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Partager Partager L'Invité·e Carte blanche à Anne Immelé : Avant l’effacement : Ester Vonplon, Thomas Hauser, Isabelle Giovacchini La Rédaction10 septembre 2020 Temps de lecture estimé : 2minsNotre invitée Anne Immelé, photographe, co-fondatrice et directrice artistique de la Biennale Photo de Mulhouse continue de partager avec nous les travaux des photographes qu’elle a exposés dans le cadre de la manifestation. Pour sa troisième carte blanche on découvre l’univers de trois nouveaux artistes : Ester Vonplon, Thomas Hauser et Isabelle Giovacchini. La photographie considérée comme une fixation fragile et momentanée traverse les différentes expositions conçues en tant que commissaire pour la BPM-Biennale de la Photographie de Mulhouse. Des images photographiques hantent nos mémoires, mais semblent parfois sur le point de disparaître, soit par la destruction du support photographique, soit par l’oubli. Ainsi les photographies d’Ester Vonplon semblent sur le point d’apparaître ou au contraire, sur le point de disparaître (exposition Zones, BPM 2018). Cette dimension de disparition est aussi au coeur de l’installation de Thomas Hauser lors de la BPM 2018. Comme chez Ester Vonplon, l’instant et l’éternité se rejoignent dans un équilibre fragile, puisque le support photographique, par nature éphémère, est guetté par le passage du temps et les dégradations chimiques. Chez ces deux photographes, le passé affleure dans le présent dans des images qui jouent avec l’imperceptible. L’instabilité de la lumière, parfois l’usage du flou, font émerger une sensation du fugitif. Utilisant aussi la photographie dans sa dimension chimique, opérant des actes primitifs de la photographie argentique, c’est par un geste au pinceau qu’Isabelle Giovacchini fait disparaître une partie de l’image. Ainsi dans la série « Quand fond la neige », l’artiste a effacé les lacs de la surface d’images issues de la photothèque du Parc national du Mercantour à l’aide de ferrocyanure de potassium, utilisé en retouche argentique. Cette série fait partie de l’exposition Ce noir tout autour qui parait nous cerner. http://www.biennale-photo-mulhouse.com/2020/ INFORMATIONS PRATIQUES mar01sep0 h 00 minsam31oct(oct 31)0 h 00 min4ème édition de BPM - Biennale Photo de MulhouseThis is the End Détail de l'événementDu fait de la pandémie de Covid-19, l’édition de la BPM 2020 n’aura pas entièrement lieu en juin comme prévue. Cette édition plus archipélique est reportée en septembre-octobre pour les Détail de l'événement Du fait de la pandémie de Covid-19, l’édition de la BPM 2020 n’aura pas entièrement lieu en juin comme prévue. Cette édition plus archipélique est reportée en septembre-octobre pour les expositions en galerie et musée, hormis l’exposition de Christophe Bourguedieu qui aura lieu du 22 août au 13 septembre à la Filature. Les expositions en plein air, à Hombourg, Chalampé, Ottmarsheim et sur les Berges de l’Ill à Mulhouse seront visibles au courant du mois de juin. Nous mettons tout en oeuvre pour maintenir les expositions prévues avec certains aménagements, certains renoncements aussi comme la soirée dédiée aux projections ou l’exposition prévue au LAC du lycée Stoessel. Notre festival a pour objectif de montrer une pratique photographique contemporaine en perpétuel mouvement et interrogation. Le rapport de la production photographique à sa contemporanéité est l’un des axes de notre programmation : son rapport à l’évolution du médium mais aussi au contexte écologique, social, économique. Intitulée « This is the End », enracinée dans la relation que la photographie noue avec la fin imminente, cette édition s’avère, bien malgré elle, au plus proche du moment de bascule que nous vivons, entre un avant et un après. Par sa dimension