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Cenate Sotto, Italie, 15 mars 2020. © Fabio Bucciarelli pour The New York Times Lauréat 2020 du Visa d’or News soutenu par le Département des Pyrénées-Orientales Bryan Denton reçoit le Visa d’or Magazine 2020 Pour la treizième fois, la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée offre un prix de 8 000 € au gagnant du Visa d’or Magazine. Des enfants jouent dans l’eau d’un puits foré privé. Le recours aux puits forés a augmenté il y a 10 à 15 ans lorsque les pluies de mousson sont devenues moins régulières, entraînant une baisse significative du niveau des eaux souterraines dans la région. Lamheta, Uttar Pradesh, juin 2019. © Bryan Denton pour The New York Times Lauréat du Visa d’or magazine soutenu par la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée Rosem Morton reçoit le Visa d’or de la Presse Quotidienne 2020 Sur les 23 titres en compétition, le gagnant est le site d’information américain CNN.com récompensé pour le travail de Rosem Morton intitulé « J’ai été violée et brisée. Alors j’ai pris mon appareil photo. » « J’ai dit à mon mari que j’avais été agressée, ajoutant : “Je ferai quelques mois de thérapie et ça sera du passé pour moi.” Au bout de quatre mois de thérapie, au mois de novembre, après la séance hebdomadaire, je me suis effondrée dans ma voiture. Je me suis rendu compte que le travail ne faisait que commencer. » © Rosem Morton / CNN.com Lauréate 2020 du Visa d’or Presse Quotidienne soutenu par Perpignan Méditerranée Métropole L’enquête « Féminicide, mécanique d’un crime annoncé » réalisé par Le Monde, avec les photographies de Camille Charbi reçoit le Visa d’or de l’Information numérique franceinfo La cinquième édition du Visa d’or de l’Information numérique franceinfo est organisée par Visa pour l’Image – Perpignan avec le soutien de France Médias Monde, France Télévisions, Radio France et l’Institut national de l’audiovisuel (INA), médias audiovisuels de service public. Réalité virtuelle, interactivité, vidéo éditorialisée et postée sur les réseaux sociaux… Face au flux permanent de l’information, le Visa d’or de l’Information numérique franceinfo récompense un projet, un contenu, une création proposant une mise en perspective de l’information. L’enquête récompensée en 2020 est Féminicides – Mécanique d’un crime annoncé, réalisée par le journal Le Monde, accompagnée des photographies de Camille Gharbi. Ce prix est doté de 8 000 euros qui seront remis à La Maison des femmes de Saint-Denis, dirigée par Ghada Hatem. Alfredo Bosco reçoit le Visa d’or humanitaire du Comité International de la Croix-Rouge (CICR) Créé en 2011, le Visa d’or humanitaire du CICR récompense chaque année un photojournaliste professionnel ayant couvert une problématique humanitaire en lien avec un conflit armé. Le thème de ce concours photographique porte sur la guerre en ville et les conséquences sur les populations obligées de se terrer ou de fuir. Ce prix, doté de 8 000 euros par le CICR, est décerné cette année à Alfredo Bosco / Luz pour son reportage sur les conséquences de la guerre des cartels dans l’État de Guerrero au Mexique. Un jeune des environs de Centro, membre d’un groupe d’autodéfense. Rincon de Chautla, État de Guerrero, 12 janvier 2019. © Alfredo Bosco / Luz avec le soutien du Figaro Magazine Lauréat du Visa d’or humanitaire du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) 2020 Jean-Pierre Laffont reçoit le Visa d’or d’honneur du Figaro Magazine Le Visa d’or d’honneur du Figaro Magazine est destiné à récompenser le travail d’un photographe confirmé et toujours en exercice pour l’ensemble de sa carrière professionnelle. Pour la huitième année consécutive, ce Visa d’or est doté par Le Figaro Magazine de 8 000 euros. Le gagnant de l’édition 2020 est Jean-Pierre Laffont. Centre de détention pour hommes de « Tombs », Manhattan, New York, États-Unis. 28 septembre 1972. © Jean-Pierre Laffont Lauréat du Visa d’or d’honneur du Figaro Magazine 2020 Sabiha Çimen reçoit la Bourse Canon de la Femme Photojournaliste 2020 Pour la vingtième année consécutive, Canon et Visa pour l’Image décernent la Bourse Canon de la Femme Photojournaliste à une photographe, en