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Partager Partager L'Invité·e Carte blanche à Carolle Bénitah : Ces rencontres décisives La Rédaction6 octobre 2020 Temps de lecture estimé : 4minsPour sa première carte blanche, la photographe Carolle Bénitah, revient sur ces rencontres décisives qui lui ont permis d’être l’artiste qu’elle est aujourd’hui. Des rencontres qui se conjuguent au féminin pluriel et en qui elle a trouvé soutiens et encouragements. L’une d’entre elle est sa galeriste, que nous recevrons la semaine prochaine en tant qu’invitée de la semaine – hasard du calendrier. Aujourd’hui, dans cette carte blanche, elle a tenu à leur rendre hommage et leur montrer sa gratitude… « Dans les grandes lignes, nous décidons, nous sommes libres. Mais pour ce qui est des « choses de la vie » le hasard les dirige beaucoup plus que nous. » Paul Guimard Je ne serai pas en arrivée là si je n’avais pas rencontré des femmes que j’admire et qui m’ont encouragé, soutenu, avec qui j’ai développé une amitié sincère et qui ont toute ma gratitude. J’ai croisé la photographe Marie Docher lors d’un festival photo en Grande-Bretagne – entre français, on se repère vite. Elle a réalisé deux vidéos sur mon travail et aujourd’hui, je suis admirative du combat qu’elle mène pour l’égalité homme-femme dans la photographie, un combat que je juge nécessaire et juste. Accrochage exposition Carolle Benitah à la galerie 127 C’est elle qui a parlé de mon travail à Nathalie Locatelli qui s’installait à Marrakech où elle a créé la première galerie photo du Maghreb. C’est un ainsi que je me suis retrouvée à Paris Photo pour présenter mon album « Photos Souvenirs ». Une collaboration intense et très constructive s’est tissée depuis avec la Galerie 127 qui nous a amené dans des contrées lointaines de Marrakech à Los Angeles et de Londres à Paris. Elle vient d’ouvrir une antenne de sa galerie à Montreuil en France. Stage Martine Ravache « Apprendre à Voir » – Workshop Vu’ Martine Ravache est écrivain, commissaire d’exposition et critique de la photographie. J’ai suivi son stage « Apprendre à voir » qui m’a ouvert les yeux et l’esprit. A travers un ensemble d’exercices visuels, elle nous fait prendre conscience que notre regard ne dépend pas uniquement de nos yeux mais de notre mental, de notre vécu, de notre passé, de notre époque, de notre social, de notre genre …. Que le regard est donc à la fois personnel et universel, à la fois contemplation et révélation et qu’il passe largement par les mots qu’on met dessus. Avec elle, j’ai appris à me méfier de cette séduction facile qui existe dans certaines photographies et je me suis sentie encouragée à rechercher une voie singulière. L’artiste suisse Corinne Vionnet fait partie de la même « famille » que moi, dont les membres travaillent à partir d’archives ou d’images déjà existantes. J’aime la façon dont elle questionne le médium. Elle construit son travail à partir du gigantesque flot de photographies déversées sur le Net pour créer une image qui fusionne des centaines de clichés. Elle interroge notre manière de prendre des photos qui est souvent uniformisée et analyse comment se construit un imaginaire collectif. C’est une critique d’Internet qui semble ouvrir des possibilités de découvertes immenses alors qu’en réalité, l’information est régie par des algorithmes INFOS Marie Docher http://docher.com Nathalie Locatelli Galerie 127 / Montreuil 7, rue Arsène Chéreau 93100 Montreuil http://www.galerie127.com En ce moment à la galerie Galerie 127- Montreuil7, rue Arsène Chéreau 93100 Montreuil sam12sep(sep 12)15 h 00 minsam03oct(oct 3)19 h 00 min1, 2, 3 SoleilTina MerandonGalerie 127- Montreuil, 7, rue Arsène Chéreau 93100 Montreuil Détail de l'événement1,2,3 Souriez ! L’analogie est frappante et certainement Tina Merandon a joué de cette correspondance entre le jeu et la photographie où le regard caché et apparent régit les échanges Détail de l'événement 1,2,3 Souriez ! L’analogie est frappante et certainement Tina Merandon a joué de cette correspondance entre le jeu et la photographie où le regard caché et apparent régit les échanges : il s’agit toujours d’échanges et comment se vivent les interactions entre homme – animal ou entre eux. (Tina