Festival Circulation(s) #15 : Entretien avec Clara Chalou, direction artistique, collectif Fetart 8 avril 2025
Sensibilités partagées à la Galerie Echo 119. Rencontre avec Salomé d’Ornano et Kinuko Asano 7 avril 2025
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) 26 mars 2025
Masterclass Oeildeep : « Syncopée Méditerranée / Marseille », une série de Pierryl Peytavi 4 avril 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 6) 31 mars 2025
Art Brut d’Iran à la Halle Saint Pierre, entre traditions millénaires et cosmogonies contemporaines 5 jours ago
Entretien avec Nele Verhaeren, Art Brussels, 41e édition : Un programme artistique très exigeant ! 8 avril 2025
Partager Partager EvénementsL'InterviewPhoto Rencontre avec Marzio Emilio Villa autour de son exposition « La Marée de la mémoire » Ericka Weidmann16 octobre 2019 Jusqu’au 27 octobre, l’espace photographique du Leica Store de Paris présente l’exposition « La Marée de la mémoire », du photographe italien d’origine brésilienne Marzio Emilio Villa. Cette série introspective vient déterrer les souvenirs du réel et de l’imaginaire autour de l’histoire personnelle du photographe sur son adoption. Entre reportage et documentaire fiction, Marzio Emilio Villa partage avec douceur et sensibilité sa recherche identitaire. Notre critique Pascal Therme a rencontré le photographe. <span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span> La « Marée de la mémoire » a été réalisée sur une période de quatre ans. Marzio Emilio Villa a souhaité revenir sur son histoire, celle de son adoption. Il met en parallèle trois territoires : La France tout d’abord, où il vit, l’Italie, le pays qui l’a vu grandir auprès de ses parents adoptifs et le Brésil, son pays de naissance. En Italie, il retrace ses liens familiaux et ses souvenirs d’enfance; au Brésil, il a dû imaginer les souvenirs de ses parents, puisque sa mémoire brumeuse ne lui restitue aucune trace de ces trois mois de vie passés dans son pays d’origine. « Je suis spectateur de ma vie. J’ai commencé à photographier ma famille, puisque je n’ai aucun souvenir de ma vie avant l’adoption. Je me suis donc toujours un peu spectateur et faire ce travail m’a beaucoup aidé. Et voir sa vie ainsi sur un mur, c’est émouvant… » Marzio Emilio Villa a étudié l’art contemporain à l’Accademia de Brera de Milan. Il a toujours été plus proche de la peinture que de la photographie, mais s’il a choisi ce médium pour réaliser ses projets, c’est qu’il était important de créer à partir du réel. Habituellement traité en noir et blanc, ce sujet prend vie en couleur, bien que désaturée, pour toucher au plus près la vision de ses souvenirs… L’exposition se termine avec un portrait de son frère et son enfant. Cette image opère la liaison avec son futur travail photographique. Ils ont tous deux été adoptés par leur famille, alors que Marzio avait 3 mois, et son frère 5 ans. Deux âges qui ont engendré des différences d’approche de leur l’adoption. Marzio souhaite avoir des enfants, mais il souhaite adopter pour continuer cette histoire, à l’inverse son frère ne souhaite pas adopter. C’est ainsi que le photographe a décidé de poursuivre ce travail, après avoir exploré ses racines et son identité, et révélé celles de son frère. « La Marée de la mémoire » avait été présentée cette année dans le cadre du festival Voies Off, et c’est la première fois que cette série est exposée à Paris. https://www.marzioemiliovilla.com INFOS PRATIQUES : Espace Photographique du Leica Store105 - 109 rue du Faubourg Saint-Honoré 75008 Paris jeu19sep(sep 19)10 h 00 minsam02nov(nov 2)19 h 00 minLa Marée de la MémoireMarzio Emilio VillaEspace Photographique du Leica Store, 105 - 109 rue du Faubourg Saint-Honoré 75008 Paris Détail de l'événementMarzio Emilio Villa jeune photographe italien, est retourné sur les traces de son adoption au Brésil pendant 4 ans. Le travail exposé à Arles au festival Voies OFF 2019 est Détail de l'événement Marzio Emilio Villa jeune photographe italien, est retourné sur les traces de son adoption au Brésil pendant 4 ans. Le travail exposé à Arles au festival Voies OFF 2019 est montré pour la première fois à Paris. Ce voyage photographique entre le Brésil et l’Italie est une exploration géographique et humaine dans les brumes de la mémoire. La série construite autour du paysage et du portrait, constitue une fresque picturale tout en clair-obscur, empreinte de mélancolie. Marzio Emilio Villa a étudié aux Beaux-Arts de Milan. Il est membre d’Hans Lucas Studio depuis 2017 et est représenté par Myriam Bouagal Galerie (Paris) et Heillandi Gallery (Lugano). Il vit aujourd’hui à Paris. Dates19 Septembre 2019 10 h 00 min - 2 Novembre 2019 19 h 00 min(GMT+00:00) LieuEspace Photographique du Leica Store105 - 109 rue du Faubourg Saint-Honoré 75008 ParisOther Events Espace Photographique du Leica Store105 - 109 rue du Faubourg Saint-Honoré 75008 ParisOuvert du lundi au samedi de 10h à 19h et le dimanche de 10h à 13h et de 14h à 17h30 Espace Photographique du Leica Store Get Directions CalendrierGoogleCal Marque-page0
Photo Masterclass Oeildeep : « Lunaria », une série de Blandine Vives Cette semaine nous poursuivons la restitution de la Masterclass Oeildeep qui s’est achevée en décembre 2024 sous l’égide de Raphaële Bertho, Bruno ...
Interview Art Contemporain Art Brut d’Iran à la Halle Saint Pierre, entre traditions millénaires et cosmogonies contemporaines La nouvelle exposition de la Halle Saint Pierre se penche sur le phénomène de l’art brut iranien sur la scène internationale à ...
Interview Art Contemporain Interview Muriel Enjalran, Frac Sud – Cité de l’art contemporain Rencontre avec Muriel Enjalran à l’occasion des expositions d’Eléonore False « Le Fil de chaîne » et du récit de collection « ...
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
Festival Circulation(s) #15 : Entretien avec Clara Chalou, direction artistique, collectif Fetart 8 avril 2025
Sensibilités partagées à la Galerie Echo 119. Rencontre avec Salomé d’Ornano et Kinuko Asano 7 avril 2025
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) 26 mars 2025
Masterclass Oeildeep : « Syncopée Méditerranée / Marseille », une série de Pierryl Peytavi 4 avril 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 6) 31 mars 2025
Art Brut d’Iran à la Halle Saint Pierre, entre traditions millénaires et cosmogonies contemporaines 5 jours ago
Entretien avec Nele Verhaeren, Art Brussels, 41e édition : Un programme artistique très exigeant ! 8 avril 2025