reconnaissance de sa contribution au photojournalisme. La bourse, dotée de 8 000 €, permettra à la lauréate 2020, Sabiha Çimen / Magnum Photos, de financer son reportage en cours « Hafizas, les gardiennes du Coran », qui sera exposé lors de l’édition 2021 du festival. Cette année, le festival exposera le reportage de la lauréate 2019, Anush Babajanyan / VII, « Une terre troublée ». Sabiha Çimen / Magnum Photos Michaël Zumstein reçoit la 1ère Bourse Canon du documentaire vidéo court-métrage Le premier lauréat de la Bourse Canon du documentaire vidéo court-métrage est Michaël Zumstein / Agence VU’ pour son projet « Miss Bangui » sur l’organisation de Miss Centrafrique dans un pays touché par des flambées de violence. La bourse est dotée de 8 000 euros par Canon, qui mettra également à sa disposition un équipement vidéo professionnel. La version finale du reportage vidéo sera projetée lors de l’édition 2021 du festival à Perpignan. Michaël Zumstein / Agence VU’ Aïda Dahmani reçoit la première Bourse de la nouvelle photographie urbaine soutenue par Google Visa pour l’Image, Google et Dysturb sont ravis d’annoncer le lauréat de la Bourse de la nouvelle photographie urbaine. Parmi les 5 finalistes, dont Marvin Bonheur, Émilie Désir, Ilyes Griyeb et Cebos Nalcakan, la bourse est attribuée à Aïda Dahmani. À travers cette bourse, le jury souhaite récompenser un talent émergent de la photographie française ayant une approche et un traitement innovants de thématiques urbaines. La lauréate remporte une bourse dotée de 8 000 euros pour développer ses projets et bénéficiera d’un accompagnement de Google, Visa pour l’Image et Dysturb. Elle se voit aussi offrir la possibilité d’exposer son travail dans une exposition en ligne sur la plateforme Google Arts & Culture. © Aïda Dahmani Anthony Wallace reçoit le Prix de la Ville de Perpignan Rémi Ochlik Pour la quinzième année consécutive, des directeurs photo de magazines internationaux ont élu le lauréat du Prix de la Ville de Perpignan Rémi Ochlik. Ils ont voté pour le jeune photographe qui, selon eux, a produit en 2019-2020 le meilleur reportage publié ou non. Ce prix est doté par la Ville de Perpignan de 8 000 €. Anthony Wallace / AFP est le lauréat 2020 pour son travail sur la révolte populaire à Hong Kong. Dans le hall des arrivées de l’aéroport international de Hong Kong, une chaîne humaine a été formée pour manifester contre le projet de loi d’extradition. 26 juillet 2019. © Anthony Wallace / AFP Lauréat du Prix de la Ville de Perpignan Rémi Ochlik 2020 Jérôme Gence reçoit le Prix Pierre & Alexandra Boulat Le prix, soutenu par la Scam pour la sixième année consécutive, permet la réalisation d’un projet de reportage inédit. Le prix doté de 8 000 euros a été attribué à Jérôme Gence pour son projet de reportage sur le télétravail en France. Jeje, nomade numérique, travaille seule au Dojo Bali, un espace de coworking à Canggu (Bali, Indonésie). Elle était hôtesse de l’air mais supportait mal la pression du métier, aussi a-t-elle décidé de se lancer dans une carrière de nomade numérique. « Au début, les espaces de coworking sont formidables, mais dès qu’on commence à faire partie d’une communauté et à se faire des amis, c’est difficile de rester concentré et productif. Aujourd’hui, je préfère travailler seule dans un café. » © Jérôme Gence Lauréat du Prix Pierre et Alexandra Boulat 2020, soutenu par la Scam Olivier Jobart reçoit le Prix Camille Lepage L’Association Camille Lepage – On est ensemble a été créée le 20 septembre 2014, quelques mois après la mort de Camille Lepage en Centrafrique. Cette association a pour but de promouvoir la mémoire, l’engagement et le travail de Camille. Pour la quatrième année consécutive, la SAIF, Société des Auteurs des arts visuels et de l’Image Fixe, s’engage pour financer le prix, destiné à encourager le travail d’un photojournaliste engagé au long cours. Le lauréat de cette année est Olivier Jobard / Myop pour son projet de reportage sur une route de migration moins connue, de l’Éthiopie à l’Arabie saoudite, à travers le portrait de La famille de Moustafa, rencontré à Aden. Galafi, à Djibouti, l’une des régions les plus chaudes du monde. Venus d’Éthiopie, des centaines