussi été extraordinaire est que Deauville a réussi à maintenir son festival de cinéma américain en partenariat avec le festival de Cannes et d’Annecy. Toutes les initiatives prises par nos partenaires dans leur créativité et leur singularité nous ont beaucoup touchés. C’est la grande victoire de ces temps de restriction. Jeune fille au Leica, 1934. Alexandre Rodtchenko © BnF – Département des Estampes et de la photographie© Adagp, Paris, [2019] Le Havre, 1982. © BnF – Département des Estampes et de laphotographie © Gilbert Fastenaekens En quoi cette crise renforce-t-elle les valeurs inhérentes à une maison telle que la vôtre, autour de la valorisation de nos savoir-faire, de la place de la nature dans nos vies, de la transmission et fidélité au temps ? Il y a en effet une corrélation qui se dessine entre les valeurs de la Maison Louis Roederer et les leçons de cette crise. « Tutoyer la nature » est l’un des axes forts de cette chorégraphie de l’homme et la nature que nous déclinons et cette proximité avec le vivant que vous soulignez, se retrouve à tous les stades d’élaboration de nos vins et notamment l’ambitieuse conversion en bio du terroir que nous avons entrepris. La Fondation de son côté a parfaitement rempli son rôle car elle a permis de garder un lien avec les institutions, les œuvres et les artistes, ce qui est à l’origine même de sa vocation. Nous avions d’ailleurs lancé une campagne Roederer intitulée « à la recherche de l’œuvre » pour organiser en toute modestie une passerelle entre l’œuvre champagne comme formidable catalyseur et les œuvres en général. Dans une crise telle que la nôtre il y a des révélations, de talents, de générosité, qui replacent l’humain au cœur de ce qui bouge. C’est aussi cette dimension qui nous habite autour de la rareté. Même si cette crise pèse sur l’entreprise, l’impact est moindre que pour ceux qui ont déployé des moyens marketing considérables alors que nous tenons beaucoup à notre dimension et nos règles de vie d’artisan. Le silence. Paris, 1973 © BnF – Département des Estampes et de la photographie© Bernard Plossu Femme sur un banc. David Goldblatt © BnF – Département des Estampes et de la photographie En 2021 la Fondation va fêter ses 10 ans, quel bilan ressort-il de ce parcours ? Je tiens à souligner la notoriété à laquelle nous sommes arrivés par rapport aux objectifs et ambitions fixés au départ, basée sur une exigence de qualité tout à fait exceptionnelle en phase ininterrompue avec notre choix pour la BnF à laquelle nous devons beaucoup. Nous avons montré que nous étions capables de passer d’une exposition ésotérique comme Guy Debord à une exposition grand public magnifique comme Toulouse Lautrec au Grand Palais. Au gré de la toile que nous avons tissée de la BnF au Grand Palais, au Palais de Tokyo, à la Semaine de la Critique, nous sommes devenus une marque à l’affut du « beau » juste à côté. Devenir Grand Mécène de la Culture en 2011 a été l’étape décisive de notre légitimité. En 2021, outre l’exposition « Henri Cartier-Bresson, le Grand Jeu » à la BnF, la Semaine de la Critique à Cannes, les Rencontres de la photographie à Arles et le Festival du Cinéma Américain de Deauville, nous soutiendrons les expositions : « Photographies du MoMa » au Jeu de Paume et « Vivian Maier, une photographe révélée » au Musée du Luxembourg à l’automne. Vue de l’exposition Noir & Blanc : une esthétique de la photographie scénographie Maud Martinot © Rmn – Grand Palais, 2020 / Photo Didier Plowy Vue de l’exposition Noir & Blanc : une esthétique de la photographie scénographie Maud Martinot © Rmn – Grand Palais, 2020 / Photo Didier Plowy Vue de l’exposition Noir & Blanc : une esthétique de la photographie scénographie Maud Martinot © Rmn – Grand Palais, 2020 / Photo Didier Plowy Avez-vous beaucoup écrit pendant ce confinement ? Sachant que c’est une passion qui vous anime également. J’ai en effet beaucoup écrit, d’abord par indignation et curiosité car je rejetais le principe surprenant qui condamne l’économie la plus créative pour relancer la vie. J’ai aussi poursuivi mes pérégrinations dans la forêt landaise et partout où ma plume se tortillait d’envie de faire jouer les mots. Je suis d’ailleurs heureux de pouvoir éditer en mars un livre où il sera presque malgré moi beaucoup question de champagne et d’armagnac. À quand remonte votre rencontre avec l’univers du vin ? Ma famille avait un très beau vignoble en Gascogne à quelques encablures d’une vénérable Maison d’Armagnac. Mes frères et moi étions le plus souvent les pieds dans la vigne qui n’avait pas