Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 jours ago
Interview Clothilde Morette, directrice artistique de la MEP : « Remettre au centre de l’histoire de l’art et de la photographie certains artistes invisibilisés » 2 jours ago
Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 jours ago
Le bruissement entre les murs de Clara Chichin et Sabatina Leccia par Céline Pévrier (sun/sun éditions) 47 minutes ago
Cyrielle Lévêque. Les Joueurs par les éditrices Soraya Hocine & Sandy Berthomieu (Éditions de l’Épair) 5 jours ago
Eva Diallo. Bolol aux éditions Cécile Fakhoury par l’éditrice Véronique Prugnaud (The Eyes) 1 semaine ago
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 5) 4 mars 2025
Un nouveau chapitre pour le Centre d’Art Contemporain, Genève : Interview Andrea Bellini, directeur 1 jour ago
Partager Partager L'InterviewPhoto 7ème édition du Festival L’Oeil Urbain, cap sur le Royaume Uni ! Ericka Weidmann24 avril 2019 Temps de lecture estimé : 3minsLa ville de Corbeil-Essonne accueille depuis le 5 avril dernier la 7ème édition du Festival L’Oeil Urbain. Cette nouvelle édition, qui célèbre son âge de raison, rassemble 8 photographes autour d’une thématique spéciale sur le Royaume Uni. Alors que nous recevons cette semaine Nous partageons avec vous un petit aperçu de la programmation dirigée par Lionel Antoni visible jusqu’au 19 mai. L’Œil Urbain est un festival qui vise à explorer des thématiques liées aux nouvelles réalités urbaines. Pour cette édition 2019 – alors que l’actualité européenne est tournée vers le Brexit – la manifestation francilienne a mis le Royaume Uni au cœur de sa programmation. Huit photographes ont été sélectionnés pour dresser le portrait de nos voisins britanniques des années 80 à nos jours : des anarchistes au conflit de l’Irlande du Nord en passant par la culture footballistique de Liverpool, on voyage au cœur du territoire et à travers les quarante dernières décennies. Nous regretterons cependant qu’aucune femme photographe n’ait été choisie. Un travail comme celui de Geraldine Lay, présentée actuellement au Leica Store de Paris, aurait par exemple, parfaitement trouvé sa place ici… Le photographe Stéphane Duroy, que l’on retrouve également à la galerie Vu en ce moment, investit la Commanderie Saint-Jean avec la série « Distress », un travail au long court qui décrit la situation des laissés pour compte de l’époque thatchériste. Yan Morvan nous plonge dans le Londres de la fin des années 70 et le tout début des années 80, le mouvement punk et la famille royale hurlent leur clash sur des tirages cibachrome spécialement réalisés à l’occasion du festival. Matt Stuart nous livre la capitale anglaise à travers des clichés réalisés ses 20 dernières années dans la plus grande tradition de street photography. On ne pouvait pas parler du Royaume Uni sans explorer le conflit qui déchire l’irlande du Nord. Le travail de Gilles Favier est le fruit de presque quarante ans de photographies, il tisse la toile de fond de l’histoire démarrant à la mort de Bobby Sands jusqu’à la veille du Brexit. Le Royaume Uni est également l’eldorado des réfugiés, et c’est avec son exposition « Le rêve anglais », qu’Olivier Jobard retrace l’odyssée homérique d’une famille de réfugiés de 1999 à nos jours : de Bucarest à Birmingham en passant par Sangatte. Enfin Rip Hopkins vient tirer le portrait des familles britanniques vivants en France, tandis que Cyril Abad dévoile les vacances des anglais à Blackpool, première station balnéaire du nord-ouest de l’Angleterre, pour finir avec la rencontre des supporters de football de Liverpool avec Kent Grant. La programmation ne s’arrête pas là, on découvre également le travail de Jean-Christophe Béchet, fruit d’une année de résidence à Corbeil-Essonnes dont la sélection est visible à la Commanderie Saint Jean. Par ailleurs, l’exposition collective « Berlin : portrait d’une ville entre les temps » vient commémorer les 30 ans de la chute du mur de Berlin, avec les images de l’agence germanique Ostkreuz rassemblant 3 photographes : Ute Mahler, Werner Mahler et Maurice Weiss. Pour terminer avec Jeanne Frank, photographe du collectif lyonnais ITEM, et sa série « Planète Z », un ensemble de logements sociaux de Saint Ouen. INFORMATIONS PRATIQUES ven05avr(avr 5)0 h 00 mindim19mai(mai 19)0 h 00 minL'Œil Urbain OrganisateurL'Oeil Urbain Détail de l'événementPour son 7e périple à travers la ville, le festival photographique L’Œil Urbain explore le Royaume-Uni et prend le pouls agité de nos sociétés contemporaines. Brassage des populations, foyer d’énergie, Détail de l'événement Pour son 7e périple à travers la ville, le festival photographique L’Œil Urbain explore le Royaume-Uni et prend le pouls agité de nos sociétés contemporaines. Brassage des populations, foyer d’énergie, de circulation, de rencontres, de