Carte blanche à Valérie-Anne Giscard d’Estaing : Mobiliser les femmes d’affaires pour soutenir les femmes artistes 1 jour ago
Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 mars 2025
Interview Clothilde Morette, directrice artistique de la MEP : « Remettre au centre de l’histoire de l’art et de la photographie certains artistes invisibilisés » 5 jours ago
Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 mars 2025
« 13 fois Jackie » par les éditrices Soraya Hocine & Sandy Berthomieu (Éditions de l’Épair) 1 jour ago
Le bruissement entre les murs de Clara Chichin et Sabatina Leccia par Céline Pévrier (sun/sun éditions) 3 jours ago
Cyrielle Lévêque. Les Joueurs par les éditrices Soraya Hocine & Sandy Berthomieu (Éditions de l’Épair) 7 mars 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 5) 4 mars 2025
Nouvelle Saison au Palais de Tokyo : Radioscopie de la joie collective, Raphaël Barontini… 2 jours ago
Un nouveau chapitre pour le Centre d’Art Contemporain, Genève : Interview Andrea Bellini, directeur 4 jours ago
NewsPhoto Stéphanie Solinas remporte le Prix Camera Clara 2020 La Rédaction4 février 2021 Partager Partager Temps de lecture estimé : 3minsLe nom de la lauréate de l’édition 2020 du Prix Camera Clara vient d’être annoncé en direct sur Instagram – couvre-feu oblige. Il s’agit de la photographe Stéphanie Solinas pour sa série en cours intitulé « L’Inexpliqué – Revenants ». Le jury a également décerné une mention spéciale à Thomas Boivin. La lauréate remporte une dotation de 6000€ et les œuvres des deux photographes sont exposées à la Galerie Clémentine de la Ferronnière à partir de demain, jusqu’au 20 février. Le prix photo Camera Clara récompense depuis 2012 les artistes qui travaillent à la chambre photographique avec une série inédite. Stéphanie Solinas, lauréate L’Inexpliqué – Revenants En 1633 à Rome, Galilée est condamné par l’Église pour avoir défendu la thèse de l’héliocentrisme. Figure exemplaire de la lutte de la science face à l’obscurantisme, on oublie souvent que Galilée est aussi celui qui expulsa du royaume de la physique, pour les reléguer dans celui de l’illusion subjective, les qualités qui sont l’essence même du monde sensoriel : les couleurs et les sons, la chaleur, les odeurs, les saveurs. Ainsi, celui qui explique le réel par l’impossible (la loi contre-intuitive de la chute des corps) invente la science moderne toute entière centrée sur la matière. Agissant par superposition de temporalités et de représentations, ranimant la porosité entre science et foi, entre visible et invisible, L’Inexpliqué – Revenants explore, à partir de l’expérience sensible des corps, ce/ux qui peuple/nt le ciel. Dans L’Inexpliqué – Revenants, les corps peints ou sculptés hantent les corps vivants, les astres nous regardent, et Galilée, au temps de son procès hébergé à la Villa Médicis, entre en dialogue avec Thérèse de Lisieux, sainte contemporaine qui aurait été détentrice d’un appareil photographique que j’ai miraculeusement pu emprunter au musée Nicéphore Niepce et utiliser sous le ciel romain. Comme le télescope pour les scrutateurs assidus des étoiles, cette chambre folding en bois m’est devenue appareil de vision, pour retrouver, dans la matérialité même des choses et des êtres, les traces d’un infini. … L’Inexpliqué – Revenants s’inscrit dans un travail plus global, L’Inexpliqué, qui se déploie en Italie et enquête sur les formes concrètes d’accès au spirituel – les miracles et le processus de leur reconnaissance dans le monde catholique comme point de contact direct entre science et foi, les reliques, les apparitions. Mené notamment à l’Académie de France à Rome / Villa Médicis (pensionnaire 2017-2018), L’Inexpliqué est un travail en cours, qui explore les liens créateurs entre lumière, vision, incarnation, science et croyance. Thomas Boivin, mention spéciale ©Thomas Boivin « Des gens qui ne se connaissent pas. C’est cette confiance que la photographie garde, c’est cette confiance qui est ensuite offerte au lecteur, et c’est en ce sens que sa signification sociale est la plus forte pour moi. Aujourd’hui encore, au-delà de toutes les préoccupations que chacun peut avoir pour notre