l’extraordinaire précision que l’on connaît en Champagne mais, peut-être, une autre poésie dans le désordre doré des feuilles et le passage des grives. Nous étions tous les trois amoureux du lointain sourire des Pyrénées. INFORMATIONS PRATIQUES : Le Cellier4bis Rue de Mars, 51100 Reims ven20nov(nov 20)14 h 00 min2021mer10fev(fev 10)18 h 00 minGilles Caron, un monde imparfaitLe Cellier, 4bis Rue de Mars, 51100 Reims Détail de l'événementDans la continuité du film documentaire de Mariana Otero « Histoire d’un regard », sorti en salle en janvier 2020, consacré à la vie de Gilles Caron, l’exposition « Gilles Détail de l'événement Dans la continuité du film documentaire de Mariana Otero « Histoire d’un regard », sorti en salle en janvier 2020, consacré à la vie de Gilles Caron, l’exposition « Gilles Caron, un monde imparfait » sera présentée au Cellier, à Reims, à partir du 21 novembre 2020. Elle dévoilera les multi-facettes de l’œuvre du photographe. À côté de ses clichés les plus célèbres, les visiteurs pourront découvrir une constellation d’images et de documents leur permettant de mieux comprendre le métier de photojournaliste tel que Gilles Caron l’a incarné. La Fondation Gilles Caron, la Ville de Reims et l’association La Salle d’attente, à l’initiative de cette exposition, ont fait appel à trois jeunes commissaires : Isabella Seniuta, Clara Bouveresse et Guillaume Blanc. Ce projet est également soutenu par Prisme, précieux carrefour des entreprises rémoises et de l’art contemporain, la Fondation Bru, partenaire et conseil de la Fondation Gilles Caron depuis plus de dix ans, la Région et la DRAC Grand Est. Avec cette exposition marquante, la Fondation Louis Roederer, évidemment appuyée sur sa maison mère, ancrée au cœur de la ville de Reims, est fière et émue de contribuer au rayonnement de l’art et de la culture en ces terres de belle histoire. « Cette exposition se distingue dans la carrière de la Fondation Louis Roederer car Gilles Caron est différent. Il court son adolescence sans manquer aucun des choix qui construisent une personnalité hors du commun, y compris la naissance de l’amour de sa vie et sa passion pour les chevaux. Et puis, la cadence prise, il continue de ne pas chômer en croisant le parachutisme, les premiers reportages de guerre, la mode, Gamma, le cinéma et pas des moindres, Resnais, Godard, Truffaut, les révolutions, 1968, le Printemps de Prague, le Tibesti et la fatale « route N°1 », et tous ces ricochets sur les aspérités du monde. Vouloir être partout à la fois sans faire de longues escales… Gilles Caron va toujours à l’essentiel en professionnel exemplaire. Si l’on prend son temps pour créer une œuvre, on rate ce que l’on sent, les déchirements entre l’horreur et la tendresse, le quotidien et les grandes causes. Chez Gilles Caron, l’art émerge sans qu’on le sollicite. » Michel Janneau, Secrétaire Général de la Fondation Louis Roederer DatesNovembre 20 (Vendredi) 14 h 00 min - Février 10 (Mercredi) 18 h 00 min(GMT+00:00) LieuLe Cellier4bis Rue de Mars, 51100 Reims Le Cellier4bis Rue de Mars, 51100 ReimsOuvert de 14h à 18h du mercredi au dimanche Get Directions CalendrierGoogleCal Le Point du Jour, centre d’art/éditeur107, avenue de Paris 50100 Cherbourg-en-Cotentin dim06jui(jui 6)14 h 00 mindim03oct(oct 3)18 h 00 minUn monde imparfaitGilles CaronLe Point du Jour, centre d’art/éditeur, 107, avenue de Paris 50100 Cherbourg-en-Cotentin Détail de l'événement« Il n’y a aucune raison pour que ce monde imparfait et ennuyeux qui m’a été donné à la naissance, je sois obligé de l’assumer et de l’améliorer dans la Détail de l'événement « Il n’y a aucune raison pour que ce monde imparfait et ennuyeux qui m’a été donné à la naissance, je sois obligé de l’assumer et de l’améliorer dans la mesure de mes moyens. On subit toujours, mais de diverses façons. Ne rien faire, c’est désolant. Jouer un rôle, c’est prendre son siècle en main, en être imprégné tout entier. » Gilles Caron, lettre à sa mère, 6 mai 1960. Comment se situer, vivre et agir dans un « monde imparfait » ? Telle est la question que se pose le jeune Gilles Caron, alors appelé à faire son service militaire pendant la guerre d’Algérie. Devenu reporter au sein de l’agence Gamma, il photographiera entre 1967 et 1970 nombre des conflits de son époque, jusqu’à sa disparition au Cambodge, à l’âge de trente ans. L’exposition, accompagnée d’un livre publié par Le Point du Jour en novembre 2020, propose un parcours à travers quelques-uns de ses reportages les plus célèbres, comme Mai 68 à Paris ou la guerre du Biafra, mais aussi