de migrants oromos franchissent clandestinement les montagnes qui marquent la frontière avec Djibouti. © Olivier Jobard / Myop Lauréat du prix Camille Lepage 2020 soutenu par la SAIF Odhràn Dhunne reçoit le Prix ANI-PixTrakk Depuis plus de vingt ans, l’Association Nationale des Iconographes (ANI) organise les lectures de portfolios pendant la semaine professionnelle du festival Visa pour l’Image – Perpignan, et reçoit ainsi plus de 350 photographes de tous horizons pour les conseiller et les orienter. Cette année, ce rendez-vous incontournable ne pourra pas avoir lieu au Palais des Congrès. Mais les membres de l’ANI seront heureux de participer à des lectures de portfolios virtuelles, en ligne. À l’issue du festival, l’ANI réunit un jury pour sélectionner 3 lauréats parmi ses « coups de coeur ». Les lauréats 2020 sont : Odhràn Dunne, Jeoffrey Guillemard et Kamil Zihnioglu. Pour la onzième année consécutive, le gagnant Odhràn Dunne reçoit le prix ANI, doté de 5 000 euros par PixTrakk, l’outil de traçage des photos sur la presse papier et sur le Web. Le lauréat sera exposé dans le cadre des « Visas de l’ANI » aux Gobelins, l’école de l’Image à Paris, si les conditions sanitaires le permettent. © Odhràn Dunne Mathias Depardon reçoit le Prix Photo – Fondation Yves Rocher En partenariat avec Visa pour l’Image – Perpignan, la Fondation Yves Rocher a créé le Prix Photo – Fondation Yves Rocher. Le lauréat 2020, Mathias Depardon, recevra un prix de 8 000 euros par la Fondation Yves Rocher, pour son prochain reportage sur les conséquences écologiques et sociales liées à l’assèchement des fleuves de la Mésopotamie. La pénurie des eaux fluviales du Tigre et de l’Euphrate génère une salinisation des terres et des déplacements de population dans un contexte marqué par une sécheresse générale en Irak. À Bassora, la deuxième plus grande ville d’Irak, l’eau est un problème pour ses trois millions d’habitants. « Nous ne pouvons plus abreuver notre bétail ni nous laver sans tomber malades. Plus de 100 000 personnes se sont retrouvées à l’hôpital, empoisonnées », affirme Hashim, un habitant d’Al-Tannuma, quartier populaire situé sur la rive orientale du Chatt al-Arab. © Mathias Depardon Lauréat du Prix Photo – Fondation Yves Rocher 2020 Finbarr O’Reilly reçoit le Prix Carmignac du photojournalisme La Fondation Carmignac est heureuse de s’associer, pour la sixième année consécutive,au festival Visa pour l’Image – Perpignan. Le 11e Prix Carmignac du photojournalisme, consacré à la République démocratique du Congo (RDC), a été attribué au photographe canadobritannique Finbarr O’Reilly. Son reportage a débuté en janvier 2020, avant que la pandémie ne bouleverse nos modes de vie. La fermeture des frontières l’empêchant de se rendre en RDC, il a, avec l’équipe du Prix, repensé et adapté le reportage à la crise que nous traversons pour concevoir « Congo in Conversation », un reportage collectif en ligne réalisé en collaboration étroite avec des journalistes et photographes congolais. Le site de « Congo in Conversation » propose une production inédite et régulière d’écrits, de reportages photo et de vidéos qui documentent les défis humains, sociaux et écologiques que la RDC affronte aujourd’hui, dans le contexte d’une crise sanitaire sans précédent. Home Rutshuru, province du Nord-Kivu, février 2020. Un employé funéraire de la Croix-Rouge montre comment mettre des gants de protection avant l’examen du corps d’une enfant de 11 mois victime de l’épidémie d’Ebola. © Finbarr O’Reilly pour la Fondation Carmignac INFORMATIONS PRATIQUES sam29aou(aou 29)0 h 00 mindim27sep(sep 27)0 h 00 minFestival Visa pour l'image 2020 OrganisateurVisa pour l'image Détail de l'événementVisa pour l’Image aura donc bien lieu. Sauf nouvelle vague de la pandémie et malgré une situation sanitaire exceptionnelle qui paralyse le monde entier, les lieux emblématiques de Perpignan ne Détail de l'événement Visa pour l’Image aura donc bien lieu. Sauf nouvelle vague de la pandémie et malgré une situation sanitaire exceptionnelle qui paralyse le monde entier, les lieux emblématiques de Perpignan ne seront pas dépouillés de leurs images pour cette 32e édition. Évidemment, nous en sommes heureux. Et