inéluctable, la pratique de la photographie incarne intensément l’affirmation This Is the End, tout en ouvrant sur un imaginaire du passage et de l’après. Cette 4e édition de la BPM a lieu dans un contexte politique, économique et écologique marqué par la fin de la croyance en un système global de production devenu insensé et l’épuisement des ressources environnementales. This Is the End nous apostrophe sur la nature profondément destructrice du système industriel planétarisé et son point de rupture. Loin des représentations hollywoodiennes de la fin du monde ou des théories des collapsologistes, la BPM invite à s’interroger sur le pessimisme ambiant. Aborder la fin, c’est aussi proposer les moyens d’une prise de conscience, d’un changement du cours des choses. This Is the End évoque aussi le pouvoir fascinant des confins du monde, des civilisations englouties, des grottes sombres. La fin, c’est aussi la chute, le vertige ou son pressentiment. The End, c’est aussi la fin du film, de l’histoire dans laquelle le spectateur a aimé se plonger, rappelant la dimension fictionnelle de la pratique photographique. La quatrième édition de la BPM-Biennale de la Photographie de Mulhouse rassemble les travaux d’une quarantaine d’artistes français et étrangers utilisant la photographie autour de la notion This Is the End. La BPM affirme la volonté de soutenir la photographie contemporaine à travers 13 lieux d’expositions dans 5 villes et communes. La direction artistique est confiée à Anne Immelé. 5 commissaires d’exposition sont invités : Virginie Huet, Ann-Kathrin Harr & Maria Sitte, Pascal Amoyel, Michaël Roy, le programme de projections imaginé par Océane Ragoucy et Laura Morsch-Kihn est annulé en raison du covid-19. Plusieurs expositions se déploient dans Mulhouse : Ce noir tout autour qui parait nous cerner, Nolwenn Brod, Isabelle Giovacchini, Jean-Baptiste Grangier, Alain Willaume, Giovanna Silva, Geert Goiris ainsi que des photographies issues de la collection de Madeleine Millot-Durrenberger (commissariat d’Anne Immelé au Musée des Beaux-arts), Avant la nuit de Christophe Bourguedieu à La Filature, Comme des tourbillons de poussière, exposition collective conçue par Pascal Amoyel à la Galerie de la bibliothèque, se déploie à partir des séries photographiques d’Olivier Kervern, Louis Perreault, Antoine Seiter et Jean Marquès. Au séchoir, Pour tout le sel de la terre, exposition collective conçue par Mickaël Roy, propose une lecture post-industrielle, environnementale et sociale du Bassin potassique alsacien à travers une sélection de photographies de Bernard Birsinger, Stéphane Spach, Dominique Bannwarth, Jacky Naegelen & Sylvain Scubbi. Childhood memories réunissant Benoit Linder et Kuba Pajewski au LAC a dû être annulée. À la poursuite… des courbes, installation de Serge Lhermitte sera visible à la chapelle Saint-Jean, Carnet de Mulhouse de Thomas Boivin au Kohi Coffee. À Freiburg, l’exposition THE AND, (commissariat Ann-Kathrin Harr et Maria Sitte) au Kunsthaus L6 réunira 7 photographes. L’exposition Tout le jour il fait nuit noire de Thérèse Verrat et Vincent Toussaint (commissariat de Virginie Huet) du CCFF aura exceptionnellement lieu Hors les Murs et sera visible au Musée des Beaux-Arts de Mulhouse Les installations prévues dans l’espace public seront visibles courant juin : Geert Goiris à Hombourg, Jessica Auer à Ottmarsheim, Lynn Alleva Lilley à Chalampé, Jessica Auer et Guillaume Collignon sur les berges de l’Ill à Mulhouse. L’exposition Point Cardinal II, affichages des étudiants des Écoles Supérieures d’Art du Grand Est sur le parvis de la gare aura lieu à l’automne. Dates1 Septembre 2020 0 h 00 min - 31 Octobre 2020 0 h 00 min(GMT+00:00) En savoir plus CalendrierGoogleCal Marque-page0
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