MERANDON) 1, 2, 3 Soleil est le fruit d’une résidence à Arles en 2019, initiée par le Réseau Diagonal, Voies Off et la Sampa, dans le quartier populaire de Griffeuille, à forte culture maghrébine. Il est alors apparu évident à Tina Merandon de proposer ce travail à la Galerie 127 de Marrakech, histoire aussi de mettre en parallèle ce regard, de l’autre côté. Le contexte récent a changé la donne et c’est, finalement, à Montreuil que nous débutons notre histoire commune et accueillons ainsi l’artiste au sein de la galerie. Pour cette première exposition de Tina Merandon à la Galerie 127 de Montreuil, nous avons choisi avec l’artiste de montrer des oeuvres parmi trois séries : Anima, Petites danseuses et 1,2,3 Soleil. La teneur de ce dernier projet – qui pourrait se résumer à cette question, selon Michel Poivert : comment formuler la question sociale dans un langage esthétique ? – réside dans cet interstice franco-marocain, franco-maghrébin, inter-culturel sublimé par la représentation photographique. Dans cette série, les silhouettes et les figures jouent à cache-cache avec l’environnement selon un procédé plastique qui permet subtilement à la photographe de respecter l’anonymat des figures humaines. Le corps est bien à l’oeuvre, cependant, comme souvent chez Tina Merandon Les deux séries Petites danseuses et Anima offrent des corps aussi, des corps ultra-stylisés, ramenés à l’essence d’un geste dansé pour la première et à la fusion corps-animal que la mythologie grecque n’aurait pas reniée, pour la seconde. Le corps ainsi transformé sous l’oeil de Tina Merandon est un corps transitionnel porteur d’identité, de langage, d’histoire commune. Il s’inscrit, selon la convention photographique, dans une bidimensionnalité qui s’offre à d’autres corps, nos corps de regardeurs fugaces. Tina Merandon affirme que la question des échanges, de la confrontation, de la fusion est au cœur de sa démarche. A la question fatidique, à laquelle bien peu d’entre nous peuvent répondre : qui sommes-nous et d’où venons-nous? Tina Merandon propose : que pouvons-nous être ? car un autre corps est possible selon Dominique Baqué. Le magique attrape-rêves qu’est l’appareil photographique promet l’infini. DatesSeptembre 12 (Samedi) 15 h 00 min - Octobre 3 (Samedi) 19 h 00 min(GMT+00:00) LieuGalerie 127- Montreuil7, rue Arsène Chéreau 93100 Montreuil Galerie 127- Montreuil7, rue Arsène Chéreau 93100 MontreuilOuvert de 15h à 19h du mercredi au samedi Get Directions CalendrierGoogleCal Martine Ravache Workshop « Apprendre à voir » Avec Vu Éducation https://agencevu.com/education/ Corinne Vionnet http://www.corinnevionnet.com Exposition en cours : Topographie de l'art15 rue de Thorigny 75003 Paris sam05sep(sep 5)0 h 00 minsam07nov(nov 7)0 h 00 minÉpaisseur du temps - PhotographiqueExposition CollectiveTopographie de l'art, 15 rue de Thorigny 75003 Paris Détail de l'événementLes pratiques photographiques en s’articulant autour des notions d’instant, de durée, de répétition ou encore de flux, interrogent visiblement la question d’une temporalité spécifique à ce médium. La photographie offre Détail de l'événement Les pratiques photographiques en s’articulant autour des notions d’instant, de durée, de répétition ou encore de flux, interrogent visiblement la question d’une temporalité spécifique à ce médium. La photographie offre l’illusion d’un temps suspendu et a participé aussi à celui d’un rêve d’éternité. Avec la photographie, il s’établit un nouvel espace-temps, interstitiel et neutre, « hors-temps » ritualisé, comme si le moment même de la prise de vue était déjà un moment hors du réel. Est-ce que le temps pourrait être un moment continu qui enchainerait des instants ? Une suite d’instants discontinue ? Peut-être, aujourd’hui, nous ne cherchons plus à capter des instants privilégiés, ceux qui nous paraissent gorgés de sens, avec un peu trop d’évidence, mais plutôt des occasions aux apparences insignifiantes qui déplacent les enjeux temporels de la photographie pour souligner autre chose, l’organisation même de cette temporalité. Et ce sont précisément ces déplacements du temps et du sens qui vont nous intéresser pour cette exposition. Nous venons tous, dans ce moment inattendu et tendu, menacé par