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Partager Partager EvénementsPhoto L’Afrique n’est pas une île, les 10 ans d’Afrique in Visu célébrés à la Fondation Zinsou La Rédaction14 novembre 2018 L’exposition « L’Afrique n’est pas une île » qui avait été présentée au Musée d’Art Contemporain Africain Al Maaden de Marrakech à l’occasion des 10 ans d’Afrique in Visu, est visible depuis le 2 novembre à la Fondation Zinsou à Cotonou. A l’occasion des 10 ans d’Afrique in Visu, Jeanne Mercier et Baptiste de Ville d’Avray, fondateurs de la plateforme de photographie, ont réuni une sélection des photographes contemporains travaillant sur le continent africain avec l’aide de la commissaire indépendante Madeleine de Colnet. L’exposition rassemble plus de quarante photographes émergents et établis. À travers l’image, ces artistes réinvestissent l’imaginaire lié au continent africain et abordent des problématiques culturelles universelles telles que la tradition, la spiritualité, la famille et l’environnement dans le cadre d’expériences quotidiennes et actuelles. Afrique in Visu présente, à travers Africa is no Island, une sélection d’artistes montrés au cours de ses dix années d’existence d’une part, et provenant de la collection de la Fondation Alliances d’autre part. Devenue elle-même un « territoire visuel », cette plateforme franchit les frontières et relate les diverses perspectives existant aux quatre coins du continent. Sélectionnées autour des trois thèmes « Je suis ma représentation », « Dessiner des géographies » et « Recueillir l’histoire », les oeuvres racontent la diversité des vécus, en questionnant leurs symboles, leur rapport au temps et à l’espace. Les images multicouches d’Ishola Akpo, photographe Ivoirien installé au Bénin, brouillent les frontières, entre réalité et fiction. La série L’essentiel est invisible pour les yeux, exposée lors du Festival de la Photo de Lagos, nous emporte dans l’histoire familiale et les souvenirs du photographe en illustrant avec soin la dot de sa grand-mère (bouteilles de gin, habits et perles) pour mettre en lumière leur charge symbolique. Le travail photographique de l’artiste sud-africaine Lebohang Kganye, illustre son intérêt pour la sculpture, la performance et la démarche d’archivage de son histoire personnelle par des mises en scène singulières superposant autoportraits aux photographies de famille minutieusement collectées. Les questions écologiques liées aux déchets plastiques et électroniques reviennent fréquemment dans la série de Nyaba Léon Ouedraogo, Les Fantômes du Fleuve Congo, inspirée du livre Au coeur des Ténèbres de Joseph Conrad, datant de l’ère coloniale. Ses oeuvres offrent un regard contemporain sur le fleuve Congo, artère symbolique de l’Afrique en exposant la vie l’entourant. Maïmouna Guerresi est une artiste multimédia qui associe photographie, sculpture, vidéo et installation dans son travail, créant des images imprégnées de spiritualisme en lien direct avec sa propre conversion au soufisme. À l’aide de motifs récurrents tels que le voile, ses portraits affirment et célèbrent la spiritualité féminine et la féminité africaine. Transformés par le cabinet franco-marocain Lazraq Bret, pour une meilleure immersion du visiteur, les espaces du Musée, bien différents de ceux qu’il offre originellement, font écho à l’architecture traditionnelle des médinas marocaines. Dès le début du parcours, des arches marquent l’entrée d’un univers clos et mystérieux. Cette configuration dédalique, presque contraignante, invite le visiteur à découvrir les oeuvres petit à petit, ne lais sant rien présager de la riches se que le parcours recèle. L’exposition est accompagnée d’un dispositif reproduisant le paysage sonore de Marrakech réalisé par Anna Raimondo ainsi que d’une installation de photomontages clôturant le parcours de l’exposition, qui illustre les oeuvres d’autres artistes mis en av ant par Afrique in Visu. En plongeant le public dans un milieu audiovisuel singulier, la scénographie donne ainsi vie à la pratique photographique ayant cours actuellement en Afrique, tout en témoignant de l’engagement du MACAAL à positionner l’art marocain dans le contexte plus large de la création du continent. INFORMATIONS PRATIQUES Missing Event Data Marque-page0
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