nous réalisons à quel point notre position dans l’agenda – cette première semaine de septembre que les parents nous ont si souvent reprochée – nous est cette année favorable. D’autres n’ont malheureusement pas eu cette chance. Il serait naïf de penser que cette édition sera comme les précédentes. Les mesures sanitaires qui nous sont imposées à juste titre et les restrictions de déplacement vont de facto entraver le déroulement et l’ambiance du festival. Il faut donc nous adapter. L’occasion pour nous de réfléchir à de nouvelles manières de remplir notre objectif. L’occasion de repenser cette mission qui nous habite chaque année depuis plus de 30 ans : vous montrer le meilleur de la production photojournalistique. L’occasion, donc, de perturber la «routine» des formats de Visa pour l’Image. Rien ne remplacera le rapport intime et chaleureux qu’un cadre, une marie-louise et un beau tirage réalisé par des artisans de talent peuvent tisser avec le public – même dans les déambulatoires bondés et caniculaires du Couvent des Minimes. Et rien, évidemment, ne saurait se substituer au Campo Santo et aux soirées de projection, que nous ne pourrons proposer cette année qu’en virtuel. Visa pour l’Image aura bien lieu. Ces fameux cadres habilleront donc comme chaque année les salles du couvent et les murs de l’église des Dominicains. Mais pour celles et ceux qui ne pourront pas se rendre à Perpignan, nous réfléchissons depuis déjà plusieurs mois aux nouvelles écritures possibles pour vous présenter les reportages que nous avons sélectionnés cette année. Expositions, projections et conférences seront ainsi virtuellement – et gratuitement – disponibles, dans ,des habillages inédits dans l’histoire du festival. Face à cette crise sans précédent, nous nous félicitons de la présence à nos côtés de partenaires historiques et fidèles nous ayant confirmé leur indéfectible soutien pour nous permettre d’élaborer ces nouveaux formats – formats qui seront amenés à être pérennisés et à enrichir l’offre du festival dans les années à venir. Dans ces temps tumultueux où la frontière entre les opinions et les faits se trouble chaque jour un peu plus, où des informations non vérifiées animent les débats des réseaux sociaux jusqu’aux plateaux télévisés, nous pensons que Visa pour l’Image peut apporter plusieurs choses dont l’époque semble cruellement manquer. Du fond, de la nuance et de la mise en perspective. Encore, et toujours, l’essence du photojournalisme. Jean-François Leroy EXPOSITIONS – Une terre troublée / Anush Babajanyan VII – Guerrero, l’État oublié / Alfredo Bosco – Les derniers des Mohana / Sarah Caron – Sacrifice / Elena Chernyshova PANOS PICTURES – L’Afrique de Chiba / Yasuyoshi Chiba AFP – Une planète noyée dans le plastique / James Whitlow Delano – Sécheresse et déluge en Inde / Bryan Denton – Manifesto del agua / Sanne Derks – Au plus près des loups dans l’Extrême-Arctique / Ronan Donovan – Irak: Cent jours de thawra / Emilienne Malfatto – La déforestation de l’Amazonie / Victor Moriyama – Dehors / Axelle de Russé – Sugar Girls / Chloe Sharrock – Les contestataires / Nicole Tung – Le visage humain du Covid-19 à New York / Peter Turnley – Points de vue opposés / Anthony Wallace – Tant que le soleil brillera / Ian Willms PANOS EXPOSITIONS COLLECTIVES – Pandémie(s) – I Can’t Breathe – Presse quotidienne internationale © Peter Turnley Dates29 Août 2020 0 h 00 min - 27 Septembre 2020 0 h 00 min(GMT+00:00) OrganisateurVisa pour l'imageLearn More CalendrierGoogleCal A LIRE : Le festival Visa pour l’image Perpignan maintenu ! Suite un accord entre l’Association Visa pour l’image et le ministère de la culture, les photographes exposés seront rémunérés ! Parfaite parité pour le Palmarès 2018 de Visa pour l’image Visa pour l’image, un festival qui ne rémunère pas les droits d’auteur ? Le Coup de gueule de Jean-François Leroy Visa pour l’image, un festival sexiste ? Le Coup de gueule de Jean-François Leroy Jean-François Leroy, Directeur de Visa pour l’image Perpignan, est notre invité 30ème édition de Visa pour l’image Rencontre avec son directeur Palmarès des Prix Visa pour l’Image 2017 Marque-page0
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