l’invisible, de faire l’expérience du temps ou en tout cas d’un temps bouleversé et suspendu. Il a fallu nous ré-approprier une temporalité complètement désorganisée, et se réinventer face au chaos. Le temps de réfléchir nous était alors donné, celui de voir venir, d’imaginer, de regarder ce temps, de l’envisager aussi et d’en mesurer toute l’épaisseur et le poids. Ce temps tellement contraint, rétréci dans l’espace, presque insupportable, nous a laissé pressentir une possibilité de le vivre différemment et infiniment. À la fois enfermé et complètement libre. Ce fut un choc intime. Cette expérience temporelle, très personnelle, a donné à chacun un surplus de sens qui lui fera appréhender cette exposition, l’épaisseur du temps / photographique, avec une sensibilité toute particulière. Le temps a pris de l’épaisseur, car le temps nécessaire à la photographie nous a poussés à tendre de plus en plus vers l’instant, puis vers l’instant de plus en plus court puis vers l’immédiateté. De fait, le temps ainsi raccourci a dû prendre de l’épaisseur et aussi de l’espace. Au lieu de s’étaler dans une continuité fluide et une durée qui n’existe plus, la photographie s’est mise à travailler dans les profondeurs de l’image. À l’image de notre rapport à la société qui a changé, lui aussi, de temporalité. C’est donc cette épaisseur du temps et de l’espace qui nous est désormais donné à voir comme matérialité temporelle photographique et non plus l’arrêt de l’instant comme preuve d’un “ça a été“(1) . En ce sens, le rapport au réel de la photographie est une nouvelle fois mis à mal. La photographie qui n’est que surface donne au temps toute son épaisseur. Et même si ce temps ne cesse de se déplacer, de bouger, nous l’habitons en profondeur. Il ne s’agit pas de lui trouver une identité ou une définition, il est celui qu’on habite, celui dont on parle, il est nôtre. « Il y a un style temporel du monde et le temps demeure le même parce que le passé est un ancien avenir et un présent récent, le présent un passé prochain et un avenir récent, l’avenir enfin un présent et même un passé à venir, c’est-à-dire parce que chaque dimension du temps est traitée ou visée comme autre chose qu’elle-même, c’est-à-dire enfin parce qu’il y a au coeur du temps un regard ». (2) Pour Merleau-Ponty, c’est un regard de l’intérieur qui nous fait prendre conscience du temps et de sa temporalité. Les artistes, qui font cette exposition, “Épaisseur du temps / photographique“ explorent et expérimentent les limites de la photographie, mais aussi ce rapport spécifique au temps. Ils creusent la surface et travaillent aussi l’idée même de ce qui fait image. Ils vont nous introduire chacun, de par leurs différents regards, à la réalité d’un temps, celui qu’on dit photographique, dans sa densité et son épaisseur. Il se produit une transformation du regard où le présent nous apparaît alors en vérité comme la seule réalité temporelle qui nous appartienne en propre. Le temps serait donc principalement subjectif, car il n’existe que dans nos esprits et il caractérise en fait le manque constitutif de notre condition humaine, ce qui nous échappe en permanence. Le temps est humain et le temps n’est rien en soi hors de l’homme et de sa perception des choses. Il est seulement propre au rapport qu’entretient l’homme avec le monde. C’est en cela qu’il intéresse l’artiste tout comme l’illusion que donne la photographie de le maitriser. D’autant plus que le temps s’oppose à l’idée d’éternité. Dès que nous tentons de penser ce qu’est le temps, le temps se sauve et nous déborde. Le temps peut-être n’existe pas. Et si, justement, le temps n’était composé que d’inexistence. C’est peut-être la question que soulève cette exposition associée à la notion de photographique. Le temps nous interpelle dans toute son épaisseur. Paris, le 8 mars et le 5 juin 2020, Catherine Rebois. (1) Roland Barthe, La chambre Claire, Gallimard, 1980 (2) Merleau-Ponty, Phénoménologie de la perception, Tel-Gallimard, 1945, p. 483. Avec : Julien Benard; Carolle Bénitah, Katrien De Blauwer, Juliana Borinski; Gaëlle Choisne; Oleg Dou; Gabriela Morawetz; Catherine Rebois; Sophie Ristelhueber; Georges Rousse; Danila Tkachenko et Corinne Vionnet DatesSeptembre 5 (Samedi) 