Festival Circulation(s) #15 : Entretien avec Clara Chalou, direction artistique, collectif Fetart 8 avril 2025
Sensibilités partagées à la Galerie Echo 119. Rencontre avec Salomé d’Ornano et Kinuko Asano 7 avril 2025
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) 26 mars 2025
Masterclass Oeildeep : « Syncopée Méditerranée / Marseille », une série de Pierryl Peytavi 4 avril 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 6) 31 mars 2025
Art Brut d’Iran à la Halle Saint Pierre, entre traditions millénaires et cosmogonies contemporaines 6 jours ago
Entretien avec Nele Verhaeren, Art Brussels, 41e édition : Un programme artistique très exigeant ! 8 avril 2025
L'ActuNews Barème de piges des reporters-photographes : Un salaire indécent ! La Rédaction16 mai 2017 Partager Partager Il était temps : le Journal officiel du 10 mai a publié le décret fixant « les conditions de détermination du salaire minimum des journalistes professionnels auteurs d’images fixes rémunérés à la pige ». Les deux ministres signataires, Audrey Azoulay et Myriam El Khomri, ont attendu les derniers jours de leur mandat pour apposer leur paraphe, le gouvernement ayant démissionné le même jour. Ce décret, prévu par la loi Hadopi du 12 juin 2009 et dont le contenu est de la seule responsabilité des deux ministères, était en effet attendu depuis le 14 juin 2011. Si les ministres successifs de la culture et de la communication ont fait preuve d’excès de prudence dans le traitement du dossier, c’est en raison de la volonté politique du gouvernement de ne pas s’opposer frontalement aux patrons de presse, qui ont usé de toute leur influence pour faire échec à une revendication des reporters-photographes exprimées lors des négociations sur les modalités de réutilisation des oeuvres des journalistes. Les reporters-photographes, à la demande de leurs représentants, ne devant être soumis aux nouvelles règles fixées par la loi Hadopi qu’après la négociation d’un barème de piges. Les nombreux patrons de presse, faisant un usage immodéré de photos libres de droits et souvent gratuites après avoir réduit les effectifs, n’entendent pas sortir des négociations de gré à gré lorsqu’ils sont contraints de faire appel à des reporters-photographes professionnels. Les reporters-photographes ont vu ainsi les commandes et leurs revenus diminuer drastiquement et, aujourd’hui, nombre d’entre eux ne répondent plus aux critères de détention de la carte d’identité de journaliste. Le gouvernement a été sorti de son immobilisme après de multiples réunions, rapports, actions, communiqués, livre noir de la SCAM et autres interpellations à Perpignan et ailleurs. Mais le décret d’aujourd’hui, qui tourne le dos à nos revendications, ne répond pas aux attentes de la profession. En effet, la rémunération minimum pour une commande demandant 5 heures minimum de travail a été fixée par arrêté à 60 €, soit l’équivalent d’un salaire mensuel brut de 1820 € ; mais pour arriver à ce salaire, le pigiste devrait avoir travaillé 30 jours, c’est-à-dire sans aucun jour de repos. Aujourd’hui la réalité est bien différente ; le pigiste n’arrive pas à enchaîner plus de quelques commandes, dans le meilleur des cas. Néanmoins, il doit continuer à investir dans des matériels (matériel photo, ordinateur et sauvegarde numérique sécurisée) entièrement à sa charge. Enfin, il faut préciser que pour une commande de 60 €, l’éditeur pourra réutiliser les photos dans les mêmes conditions que celles des oeuvres des autres journalistes, sur Internet notamment. « Reventes » et « repasses » seront rémunérées dans les conditions fixées par un accord sur une « période dite d’actualité » définie par accord d’entreprise. Assurément le compte n’y est pas : les reporters-photographes ne se sentent ni respectés, ni reconnus et ni payés au juste prix. Les syndicats signataires, les organisations professionnelles et les sociétés d’auteur signataires de ce communiqué rejettent un tel montant et vont se rencontrer pour examiner les suites à donner à ce qu’ils considèrent comme une insulte non seulement à la profession mais aussi à une information de qualité. Le 12 mai 2017 SNJ, SNJ-CGT, Journalistes-CFDT, SJ-CFTC, SNJ-FO Union des Photographes Professionnels/Auteurs (UPP) SAIF, SCAM Marque-page0
News Le duo d’artistes espagnols Albarrán Cabrera représenté par la galerie Les Douches Françoise Morin, directrice de Les Douches la Galerie, représente le travail du duo d’artistes espagnols Angel Albarrán et Anna Cabrera. Ils élaborent ...
L'Invité·e Carte blanche à Pierre Ciot : Pourquoi les photographes ne sont pas à la SAIF ? Pour sa deuxième carte blanche, notre invité de la semaine, le photographe reporter, Pierre Ciot nous parle de la SAIF, organisme de ...
News Coupes budgétaires : L’Espace St Cyprien en danger Depuis les annonces gouvernementales successives sur la situation budgétaire de notre pays, les décisions ne se font pas attendre, qu’elles soient au ...
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
Festival Circulation(s) #15 : Entretien avec Clara Chalou, direction artistique, collectif Fetart 8 avril 2025
Sensibilités partagées à la Galerie Echo 119. Rencontre avec Salomé d’Ornano et Kinuko Asano 7 avril 2025
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) 26 mars 2025
Masterclass Oeildeep : « Syncopée Méditerranée / Marseille », une série de Pierryl Peytavi 4 avril 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 6) 31 mars 2025
Art Brut d’Iran à la Halle Saint Pierre, entre traditions millénaires et cosmogonies contemporaines 6 jours ago
Entretien avec Nele Verhaeren, Art Brussels, 41e édition : Un programme artistique très exigeant ! 8 avril 2025