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Il a été co-commissaire de l’exposition «Kanak, l’art est une parole» présentée au musée du quai Branly – Jacques Chirac en 2014 et à l’origine avec Roger Boulay, ethnologue, spécialiste de la culture océanienne de l’Inventaire des objets dispersés du patrimoine kanak, (actuellement 17 000 objets recensés dans 110 musées internationaux). L’histoire des collections du musée, le débat sur la restitution des oeuvres et la place de l’art contemporain font partie des priorités qu’il se fixe. Je l’avais interviewé en octobre 2019 à l’occasion de “20 ans les acquisitions du musée du Quai Branly” qu’il co-signait avec Stéphane Martin. (cf : Rencontre avec Emmanuel Kasarhérou, co-commissaire 20 ans, musée du Quai Branly-Jacques Chirac) La prochaine exposition “A toi appartient le regard” rassemblera 26 artistes contemporains de 18 pays autour de la question de l’image photographique et filmique. Des artistes aux profils très divers, jeunes et émergents comme Gosette Lubondo (RDC), Lek Kiatsirikajorn (Thaïlande) ou José Luis Cuevas (Mexique), mais aussi de nombreux auteurs majeurs, parmi lesquels Dinh Q. Lê (Vietnam), José Alejandro Restrepo (Colombie), Dayanita Singh (Inde), Sammy Baloji (République démocratique du Congo), Rosângela Rennó (Brésil) ou Brook Andrew (Australie). Au sein d’un parcours s’ouvrant sur l’œuvre spectaculaire du camerounais Samuel Fosso, l’exposition organise des rencontres fécondes entre des œuvres rarement vues en France. Elles évoquent les rapports à l’image, la perception du monde et la représentation de soi (The Black Photo Album / Look at me: 1880-1950 du sud-africain Santu Mofokeng), celle du paysage et des territoires (les travaux de Carlos Garaicoa, Heba Y. Amin, Mario García Torrès) ou la réappropriation du récit historique et politique (The Indian Project: Rebuilding History du mexicain Yoshua Okón). Le Musée rouvre ses portes au public le 9 juin 2020. NOUVELLES DATES POUR LES EXPOSITIONS Musée du Quai Branly37 Quai Branly, 75007 Paris mar30juidim01novÀ toi appartient le regard et (…) la liaison infinie entre les chosesMusée du Quai Branly, 37 Quai Branly, 75007 Paris Détail de l'événementÀ partir du 31 mars 2020, l’exposition À toi appartient le regard et (…) la liaison infinie entre les choses propose une plongée dans les univers sensibles de 26 artistes Détail de l'événement À partir du 31 mars 2020, l’exposition À toi appartient le regard et (…) la liaison infinie entre les choses propose une plongée dans les univers sensibles de 26 artistes issus de 18 pays différents. Dans le sillage de son programme de résidences et des prospections menées depuis une dizaine d’années, le musée du quai Branly – Jacques Chirac a choisi de mettre en relation les pratiques d’artistes contemporains aux profils divers : jeunes et émergents comme Gosette Lubondo, Lek Kiatsirikajorn ou José Luis Cuevas, mais aussi de nombreux auteurs majeurs, parmi lesquels Guy Tillim, Dinh Q. Lê, José Alejandro Restrepo, Dayanita Singh, Sammy Baloji, Rosângela Rennó, Mario García Torrès, Yoshua Okón, Samuel Fosso ou Brook Andrew. Utilisant la photographie, l’image en mouvement, la vidéo, l’installation, ils composent des récits, interrogent notre rapport aux images, mènent des enquêtes approfondies, questionnent les héritages historiques des photographies, repensent les notions d’appropriation et de réappropriation visuelle. À toi appartient le regard et (…) la liaison infinie entre les choses, est une évocation tirée de la littérature allemande du 19e siècle (Ludwig Hülsen) qui sert de fil conducteur à la découverte du travail des artistes, au rythme des notions évoquées dans le titre. Le parcours s’ouvre sur l’oeuvre spectaculaire du camerounais Samuel Fosso, SIXSIXSIX, composée de 666 autoportraits en Polaroïd, encore jamais montrée dans sa totalité. L’image est-elle un coup d’oeil arrêté ? La première partie de l’exposition aborde la photographie comme collecte de fragments visuels de la réalité avec le travail de Guy Tillim (Afrique du Sud) à Harrare, Luanda ou Nairobi ou encore celui de Jo Ractliffe (Afrique du Sud) qui porte son attention sur des anciens territoires militarisés aux frontières de l’Afrique du Sud avec le Botswana et la Namibie. José Luis Cuevas (Mexique) relie la fragilité de l’homme à celle de son environnement dans un Japon post-Fukushima. Daniela Edburg (Mexique) quant à elle, place ses créations dans le paysage islandais et les transforme en fragments de nature, mettant ainsi en avant le paysage comme construction humaine. Se reconnaître dans une image Cette section s’articule autour de l’oeuvre phare de Santu Mofokeng (Afrique du Sud), The black photo / Look at me, constituée d’un diaporama qui reproduit des photographies historiques de la bourgeoisie noire sud-africaine du