Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 mars 2025
Interview Clothilde Morette, directrice artistique de la MEP : « Remettre au centre de l’histoire de l’art et de la photographie certains artistes invisibilisés » 3 jours ago
Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 mars 2025
Le bruissement entre les murs de Clara Chichin et Sabatina Leccia par Céline Pévrier (sun/sun éditions) 1 jour ago
Cyrielle Lévêque. Les Joueurs par les éditrices Soraya Hocine & Sandy Berthomieu (Éditions de l’Épair) 6 jours ago
Eva Diallo. Bolol aux éditions Cécile Fakhoury par l’éditrice Véronique Prugnaud (The Eyes) 5 mars 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 5) 4 mars 2025
Nouvelle Saison au Palais de Tokyo : Radioscopie de la joie collective, Raphaël Barontini… 11 heures ago
Un nouveau chapitre pour le Centre d’Art Contemporain, Genève : Interview Andrea Bellini, directeur 2 jours ago
Partager Partager L'Invité·ePhoto Georges Rousse, photographe, est notre invité de la semaine La Rédaction13 avril 2020 Temps de lecture estimé : 5minsCette semaine nous recevons le photographe Georges Rousse. Plus qu’un photographe, il est également peintre, sculpteur et architecte… Pour ce printemps 2020, son actualité était riche, il devait être l’invité d’honneur du festival Émoi Photographique d’Angoulême qui, face à la crise sanitaire a reporté son édition à l’année prochaine. Son exposition à Berlin a fermé ses portes et celle à venir à Clermont-Ferrand ne pourra être inaugurée le 17 avril… Cette semaine, sera l’occasion d’en apprendre plus sur ce virtuose de l’anamorphose. Georges Rousse est né le 28 Juillet 1947 à Paris Passionné par la photographie, depuis qu’il a reçu pour ses 9 ans le fameux Brownie Flash, Georges Rousse décide de se consacrer entièrement à ce médium au lieu de poursuivre ses études de médecine. Il délaisse alors la faculté pour apprend les techniques de prise de vue et de tirage chez un professionnel réputé de Nice. Puis il crée dans la même ville son propre studio de photographie d’architecture tout en conservant une pratique personnelle sur la trace des grands maîtres américains avec une prédilection pour les paysages naturels et les architectures urbaines. Mais c’est au début des années 80, alors qu’il s’est installé à Paris en famille, qu’il va trouver sa propre voie avec la découverte, à Beaubourg, du Land Art et du Carré blanc sur fond blanc de Malevitch. Il décide alors d’intervenir picturalement dans le champ photographique de lieux en déshérence et crée cette relation inédite de la peinture à l’Espace architectural qui caractérise son œuvre. Il investit les lieux abandonnés de la banlieue parisienne pour les transformer en une œuvre d’art, éphémère, unique, que seule la photographie restitue. Cette image finale se matérialise au moment unique où l’artiste déclenche l’obturateur de l’appareil. La prise de vue matérialise son dessin. Artiste inclassable, Georges Rousse est incontestablement un «photographe» par la qualité intrinsèque de ses images dont il assure lui-même la prise de vue, le cadrage, la lumière, qui révèlent « l’œil du photographe ». Mais il est aussi, tour à tour ou en même temps peintre, sculpteur, architecte dans la même relation avec les espaces réels qu’un peintre avec la toile, un sculpteur avec la matière, ou un architecte face à ses croquis. Véritable globe-trotter il est intervenu dans le monde entier. Chaque ville, chaque pays est pour lui une occasion de se renouveler en se confrontant à de nouvelles architectures. Sa vision de l’espace, sa proposition de lecture des architectures, aussi bien les plus modestes que les plus prestigieuses lui ont permis de constituer une œuvre unanimement reconnue. Depuis sa première exposition à Paris en 1981, Georges Rousse n’a cessé d’exposer et d’intervenir dans le monde entier, Europe, Asie, États – Unis, Québec, Amérique Latine… et a reçu plusieurs prix prestigieux : 1983 : Villa Médicis « hors les murs » à New York 1985-1987 : Villa Médicis, Rome 1988: Prix ICP (International Center of Photography), New York 1992 : Prix de Dessin du salon de Montrouge 1992 : Bourse Romain Rolland Calcutta 1993 : Grand Prix National de la Photographie 2008 : il succède à Sol Lewitt comme Membre associé de l’Académie Royale de Belgique Il a exposé dans les plus grandes institutions et manifestations d’art dont le Musée national d’Art Moderne de Paris, les Rencontres Internationales de la Photographie d’Arles , la Biennale de Venise, le Fotofest de Houston, les musées d’art contemporain de Barcelone, de Séoul, de Santiago du Chili, de Lausanne , au MOPA de San Diego… les Musée des beaux- arts de Chambéry, de Calais, de Nantes, de Nice , le Château de Chambord… https://www.georgesrousse.com/ Portrait chinois de Georges Rousse Si j’étais une œuvre d’art : Le Carré noir sur fond blanc. Si j’étais un musée ou une galerie : Saint-Louis-des-Français à Rome Si j’étais un (autre) artiste (tous domaines confondus): Malevitch Si j’étais un livre : Mes propriétés, H. Michaux Si j’étais un film : Classe tous risques, Claude Sautet Si j’étais un morceau de musique : le clavier bien tempéré, Bach Si j’étais une photo accrochée sur un mur : Équivalent de Stieglitz Si j’étais une citation : Rapides d’ A. Du Bouchet « … pierre, neige. eau. si vous êtes des mots parlez… » Si j’étais un sentiment : Fidélité Si j’étais un objet : Un Leica Si j’étais une expo : Malevitch, centre Pompidou 1978 Si j’étais un lieu d’inspiration : Le théâtre antique de Ségeste Si j’étais un breuvage : Jus de kiwi Si j’étais un héros/héroïne : Tenzing Norgay Si j’étais un vêtement : Yukata. Retrouvez les cartes blanches de notre invité > Carte blanche à Georges Rousse : Géométrique / Figuratif (le mardi 14 avril 2020) > Carte blanche à Georges Rousse : Le Voyage (le mercredi 15 avril 2020) > Carte blanche à Georges Rousse : Photo Noir & Blanc / Photo Couleur (le jeudi 16 avril 2020) > Carte blanche à Georges Rousse : Mon Atelier, les lieux désertés (le vendredi 17 avril 2020) sam10jul(jul 10)10 h 00 mindim15aou(aou 15)18 h 00 minL’Emoi Photographique 2021Détournements OrganisateurL'Emoi Photographique Détail de l'événementL’Emoi Photographique est un festival se déroulant à Angoulême et sa grande agglomération en Charente, 2021 est sa huitième édition. Il veut donner à voir par l’intermédiaire de l’exposition un Détail de l'événement L’Emoi Photographique est un festival se déroulant à Angoulême et sa grande agglomération en Charente, 2021 est sa huitième édition. Il veut donner à voir par l’intermédiaire de l’exposition un panorama large de la pratique photographique, pour cette raison : * Les photographes sont issus d’un appel à candidature. * au moins l’un des travaux exposés aura été réalisé à partir d’un procédé ancien afin de faire découvrir au public des pratiques alternatives et ce qu’elles permettent. * chaque année, les organisateurs invitent jusqu’à cinq photographes d’un dont au moins est local et un autre africain, car pour l’association éponyme organisatrice de l’événement, d’une part « Le Festival offre une vitrine aux photographes africains, une ouverture et un échange, et d’autre part, l’Afrique est le lien fédérateur des membres de l’association. ». Thème, Exposants … Le thème de cette année est « Détournements» il est décliné en 22 expositions qui se partagent 12 lieux du 10 juillet au 15 août 2021. * Un invité : Georges Rousse : sa vision personnelle du monde grâce à la photographie et à l’anamorphose sera exposée au Musée d’Angoulême. * Vingt et un photographes retenus par les organisateurs suite aux travaux fournis lors de l’appel à candidature. * Un partenariat avec le centre LGBT-Adhéos où seront exposés les travaux de Gérard Chauvin et de Daniel Nassoy. Photo : © Georges Rousse Dates10 Juillet 2021 10 h 00 min - 15 Août 2021 18 h 00 min(GMT-11:00) OrganisateurL'Emoi PhotographiqueLearn More CalendrierGoogleCal Marque-page2
L'Invité·e Carte blanche à Valérie-Anne Giscard d’Estaing : Photographie et matérialité Pour sa troisième carte blanche, notre invitée de la semaine, la fondatrice et directrice de la Galerie XII, Valérie-Anne Giscard d’Estaing partage avec nous ...
Evénements Regard intime. Arlene Gottfried au CRP/ de Douchy-les-Mines Le Centre régional de la photographie des Hauts-de-France, à Douchy-Les-Mines, accueille la rétrospective de la photographe américaine Arlene Gottfried (1950-2017), en partenariat ...
L'Edition Le bruissement entre les murs de Clara Chichin et Sabatina Leccia par Céline Pévrier (sun/sun éditions) Tout au long du mois de mars, à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, nous partagerons avec vous une ...
Le bruissement entre les murs de Clara Chichin et Sabatina Leccia par Céline Pévrier (sun/sun éditions)
Cyrielle Lévêque. Les Joueurs par les éditrices Soraya Hocine & Sandy Berthomieu (Éditions de l’Épair)
Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 mars 2025
Interview Clothilde Morette, directrice artistique de la MEP : « Remettre au centre de l’histoire de l’art et de la photographie certains artistes invisibilisés » 3 jours ago
Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 mars 2025
Le bruissement entre les murs de Clara Chichin et Sabatina Leccia par Céline Pévrier (sun/sun éditions) 1 jour ago
Cyrielle Lévêque. Les Joueurs par les éditrices Soraya Hocine & Sandy Berthomieu (Éditions de l’Épair) 6 jours ago
Eva Diallo. Bolol aux éditions Cécile Fakhoury par l’éditrice Véronique Prugnaud (The Eyes) 5 mars 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 5) 4 mars 2025
Nouvelle Saison au Palais de Tokyo : Radioscopie de la joie collective, Raphaël Barontini… 11 heures ago
Un nouveau chapitre pour le Centre d’Art Contemporain, Genève : Interview Andrea Bellini, directeur 2 jours ago