avenir commun, voir qu’il est possible de rencontrer un étranger en faisant un portrait de manière aussi libre et intuitive que moi est pour moi à chaque fois un moment de grâce, et une promesse d’espoir». Thomas Boivin INFORMATIONS PRATIQUES Galerie Baudoin Lebon21 rue chapon 75003 Paris mer09mar(mar 9)11 h 00 minsam26(mar 26)19 h 00 minRoei Greenberg, lauréat du Prix de la Photo Camera ClaraGalerie Baudoin Lebon, 21 rue chapon 75003 Paris Détail de l'événementLa Galerie Baudoin Lebon présente les œuvres du lauréat du Prix de la Photo Camera Clara 2021 : Roei Greenberg. « Se promener à la campagne est une pratique culturelle anglaise Détail de l'événement La Galerie Baudoin Lebon présente les œuvres du lauréat du Prix de la Photo Camera Clara 2021 : Roei Greenberg. « Se promener à la campagne est une pratique culturelle anglaise bien connue. Au-delà de son aspect récréatif, la marche est un acte politique, un parcours intérieur profond lié à mon contexte culturel : arpenter la terre, c’est la connaître, et donc suggérer une appartenance, un droit et une propriété… Depuis peu, je sillonne la campagne anglaise, je me familiarise avec la topographie de cette île pour mieux comprendre sa cartographie héritée des histoires impériales et coloniales. En référence à l’École romantique, je m’approprie les règles visuelles du pittoresque, traditionnellement utilisées pour créer une illusion d’harmonie sociale et naturelle… La lumière spectaculaire et les conditions météorologiques tourmentées combinées à une attention chirurgicale du détail et aux interventions sur place provoquent des sentiments ambigus, entre séduction et détachement. Cette poétique attirante mais teintée d’ironie cherche à perturber les modes de représentation traditionnels dans un lieu où la propriété foncière et la hiérarchie sociale ont façonné la forme et la perception du paysage depuis des siècles ». Roei Greenberg Dates9 Mars 2022 11 h 00 min - 26 Mars 2022 19 h 00 min(GMT-11:00) LieuGalerie Baudoin Lebon21 rue chapon 75003 ParisOther Events Galerie Baudoin Lebon21 rue chapon 75003 ParisDu mardi au samedi de 11h à 19h et sur rendez-vous Galerie Baudoin Lebon Get Directions CalendrierGoogleCal Marque-page0
Photo Masterclass Oeildeep : Je n’ai pas traversé la mer par Francesco Calabrese Cette semaine nous poursuivons la restitution de la Masterclass Oeildeep qui s’est achevée en décembre 2024 sous l’égide de Raphaële Bertho, Bruno ...
L'Edition « 13 fois Jackie » par les éditrices Soraya Hocine & Sandy Berthomieu (Éditions de l’Épair) Tout au long du mois de mars, à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, nous partagerons avec vous une ...
Evénements Regard intime. Arlene Gottfried au CRP/ de Douchy-les-Mines Le Centre régional de la photographie des Hauts-de-France, à Douchy-Les-Mines, accueille la rétrospective de la photographe américaine Arlene Gottfried (1950-2017), en partenariat ...
Le bruissement entre les murs de Clara Chichin et Sabatina Leccia par Céline Pévrier (sun/sun éditions)
Carte blanche à Valérie-Anne Giscard d’Estaing : Mobiliser les femmes d’affaires pour soutenir les femmes artistes 1 jour ago
Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 mars 2025
Interview Clothilde Morette, directrice artistique de la MEP : « Remettre au centre de l’histoire de l’art et de la photographie certains artistes invisibilisés » 5 jours ago
Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 mars 2025
« 13 fois Jackie » par les éditrices Soraya Hocine & Sandy Berthomieu (Éditions de l’Épair) 1 jour ago
Le bruissement entre les murs de Clara Chichin et Sabatina Leccia par Céline Pévrier (sun/sun éditions) 3 jours ago
Cyrielle Lévêque. Les Joueurs par les éditrices Soraya Hocine & Sandy Berthomieu (Éditions de l’Épair) 7 mars 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 5) 4 mars 2025
Nouvelle Saison au Palais de Tokyo : Radioscopie de la joie collective, Raphaël Barontini… 2 jours ago
Un nouveau chapitre pour le Centre d’Art Contemporain, Genève : Interview Andrea Bellini, directeur 4 jours ago
Carte blanche à Valérie-Anne Giscard d’Estaing : Mobiliser les femmes d’affaires pour soutenir les femmes artistes