Arianna Sanesi nommée lauréate de la 1ère édition de la résidence photographique Chambre noire 5 jours ago
Interview Clothilde Morette, directrice artistique de la MEP : « Remettre au centre de l’histoire de l’art et de la photographie certains artistes invisibilisés » 10 mars 2025
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) 3 jours ago
Salon du dessin 2025, Galerie Larock-Granoff : Interview Gabrielle Larock « Donner la parole aux femmes fait partie de ma ligne directrice » 15 heures ago
Interview Stéphanie Pécourt, Centre Wallonie Bruxelles : « Un manifeste dissident pour un cosmopolitisme renouvelé. » 4 jours ago
« Corps et âmes », une nouvelle saison incandescente à la Pinault Collection-Bourse de commerce 21 mars 2025
Partager Partager Actu Art ContemporainOtherSide Coup de Cœur AKAA : Rachel Monosov et Admire Kamudzengerere Marie-Elisabeth De La Fresnaye13 novembre 2017 Temps de lecture estimé : 2minsRachel Monosov et Admire Kamudzengerere où la confrontation des différences culturelles Mon deuxième coup de coeur à AKAA, la foire d’art contemporain et de design africain, est pour le travail du couple d’artistes Rachel Monosov & Admire Kamudzengerere. J’ai découvert pour la première fois le travail de ces artistes lors de la pré-ouverture du programme de résidence d’artiste de Thalie Art Foundation. Rachel Monosov présentait la très belle performance « Transcultural Protocole », en collaboration avec Admire Kamudzengerere, artiste zimbabwéen. Transcultural Protocole a été présenté cette année à la biennale de Venise au Pavillon du Zimbabwé. C’est une performance dansée qui confronte les différences culturelles par des mouvements et des gestes qui semblent à la fois familier and étranges, forts et faibles, agressifs et aimants. « 1972 » le travail présenté par la galerie Catinca Tabacaru (New York) à AKAA interroge notre mémoire et la manière dont elle modifie le passé pour qu’il soit acceptable dans le monde d’aujourd’hui. Il s’agit d’un reportage, d’un album de famille fictif qui aurait été réalisé en 1972. 1972 est l’année qui a vu la Rhodésie gagner son indépendance mais c’est aussi le début de 7 années de guerre civile. L’album de cette famille très conventionnelle se déroule donc dans un passé idéalisé où un couple mixte se rencontre (le mariage inter racial était alors illégal), se marie, élève des enfants dans un monde presque parfait. Rachel Monosov et Admire Kamudzengerere créent ainsi une fiction utopique du passé qui n’a jamais pu exister. INFORMATIONS PRATIQUES AKAA – Salon d’art contemporain et de design d’Afrique Le Carreau du Temple 4 rue Eugène Spuller 75003 Paris http://www.akaafair.com/ Marque-page0
Interview Art Contemporain Salon du dessin 2025, Galerie Larock-Granoff : Interview Gabrielle Larock « Donner la parole aux femmes fait partie de ma ligne directrice » Les Larock représentent la 4ème génération de descendants de Katia Granoff, ukrainienne arrivée à Paris 1924, pionnière, qui a défendu les impressionnistes ...
News Découvrez le palmarès du Prix RPBB 2025 Les Rencontres Photographiques de Boulogne Billancourt viennent de dévoiler leurs lauréats 2025. Le Grand Prix RPBB, destiné aux photographes engagés dans un ...
Evénements Une Image — Une Histoire. Une exposition éphémère pour la vente de tirages uniques Demain soir, jeudi 27 mars, la galerie Signatures vous accueille pour l’inauguration de l’exposition « Une Image — Une Histoire » qui réunit 33 ...
Actu Art Contemporain « Corps et âmes », une nouvelle saison incandescente à la Pinault Collection-Bourse de commerce
Actu Art Contemporain Nouvelle Saison au Palais de Tokyo : Radioscopie de la joie collective, Raphaël Barontini…
Actu Art Contemporain Le Nouveau Printemps de Toulouse par Kiddy Smile : « réinventer une culture de l’amour »
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
Arianna Sanesi nommée lauréate de la 1ère édition de la résidence photographique Chambre noire 5 jours ago
Interview Clothilde Morette, directrice artistique de la MEP : « Remettre au centre de l’histoire de l’art et de la photographie certains artistes invisibilisés » 10 mars 2025
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) 3 jours ago
Salon du dessin 2025, Galerie Larock-Granoff : Interview Gabrielle Larock « Donner la parole aux femmes fait partie de ma ligne directrice » 15 heures ago
Interview Stéphanie Pécourt, Centre Wallonie Bruxelles : « Un manifeste dissident pour un cosmopolitisme renouvelé. » 4 jours ago
« Corps et âmes », une nouvelle saison incandescente à la Pinault Collection-Bourse de commerce 21 mars 2025