Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 jours ago
Interview Clothilde Morette, directrice artistique de la MEP : « Remettre au centre de l’histoire de l’art et de la photographie certains artistes invisibilisés » 2 jours ago
Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 jours ago
Le bruissement entre les murs de Clara Chichin et Sabatina Leccia par Céline Pévrier (sun/sun éditions) 57 minutes ago
Cyrielle Lévêque. Les Joueurs par les éditrices Soraya Hocine & Sandy Berthomieu (Éditions de l’Épair) 5 jours ago
Eva Diallo. Bolol aux éditions Cécile Fakhoury par l’éditrice Véronique Prugnaud (The Eyes) 1 semaine ago
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 5) 4 mars 2025
Un nouveau chapitre pour le Centre d’Art Contemporain, Genève : Interview Andrea Bellini, directeur 1 jour ago
Partager Partager L'InterviewOtherSidePhoto Rencontre avec Frank Lamy, commissaire de l’exposition Lignes de Vie au MAC VAL Ericka Weidmann3 juin 2019 Temps de lecture estimé : 4minsC’est une ‘exposition de légende’ que nous propose de découvrir le MAC VAL jusqu’à la fin de l’été. « Lignes de Vie » rassemble plus de 80 artistes internationaux dans la lignée d’une programmation qui questionne les modalités et instances de construction de l’identité. Cette fois-ci, Frank Lamy, commissaire, a souhaité se tourner vers des territoires plus intimes et personnels et c’est avec notre critique Pascal Therme qu’il nous guide au sein de cette exposition. <span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span><span data-mce-type= »bookmark » style= »display: inline-block; width: 0px; overflow: hidden; line-height: 0; » class= »mce_SELRES_start »></span> Ce sont 80 artistes de générations et de pratiques différentes, allant de la photographie à la vidéo, en passant par la peinture, l’installation, la performance ou encore l’écriture qui se réunissent pour déconstruire, analyser, critiquer ou tout simplement interroger les phénomènes et les processus qui façonnent et légitiment l’identité ou les identités. Loin d’un geste narcissique ou autocentré, à travers elles les artistes reconstruisent et proposent, plus que de nouvelles identités, des identités choisies. « Les oeuvres (au masculin comme au féminin) réuni-e-s dans l’exposition, font de l’autobiographie et de la biographie une matière première, plastique, générant une réflexion autour des identités, de la mise en scène et de la construction de soi. Il s’agit d’interroger les relations entre l’art et la vie, et à terme, de questionner l’effectivité de l’art, son inscription dans le réel, au travers de postures artistiques diverses qui, toutes, mettent en oeuvre (entre illustration et activation) la dissolution de cette supposée frontière. Considérant que l’identité est une fiction qui se performe, un récit multiple et fragmenté, se raconter, faire de sa biographie – de sa geste – une matière première est donc un acte de déconstruction, d’affirmation, d’ « empuissancement », de révolution moléculaire. Un geste politique de reprise en main de la narration de sa propre légende. Le Sujet, le capitalisme, l’autoportrait se développent historiquement en parallèle et constituent autant d’éléments d’un système de domination et de contrôle global. Déconstruire l’autoportrait, la représentation de soi, participe peut-être d’une entreprise de lutte généralisée. Écrire (quels que soient les moyens choisis de cette écriture) son autobiographie revient très certainement, et par essence, à écrire sa propre vie, à l’inventer. Autoportraits, journaux intimes, mémoires, cartographies émotionnelles, bio art et modifications corporelles, art d’attitude, autofictions, mise en scène de