d’autres moins connus, tels que l’anniversaire du Printemps de Prague ou la rébellion armée au Tchad. Consacrée à un reportage, chaque partie de l’exposition présente, autour d’une photographie emblématique de Gilles Caron, une trentaine de ses images et certains des magazines où elles ont été publiées à l’époque. Ce faisant, les historiens de la photographie Guillaume Blanc, Clara Bouveresse et Isabella Seniuta, commissaires de l’exposition, éclairent le contexte historique et les conditions de production de ces images, ainsi que leur diffusion par la presse à laquelle elles étaient destinées. Relue ainsi sous l’angle de ses ambivalences, l’œuvre de Gilles Caron traduit la complexité à rendre compte de ce « monde imparfait » dont il choisit, en tant que photoreporter, d’« être imprégné tout entier ». Les commissaires Guillaume Blanc prépare une thèse à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne sur l’idée d’une « civilisation de l’image » dans la France des années 1950- 1970. Ses publications récentes incluent une contribution à Icônes de Mai 68. Les images ont une histoire (BnF, 2018) et un article dans la revue Transbordeur. Photographie, histoire, société en 2019. Clara Bouveresse est maîtresse de conférences à l’université d’Evry Paris-Saclay. Elle est notamment l’autrice d’Histoire de l’agence Magnum. L’art d’être photographe (Flammarion, 2017) et de Femmes à l’œuvre, femmes à l’épreuve. Eve Arnold, Abigail Heyman, Susan Meiselas (Arles, Actes Sud, 2019), catalogue d’une exposition présentée aux Rencontres d’Arles. Isabella Seniuta est l’autrice d’une thèse sur l’histoire du « Eye Club », un réseau d’acteurs qui façonnèrent dans les années 1960-1980 le marché naissant de la photographie entre Paris et New York. Elle donne actuellement un cours d’art contemporain à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Le livre Gilles Caron, un monde imparfait Textes de Guillaume Blanc, Clara Bouveresse et Isabella Seniuta Format : 20 x 25 cm (broché) 70 photographies en noir & blanc et en couleurs 112 pages 28 € Photo : © Gilles Caron, Manifestante républicaine, Derry, août 1969 DatesJuin 6 (Dimanche) 1 h 00 min - Octobre 3 (Dimanche) 5 h 00 min(GMT-11:00) LieuLe Point du Jour, centre d’art/éditeur107, avenue de Paris 50100 Cherbourg-en-Cotentin Le Point du Jour, centre d’art/éditeur107, avenue de Paris 50100 Cherbourg-en-CotentinOuvert du mercredi au vendredi, de 14h à 18h Samedi et dimanche, de 14h à 19h - Entrée libre Get Directions CalendrierGoogleCal Le Grand Palais3, avenue du Général Eisenhower 75008 Paris jeu12nov(nov 12)0 h 00 min2021lun04jan(jan 4)0 h 00 minNoir & Blanc : Une esthétique de la PhotographieCollection de la Bibliothèque nationale de FranceLe Grand Palais, 3, avenue du Général Eisenhower 75008 Paris Détail de l'événementIntemporel et résolument contemporain, le noir et blanc incarne l’essence de la discipline par sa force esthétique et plastique. Terrain d’expression des plus grand(e)s photographes, il est sollicité aujourd’hui encore pour Détail de l'événement Intemporel et résolument contemporain, le noir et blanc incarne l’essence de la discipline par sa force esthétique et plastique. Terrain d’expression des plus grand(e)s photographes, il est sollicité aujourd’hui encore pour la richesse de ses nuances et sa radicalité. Le Grand Palais vous invite à découvrir 300 tirages emblématiques des collections de la BnF à travers ce thème qui embrasse l’histoire de la photographie du XXe siècle et explore l’esthétique d’une technique puissante et engagée. Parmi plus de 200 photographes, des tirages de Nadar, Man Ray, Ansel Adams, Willy Ronis, Robert Doisneau, Helmut Newton, Diane Arbus, Mario Giacomelli, Robert Franck, William Klein, Daido Moriyama, Valérie Belin, Brassaï, et Cartier Bresson sont présentés. Exposition réalisée par la Réunion des musées nationaux – Grand Palais et la Bibliothèque nationale de France. DatesNovembre 12 (Jeudi) 0 h 00 min - Janvier 4 (Lundi) 0 h 00 min(GMT+00:00) LieuLe Grand Palais3, avenue du Général Eisenhower 75008 Paris Le Grand Palais3, avenue du Général Eisenhower 75008 Paris Get Directions CalendrierGoogleCal Noir et Blanc : une esthétique de la photographie, collection de la Bibliothèque Nationale de France en visite virtuelle sur le site RMN – Grand Palais Gilles Caron, un monde imparfait – Fondation Gilles Caron La Fondation (louis-roederer.com) A LIRE : Prix Découverte aux Rencontres d’Arles : Interview avec Michel Janneau de la Fondation Louis Roederer Marque-page0
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