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Partager Partager L'Invité·ePhoto Carte blanche à Irène Jonas : La photographie colorisée (2)Rendre le passé présent(able) La Rédaction5 juin 2019 Temps de lecture estimé : 2minsPour sa seconde carte blanche, notre invitée de la semaine, la photographe et sociologue Irène Jonas partage avec nous un deuxième volet sur la photographie colorisée. Ce texte nous guide sur les raisons de l’utilisation de la couleur en photographie. Les premières utilisations de la colorisation photographique remontent au milieu du XIXe siècle soit pour accroître le réalisme de la photographie soit à des fins artistiques Au XXIe siècle la mode est à la colorisation de vielles photographies d’archives noir et blanc. Marina Amaral, Joachim West, Olga Chirnina, Sanna Dullaway, Mads Madsen, Tom Marshall et de nombreux internautes comme Klimbims (Flickr) ou Brinkman87 utilisateur de Reddit (#colorizesHistory) disent redonner vie aux photographies historiques en noir et blanc tombées dans le domaine public. Ces anciennes/nouvelles images nous permettraient ainsi de découvrir à quoi ressemblaient Abraham Lincoln, Charlie Chaplin, les Romanov, les enfants au travail, ou encore les soldats de la guerre de 14-18… en couleurs. Alors pourquoi cette mise en couleur ? Ces coloristeurs et colorisatrices avancent plusieurs arguments : donner l’illusion d’une histoire récente, offrir la possibilité de s’identifier plus facilement aux personnes et ainsi les comprendre et les voir comme des « êtres humains ». En un mot faire un pont entre le passé et le présent puis créer de l’empathie chez ceux qui regardent ces photographies. Mais comme le souligne Georges Didi-Huberman au sujet de la colorisation du film Apocalypse : « Coloriser, technique vieille comme le monde, n’est rien d’autre que maquiller : plaquer une certaine couleur sur un support qui en était dépourvu. C’est ajouter du visible sur du visible. C’est, donc, cacher quelque chose, comme tout produit de beauté, de la surface désormais modifiée. Ainsi rend-on invisibles les réels signes du temps sur le visage – ou les images – de l’histoire ». Le mensonge ne consisterait-il pas alors non pas d’avoir traité les images mais de prétendre qu’on nous offrait là un visage nu, véritable, quand c’est un visage maquillé, «bluffant», que l’on nous a servis ? Marque-page2
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