soi, infiltration des systèmes de représentation (T.V., cinéma, YouTube, Facebook, littérature…) et de légitimation (auteur, état civil…) autant de fictions multiples mises en actes par les artistes, autant d’outils. Cette réflexion s’inscrit dans une mise en perspective critique du narcissisme et de l’exhibitionnisme contemporain, mais également la promesse de réalisation de soi par la consommation exaltée par les forces marketing. Il s’agit ici non pas tant de se représenter que de se construire, de s’inventer, de choisir, de refuser les assignations. Quelle place laisser à la famille, à l’Histoire, à la transmission, à l’héritage ? Au nom propre ? Aux relations avec le vivant, avec le cosmos ? Qu’est-ce qu’une vie ? Un événement ? Quid de la destinée? Quels rôles performer ? Quels masques adopter ? Comment faire avec les autres, le genre, l’économie, le souvenir, le temps qui passe, les identités fluides, multiples, mouvantes, le morcellement, le travestissement, l’hybridation, la mise en scène, les masques, les personnages… ? » – Frank Lamy INFORMATIONS PRATIQUES MAC VAL Musée d’art contemporain du Val-de-MarnePlace de la Libération 94400 Vitry-sur-Seine sam30mar(mar 30)10 h 00 mindim25aou(aou 25)18 h 00 minLignes de viesUne exposition de légendesMAC VAL Musée d’art contemporain du Val-de-Marne, Place de la Libération 94400 Vitry-sur-Seine Détail de l'événementConcevoir sa biographie comme force créatrice est le vecteur commun aux quatre-vingt artistes internationaux invités dans la prochaine exposition temporaire du MAC VAL. Sous l’intitulé « Lignes de vies – Détail de l'événement Concevoir sa biographie comme force créatrice est le vecteur commun aux quatre-vingt artistes internationaux invités dans la prochaine exposition temporaire du MAC VAL. Sous l’intitulé « Lignes de vies – une exposition de légendes », du 30 mars au 25 août 2019, le nouveau temps fort du musée d’art contemporain du Val-de-Marne réunit les gestes d’artistes de générations et de pratiques différentes, allant de la photographie à la vidéo, en passant par la peinture, l’installation, la performance ou encore l’écriture. Il s’inscrit dans une ligne de programmation qui, depuis l’ouverture du musée en 2005, s’attache à questionner les modalités et instances de construction de l’identité, ou plus précisément, des identités. Avec les expositions « Détours » de Jacques Monory (2005) et « Le Grand Sommeil » de Claude Levêque (2006), le MAC VAL pose la question de la construction des identités. Avec le cycle « Zones de Productivités Concertées » (2006 – 2007) ou encore l’exposition collective « Emporte-moi / Sweep me off my feet » (2009 – 2010), il a été ensuite question d’analyser la place de l’économie ou de l’émotion dans nos existences ; puis, encore le genre (et plus précisément la masculinité) avec « Chercher le garçon » (2015) et l’idée même d’identité culturelle dans « Tous, des sang-mêlés » (2017). Toutes les oeuvres données à voir dans le vaste espace d’exposition déconstruisent, analysent, critiquent ou interrogent les phénomènes et les processus qui façonnent et légitiment l’identité/les identités. Loin d’un geste narcissique ou autocentré, à travers elles les artistes reconstruisent et proposent, plus que de nouvelles identités, des identités choisies. Texte de Frank Lamy, commissaire de l’exposition, chargé des expositions temporaires du MAC VAL Avec les oeuvres de Soufiane Ababri, Paul Auster, Art Orienté Objet, Joël Bartoloméo, Pauline Bastard, Taysir Batniji, Sadie Benning, Karina Bisch, Christian Boltanski, Daniel Bosser, Édouard Boyer, Candice Breitz, Genesis Breyer P-Orridge, David Brognon & Stéphanie Rollin, Jean Brolly, Elina