Festival Circulation(s) #15 : Entretien avec Clara Chalou, direction artistique, collectif Fetart 6 jours ago
Sensibilités partagées à la Galerie Echo 119. Rencontre avec Salomé d’Ornano et Kinuko Asano 7 avril 2025
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) 26 mars 2025
Masterclass Oeildeep : « Syncopée Méditerranée / Marseille », une série de Pierryl Peytavi 4 avril 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 6) 31 mars 2025
Art Brut d’Iran à la Halle Saint Pierre, entre traditions millénaires et cosmogonies contemporaines 3 jours ago
Entretien avec Nele Verhaeren, Art Brussels, 41e édition : Un programme artistique très exigeant ! 6 jours ago
L'Invité·e Notre invité de la semaine est Christophe Gaillard Marie-Elisabeth De La Fresnaye10 juillet 2017 Portrait d'enfance de Christophe Gaillard Partager Partager Temps de lecture estimé : 4minsCette semaine, nous accueillons le galeriste Christophe Gaillard en tant qu’invité de la semaine. Il nous fait l’honneur de partager avec nous ses coups de cœur pour les 5 jours à venir, avant notre saison estivale ! Dans ses murs, il présente actuellement l’exposition La Photographie conceptuelle japonaise des années 70 et les œuvres d’Hélène Deprat, artiste représentée par la galerie, sont actuellement exposées à la Maison Rouge. De tous les galeristes parisiens, c’est sans doute l’un des plus atypiques. Au delà d’une personnalité forte et intransigeante, il a notamment été le premier à défendre de manière suivie, cette nouvelle génération d’artistes affiliés à ce qu’on nomme désormais « La Nouvelle Photographie » dans le sillage des expositions de l’ICP. Christophe Gaillard vient de la musique et du spectacle vivant. De simple standardiste au Théâtre du Châtelet, il sera successivement garçon d’orchestre, stagiaire à la mise en scène et à la régie auprès de Patrice Chéreau pour la reprise du Wozzeck. Il deviendra ensuite régisseur général des Arts Florissants et enfin régisseur de scène à l’Opéra de Paris. Ce n’est que tardivement donc que Christophe Gaillard commence à s’intéresser aux arts plastiques. Parfait autodidacte, il sillonne alors les musées et écume les librairies (les ouvrages généraux sur l’art, les biographies mais aussi les catalogues de ventes). Collectionneur depuis 1997, il décide en 2007 de franchir le pas en installant sa première galerie rue de Thorigny, près du Musée Picasso. Après une première exposition consacrée à Kazuo Shiraga et quelques expositions de groupes, le galeriste ressent le besoin de travailler avec des artistes vivants. La première d’entre elles sera Chiharu Shiota. Suivront entre autres Hélène Delprat, Isabelle Le Minh, Julien des Monstiers et toute une partie de cette certains de ces artistes de ces artistes qui redéfinissent les frontières de la photographie (Rachel de Joode, Letha Wilson, Hannah Whitaker ou encore Kate Steciw). Par ailleurs, la galerie travaille à mieux faire connaître des artistes avant-gardistes des années 1960-70, tels Michel Journiac ou Daniel Pommereulle, dont elle a la représentation exclusive, en présentant leur travail à la lumière des pratiques artistiques actuelles. La galerie Christophe Gaillard se démarque peu sur le plan scientifique et intellectuel par le sérieux de son travail de documentation et son engagement éditorial, aussi bien pour les artistes historiques que contemporains. La galerie se transforme alors progressivement jusqu’à ce son récent déménagement dans ce sublime espace de 450m2 au 5 de la rue Chapon aux l’allures de galerie new yorkaise dans un hôtel particulier parisien. L’équipe s’étoffe (passant à 8 permanents) et les salons s’enchainent (FIAC, Independent NY, Artissima, Paris Photo…). Le Portrait chinois de Christophe Gaillard : Si j’étais une œuvre d’art : La déposition de croix de Rogier Van der Weyden Si j’étais un musée ou une galerie : la Villa Borghese à Rome Si j’étais un(e) artiste (tous domaines confondus) : Jean Dubuffet Si j’étais un livre : À la recherche du temps perdu Si j’étais un film : 8 1/2 de Fellini Si j’étais un morceau de musique : l’adagio du 3ème concerto pour piano de Beethoven joué par Maurizio Pollini Si j’étais un photo accrochée sur un mur : la Poupée de Hans Bellmer Si j’étais une citation : « Je me suis rarement perdu de vue : je me suis détesté, je me suis adoré – puis, nous avons vieilli ensemble ». Monsieur Teste (1896), Paul Valéry Si j’étais un sentiment : l’hédonisme Si j’étais un objet : l’Iphone 8 Si j’étais une expo : La Peinture comme crime ou la part maudite de la modernité organisée par Régis Michel au Louvre en 2002 Si j’étais un lieu d’inspiration : l’océan atlantique sous le crachin Si j’étais un breuvage : le pastis Si j’étais un héros/héroïne : Hans et Sophie Scholl Si j’étais un vêtement : une écharpe Toute le semaine, retrouvez la carte blanche de notre invité : > Carte Blanche à Christophe Gaillard : Pour une nouvelle photographie considérée à la fois comme photographie et art contemporain (mardi 11 juillet 2017) > Carte Blanche à Christophe Gaillard : Focus sur Ceija Stojka (mercredi 12 juillet 2017) > Carte Blanche à Christophe Gaillard : Hélène Delprat (jeudi 13 juillet 2017) > Les Bons Plans de Marseille & La Playlist de Christophe Gaillard (vendredi 14 juillet 2017) INFORMATIONS PRATIQUES Galerie Christophe Gaillard 5 Rue Chapon 75003 Paris http://galeriegaillard.com Marque-page0
L'Invité·e Carte blanche à Pierre Ciot : Pourquoi fait-on des photographies ? Pour sa quatrième carte blanche, notre invité de la semaine, le photographe reporter Pierre Ciot, revient sur trois événements qu’il a couverts, ...
L'Invité·e Carte blanche à Pierre Ciot : Chronique de 50 ans de photographies Pour sa troisième carte blanche, notre invité de la semaine, le photographe reporter, Pierre Ciot revient sur ses 50 ans de carrière. ...
News Le duo d’artistes espagnols Albarrán Cabrera représenté par la galerie Les Douches Françoise Morin, directrice de Les Douches la Galerie, représente le travail du duo d’artistes espagnols Angel Albarrán et Anna Cabrera. Ils élaborent ...
L'Invité·e Coups de Cœur de Pierre Ciot : le Printemps Photographique de Pomerol et Mélanie-Jane Frey
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
Festival Circulation(s) #15 : Entretien avec Clara Chalou, direction artistique, collectif Fetart 6 jours ago
Sensibilités partagées à la Galerie Echo 119. Rencontre avec Salomé d’Ornano et Kinuko Asano 7 avril 2025
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) 26 mars 2025
Masterclass Oeildeep : « Syncopée Méditerranée / Marseille », une série de Pierryl Peytavi 4 avril 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 6) 31 mars 2025
Art Brut d’Iran à la Halle Saint Pierre, entre traditions millénaires et cosmogonies contemporaines 3 jours ago
Entretien avec Nele Verhaeren, Art Brussels, 41e édition : Un programme artistique très exigeant ! 6 jours ago