0 h 00 min - Novembre 7 (Samedi) 0 h 00 min(GMT+00:00) LieuTopographie de l'art15 rue de Thorigny 75003 Paris Get Directions CalendrierGoogleCal Crypte archéologique de l’île de la Cité7 Parvis Notre-Dame - Pl. Jean-Paul II, 75004 Paris mer09sep(sep 9)0 h 00 minjeu31déc(déc 31)0 h 00 minNotre-Dame de Paris De Victor Hugo à Eugène Viollet-Le-DucCrypte archéologique de l’île de la Cité, 7 Parvis Notre-Dame - Pl. Jean-Paul II, 75004 Paris Détail de l'événementFermée suite à l’incendie de la cathédrale Notre-Dame, la Crypte archéologique de l’île de la Cité, témoin de plus de 2000 ans d’histoire, rouvre ses portes au public le 9 Détail de l'événement Fermée suite à l’incendie de la cathédrale Notre-Dame, la Crypte archéologique de l’île de la Cité, témoin de plus de 2000 ans d’histoire, rouvre ses portes au public le 9 septembre 2020 avec une exposition hommage retraçant l’histoire de Notre-Dame de Paris au temps de Victor Hugo. Au début du XIXe siècle, la cathédrale, vieille de plus de 500 ans, se dégrade. Vandalisée et peu entretenue, on envisage même de la démolir. Le roman Notre-Dame de Paris de Victor Hugo, publié en 1831, fait du monument le personnage principal et suite à l’immense succès du livre, un mouvement populaire nait pour sa défense. Un ambitieux chantier de restauration est alors conduit par l’architecte Eugène Viollet-le-Duc de 1844 à 1864. Il souhaite rester fidèle au monument médiéval mais s’autorise aussi quelques créations : lorsqu’il dessine les sculptures, en particulier les monstres qui ornent les hauteurs de la cathédrale, l’architecte s’inspire du roman de Victor Hugo. Les premiers photographes sont les témoins de cette histoire et documentent de nombreuses étapes de la restauration. Tout comme le célèbre roman de Victor Hugo et l’architecture audacieuse d’Eugène Viollet-le-Duc, ces images contribuent à inscrire la cathédrale à la postérité. L’édifice est admiré du monde entier comme en témoigne l’émotion mondiale provoquée par l’incendie du 15 avril 2019. Le parcours retrace ce tournant de l’histoire de Notre-Dame, accompagné de reproductions et de dispositifs numériques afin que le visiteur remonte le temps et voyage dans l’univers de Notre-Dame. Films et reconstitutions 3D se côtoient au coeur de la Crypte archéologique de l’île de la Cité, juste en dessous du parvis de la cathédrale. L’exposition débute par la cathédrale de Notre-Dame de Paris telle qu’elle se présentait lors de la publication du célèbre roman de Victor Hugo. Les visiteurs pourront ensuite redécouvrir ce récit à travers les célèbres figures de Quasimodo et d’Esméralda ou encore l’évocation prémonitoire de l’incendie de la cathédrale imaginée par Victor Hugo. La suite du parcours revient sur la restauration du monument conduite par Eugène Viollet-le-Duc. Agrémentées de reproductions de dessins et de nombreuses photographies de l’époque, les principales étapes de cet ambitieux chantier sont illustrées. C’est en effet le temps des premiers photographes qui trouvent à Notre-Dame une inspiration nouvelle. Un focus sur le Stryge (célèbre sculpture imaginée par Viollet-le-Duc) illustre les rapports entre l’imaginaire créé par le roman de Victor Hugo et la cathédrale restaurée qui devient à son tour source d’inspiration. Si la publication par Victor Hugo de Notre-Dame de Paris a permis une prise de conscience collective en faveur de la sauvegarde de ce chef d’oeuvre de l’art gothique, le récit a par la suite connu une diffusion internationale par le bais notamment de nombreuses adaptations allant des films aux dessins animés en passant par la comédie musicale. Photo : Charles Nègre (1820-1880), Le Stryge, vers 1853. Tirage sur papier salé © RMN-Grand Palais (musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski DatesSeptembre 9 (Mercredi) 0 h 00 min - Décembre 31 (Jeudi) 0 h 00 min(GMT+00:00) LieuCrypte archéologique de l’île de la Cité7 Parvis Notre-Dame - Pl. Jean-Paul II, 75004 Paris Get Directions CalendrierGoogleCal Le travail de Carolle Bénitah est également représenté par : • Sous les Étoiles Gallery, New York, USA http://www.souslesetoilesgallery.net • Bildhalle, Zurich, Suisse http://www.bildhalle.ch Marque-page0
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