Brotherus, Émilie Brout & Maxime Marion, Sophie Calle, Philippe Cazal, Ludovic Chemarin ©, Leo Chiachio & Daniel Giannone, Claude Closky, Steven Cohen, Béatrice Cussol, Sépànd Danesh, Edi Dubien, Elsa & Johanna, Raphaël Fabre, Simon Faithfull, Esther Ferrer, Jakob Gautel, GRAND MAGASIN, Joseph Grigely, Joël Hubaut, Ilanit Illouz, Princia Itoua, Janez Janša, Lydie Jean-Dit-Pannel, Michel Journiac, Paul Kindersley, Arnaud Labelle-Rojoux, Matthieu Laurette, Leigh Ledare, Édouard Levé, Claude Lévêque, Ariane Loze, Kristin Lucas, MADEleINe ERIC, Roberta Marrero, Annette Messager, Aleksandra Mir, Pierre Moignard, Jacques Monory, Tania Mouraud, Valérie Mrejen, Zanele Muholi, Antoinette Ohannessian, ORLAN, Cécile Paris, Philippe Perrin, Grayson Perry, Françoise Pétrovitch, Abraham Poincheval, Laurent Prexl, Prinz Gholam, Hubert Renard, Santiago Reyes, Colin Roche, Damien Rouxel, Sandro, Jim Shaw, SMITH, Tsuneko Taniuchi, Philippe Thomas, Tatiana Trouvé, Unglee, Hélèna Villovitch…. Photo : Michel Journiac, La Bourgeoise au musée, 1994. Tirage argentique sur papier, 23,8 x 17,8 cm. Photo © Eric Lamouroux, Galerie Christophe Gaillard, Paris. © Adagp, Paris 2019. DatesMars 30 (Samedi) 10 h 00 min - Août 25 (Dimanche) 18 h 00 min(GMT+00:00) LieuMAC VAL Musée d’art contemporain du Val-de-MarnePlace de la Libération 94400 Vitry-sur-Seine MAC VAL Musée d’art contemporain du Val-de-MarnePlace de la Libération 94400 Vitry-sur-SeineOuvert de 10h à 18h du mardi au vendredi et de 12h à 19h le samedi et dimanche Get Directions CalendrierGoogleCal Marque-page0
Evénements Regard intime. Arlene Gottfried au CRP/ de Douchy-les-Mines Le Centre régional de la photographie des Hauts-de-France, à Douchy-Les-Mines, accueille la rétrospective de la photographe américaine Arlene Gottfried (1950-2017), en partenariat ...
L'Edition Le bruissement entre les murs de Clara Chichin et Sabatina Leccia par Céline Pévrier (sun/sun éditions) Tout au long du mois de mars, à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, nous partagerons avec vous une ...
Interview Art Contemporain Interview Zoë Gray, Bozar Bruxelles : Berlinde De Bruyckere, “When We See Us” Directrice des expositions à Bozar depuis septembre 2023, Zoë Gray avec les expositions Khorós de l’artiste flamande Berlinde De Bruyckere et When ...
L'Interview Interview Clothilde Morette, directrice artistique de la MEP : « Remettre au centre de l’histoire de l’art et de la photographie certains artistes invisibilisés »
Evénements Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture !
Le bruissement entre les murs de Clara Chichin et Sabatina Leccia par Céline Pévrier (sun/sun éditions)
Cyrielle Lévêque. Les Joueurs par les éditrices Soraya Hocine & Sandy Berthomieu (Éditions de l’Épair)
Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 jours ago
Interview Clothilde Morette, directrice artistique de la MEP : « Remettre au centre de l’histoire de l’art et de la photographie certains artistes invisibilisés » 2 jours ago
Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 jours ago
Le bruissement entre les murs de Clara Chichin et Sabatina Leccia par Céline Pévrier (sun/sun éditions) 57 minutes ago
Cyrielle Lévêque. Les Joueurs par les éditrices Soraya Hocine & Sandy Berthomieu (Éditions de l’Épair) 5 jours ago
Eva Diallo. Bolol aux éditions Cécile Fakhoury par l’éditrice Véronique Prugnaud (The Eyes) 1 semaine ago
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 5) 4 mars 2025
Un nouveau chapitre pour le Centre d’Art Contemporain, Genève : Interview Andrea Bellini, directeur 1 jour ago
Le bruissement entre les murs de Clara Chichin et Sabatina Leccia par Céline Pévrier (sun/sun éditions)