début du 20e siècle. La question de l’identification aux images se retrouve dans l’oeuvre African Spirits de Samuel Fosso (Cameroun) et l’installation Editor Solitario d’Oscar Muñoz (Colombie). Les images se pensent entre elles L’exposition explore également la notion de montage et d’installations d’images en mouvement avec les travaux de Katia Kameli (France), et plusieurs installations de grande taille comme Horizon de Brook Andrew (Australie), et Crossing the farther shore de Dinh Q. Lê (Vietnam) ou encore les « musées » de Dayanita Singh (Inde). Rosângela Rennó (Brésil) associe des images de manifestations et y isole des portraits extraits de la foule. Histoires des paysages Une quatrième section convie plusieurs artistes qui pratiquent des enquêtes approfondies : Sammy Baloji (République démocratique du Congo), Mario García Torrès (Mexique), Heba Y. Amin (Égypte), Dinh Q. Lê (Vietnam) ou encore les recompositions imaginaires de Gosette Lumbodo (République démocratique du Congo). Chacun explore à sa façon la question territoriale et la notion d’appropriation qui lui est associée. Passages dans le temps La dernière section de l’exposition évoque différentes temporalités décalées : Yoshua Okón (Mexique) propose une relecture ironique de la performance de Joseph Beuys I like America and America likes me (1974). Alexander Apóstol questionne la modernité tropicale du Venezuela des années 50. L’oeuvre Paso del Quidio I de José Alejandro Restrepo (Colombie) revisite la succession de plusieurs voyages à travers un passage montagneux exploré au 19e siècle par Alexander Von Humboldt, puis par l’artiste dans les années 1990. Photo : © Gosette Lubondo Dates30 Juin 2020 10 h 30 min - 1 Novembre 2020 19 h 00 min(GMT+00:00) LieuMusée du Quai Branly37 Quai Branly, 75007 ParisOther Events Musée du Quai Branly37 Quai Branly, 75007 ParisDu mardi au samedi et dimanche de 10h30 - 19h00, nocturne le Jeudi jusqu'à 22h00 Musée du Quai Branly Get Directions CalendrierGoogleCal Musée du Quai Branly37 Quai Branly, 75007 Paris mar30jui(jui 30)10 h 30 mindim11oct(oct 11)19 h 00 minLes curiosités du monde de Françoise HuguierMusée du Quai Branly, 37 Quai Branly, 75007 Paris Détail de l'événementDepuis une quarantaine d’années, Françoise Huguier est une rapporteuse d’images reconnue. Des images capturées dans les coulisses des défilés de mode, dans les bagages d’un reportage au Japon, dans les Détail de l'événement Depuis une quarantaine d’années, Françoise Huguier est une rapporteuse d’images reconnue. Des images capturées dans les coulisses des défilés de mode, dans les bagages d’un reportage au Japon, dans les limbes de l’Afrique fantôme, dans les soutes de la Sibérie, dans les arrière-boutiques de la société coréenne. Ce que l’on sait moins c’est qu’elle est aussi une insatiable glaneuse d’objets, la plupart ramenés de ses tribulations, dont la collection transforme sa maison en un gigantesque cabinet de curiosités. Rendez-vous insolite et inédit, l’exposition Les curiosités du monde de Françoise Huguier invite à se laisser surprendre par la découverte de son univers, une incroyable collection d’objets bigarrés, des plus mystérieux aux plus étrangements familiers. « Les objets, source d’inspiration pour mes images, sont conserves chez moi comme un carnet de voyage. Prendre une photo est d’abord un concept immatériel, je vois, je shoote. Alors d’avec un objet en volume, je m’approprie d’emblée une histoire qui ne m’appartient pas. […] Ce cabinet de curiosités rassemblant mes objets et mes photos, est à la fois mon microcosme et ma manière de pénétrer les secrets intimes du Monde, la rencontre du réel des objets et du virtuel des images, l’incarnation d’une culture et d’un art populaire. Je ne suis pas une collectionneuse, plutôt une ramasseuse, au gré de mes inspirations. » Françoise Huguier Des tableaux, des bijoux, des bibelots, des affiches de cinéma, des vêtements, des fanzines, de la vaisselle, des masques, des livres, des poupées, des tapis, des coquillages…Autant d’objets, qui, grands ou petits, spectaculaires ou discrets, prennent tout leur sens lorsque Françoise Huguier raconte leur histoire. « Ça c’est une étoile rouge en tôle que j’ai trouvée sur une tombe dans un goulag de Sibérie. » et ça ? « Une poupée vaudou que je suis la seule à pouvoir toucher. Sinon gaffe à la malédiction ! » Et ça ? « Une théière que j’ai achetée à un jeune Touareg à Tombouctou ». (…) Dates30 Juin 2020 10 h 30 min - 11 Octobre 2020 19 h 00 min(GMT+00:00) LieuMusée du Quai Branly37 Quai Branly, 75007 ParisOther Events Musée du Quai Branly37 Quai Branly, 75007 ParisDu mardi au samedi et dimanche de 10h30 - 19h00, nocturne le Jeudi jusqu'à 22h00 Musée du Quai Branly Get Directions CalendrierGoogleCal http://www.quaibranly.fr/ Marque-page0
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