cultures, et noyau à travers lequel fusionnent aussi les tensions : la ville, en outre, apparaît ici comme incarnation de l’Europe des laissés-pour-compte. En balayant de leur regard aigu trente ans de libéralisme outre-Manche, du thatchérisme au Brexit en passant par la guerre en Irlande du Nord et la crise migratoire, les photographes programmés nous offrent des clefs de lectures croisées, n’oubliant pas cependant la poésie, l’énergie et l’humour qui caractérisent cette contrée. Ainsi bat fiévreusement le cœur des hommes, sous l’objectif parfois fébrile des photographes qui rendent aux habitants des villes, aux exilés de tous bords, y compris ceux de l’intérieur – les bousculés et les ballotés de la vie – au Royaume-Uni et ailleurs, la part d’humanité qui leur revient. Une croisée de regards pleine d’acuité, souvent inquiète, mais toujours empathique, solidaire, et souvent drôle, que nous vous invitons à partager. À PROPOS DU FESTIVAL Le festival L’Œil Urbain explore des thématiques liées aux nouvelles réalités urbaines. Ce festival photographique – dont la septième édition se tiendra du 5 avril au 19 mai 2019 – est désormais un événement incontournable du paysage culturel francilien.Un parcours photographique, accessible à pied depuis la gare RER, propose la découverte d’une dizaine de lieux d’expositions, faisant partie du patrimoine de la ville (Commanderie du 13e siècle, théâtre) comme d’espaces fréquentés au quotidien par ses habitants (parvis de l’Hôtel de Ville, square, kiosque à musique). L’Œil Urbain s’intéresse aux multiples regards portés sur l’Homme dans la ville, par les travaux de photographes de tous horizons, traversant parfois plusieurs époques. Chaque année, lors du week-end d’inauguration, les photographes viennent présenter leurs travaux et rencontrer le public. Depuis la création du festival, un artiste résident bénéficie d’une dotation et d’un logement pour effectuer un travail courant sur une année complète à Corbeil-Essonnes. Ce photographe restitue ensuite son travail lors d’une exposition qui lui est dédiée lors du festival de l’année suivante. Les expositions du festival photographique L’Œil Urbain sont toutes en entrée libre. DatesAvril 5 (Vendredi) 0 h 00 min - Mai 19 (Dimanche) 0 h 00 min(GMT+00:00) OrganisateurL'Oeil UrbainLearn More CalendrierGoogleCal A LIRE : Guillaume Zuili est le 8ème lauréat de la Résidence L’Oeil Urbain Corbeil-Essonnes : Inauguration du Festival L’Oeil Urbain Le Festival Photographique L’Oeil Urbain de Corbeil-Essonnes L’Oeil Urbain : Sophie Brändström, photographe en résidence 2017 Marque-page0
Carte blanche à Elisabeth Hébert : Brothers of cycles de Lionel Antoni, le dernier né des éditions Photopaper
Evénements Regard intime. Arlene Gottfried au CRP/ de Douchy-les-Mines Le Centre régional de la photographie des Hauts-de-France, à Douchy-Les-Mines, accueille la rétrospective de la photographe américaine Arlene Gottfried (1950-2017), en partenariat ...
L'Edition Le bruissement entre les murs de Clara Chichin et Sabatina Leccia par Céline Pévrier (sun/sun éditions) Tout au long du mois de mars, à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, nous partagerons avec vous une ...
L'Invité·e Carte blanche à Valérie-Anne Giscard d’Estaing : Le Festival Photo La Gacilly Pour sa deuxième carte blanche, notre invitée de la semaine, la fondatrice et directrice de la Galerie XII, Valérie-Anne Giscard d’Estaing souhaite apporter un ...
L'Interview Interview Clothilde Morette, directrice artistique de la MEP : « Remettre au centre de l’histoire de l’art et de la photographie certains artistes invisibilisés »
Evénements Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture !
Le bruissement entre les murs de Clara Chichin et Sabatina Leccia par Céline Pévrier (sun/sun éditions)
Cyrielle Lévêque. Les Joueurs par les éditrices Soraya Hocine & Sandy Berthomieu (Éditions de l’Épair)
Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 jours ago
Interview Clothilde Morette, directrice artistique de la MEP : « Remettre au centre de l’histoire de l’art et de la photographie certains artistes invisibilisés » 2 jours ago
Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 jours ago
Le bruissement entre les murs de Clara Chichin et Sabatina Leccia par Céline Pévrier (sun/sun éditions) 47 minutes ago
Cyrielle Lévêque. Les Joueurs par les éditrices Soraya Hocine & Sandy Berthomieu (Éditions de l’Épair) 5 jours ago
Eva Diallo. Bolol aux éditions Cécile Fakhoury par l’éditrice Véronique Prugnaud (The Eyes) 1 semaine ago
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 5) 4 mars 2025
Un nouveau chapitre pour le Centre d’Art Contemporain, Genève : Interview Andrea Bellini, directeur 1 jour ago
Le bruissement entre les murs de Clara Chichin et Sabatina Leccia par Céline Pévrier (sun/sun éditions)