Festival Circulation(s) #15 : Entretien avec Clara Chalou, direction artistique, collectif Fetart 6 jours ago
Sensibilités partagées à la Galerie Echo 119. Rencontre avec Salomé d’Ornano et Kinuko Asano 7 avril 2025
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) 26 mars 2025
Masterclass Oeildeep : « Syncopée Méditerranée / Marseille », une série de Pierryl Peytavi 4 avril 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 6) 31 mars 2025
Art Brut d’Iran à la Halle Saint Pierre, entre traditions millénaires et cosmogonies contemporaines 3 jours ago
Entretien avec Nele Verhaeren, Art Brussels, 41e édition : Un programme artistique très exigeant ! 6 jours ago
Partager Partager #ThePlace2BL'Invité·e Les Bons plans du Week-end par Estelle Francès : Venise enracinée Marie-Elisabeth De La Fresnaye24 mars 2017 Temps de lecture estimé : 2minsCette semaine, nos bons plans du week-end sont guidés par notre invitée de la semaine Estelle Francès (lire son portrait publié lundi 20 mars). Direction l’Italie, sur les rives de l’Adriatique à Venise. Le ghetto Sans grand monument, situé dans le quartier de Cannaregio, cet ensemble offre à comprendre l’histoire des Juifs à Venise. Il leur était tout d’abord permis de venir y faire commerce mais pas d’y habiter. Au XIVème siècle, pour la première fois, les Juifs sont autorisés à habiter Venise, moyennant finance mais la charte qui définit leurs droits et devoirs n’est pas renouvelée. C’est au XVème siècle que les Juifs peuvent définitivement s’installer à Venise sur le site d’une fonderie « geto »,à l’origine du terme ghetto qui désignera ensuite tout quartier réservé aux Juifs. Les Juifs n’ont pas le droit de sortir le soir, le guetto est fermé. La population s’accroit dans ces quartiers réservés, ce qui entraine la construction des immeubles les plus hauts de la ville, jusqu’à 8 étages. Mais le guetto nuove devient trop petit, le guetto vecchio est alors créé autour d’une fonderie plus ancienne, puis pour accompagner la croissance de la population, le guetto nuovissimo. Le déclin de la ville marque le départ des communautés les plus aisées et naturellement anticipe le déclin du guetto. Sous Napoléon, la ségrégation est supprimée mais ce n’est qu’au XIXème siècle que le Juifs obtiennent l’égalité des droits. Le canal et ses vaporettos, ses architectures et ses couleurs nous offrent un voyage permanent dans le temps et l’espace, une œuvre d’art à part entière. L’eau accentue la fragilité de la ville et rythme les flux des populations, résidents, travailleurs,touristes, artistes. L’art contemporain se confronte à la rigueur de l’histoire, sa fragilité, sa beauté et sa violence. Une exploration toujours renouvelée par un environnement en perpétuel mouvement. L’absurdité des paquebots aux abords, monstres décomplexés et impudiques. Building mobiles d’une société marchande inconsciente de la pauvreté des traces qu’elle laisse face à tant de richesses archéologiques, historiques et sociales. La biennale d’art contemporain s’y trouve sublimée même si le marché ventripotent déborde et tend à étouffer les attentes curieuses, fraiches ou fantasques que nous venons rechercher. Venise est exigeante, vivante, remuante, délicieuse, elle excite la pensée et les sens, perpétuellement sujette au romantisme, à la passion, à l’abandon. > Voir notre article publié le 21 mars dernier sur la Biennale de Venise. http://www.labiennale.org http://www.venise.fr Marque-page0
L'Invité·e Carte blanche à Pierre Ciot : Pourquoi fait-on des photographies ? Pour sa quatrième carte blanche, notre invité de la semaine, le photographe reporter Pierre Ciot, revient sur trois événements qu’il a couverts, ...
L'Invité·e Carte blanche à Pierre Ciot : Chronique de 50 ans de photographies Pour sa troisième carte blanche, notre invité de la semaine, le photographe reporter, Pierre Ciot revient sur ses 50 ans de carrière. ...
L'Invité·e Carte blanche à Pierre Ciot : Pourquoi les photographes ne sont pas à la SAIF ? Pour sa deuxième carte blanche, notre invité de la semaine, le photographe reporter, Pierre Ciot nous parle de la SAIF, organisme de ...
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria)
Festival Circulation(s) #15 : Entretien avec Clara Chalou, direction artistique, collectif Fetart 6 jours ago
Sensibilités partagées à la Galerie Echo 119. Rencontre avec Salomé d’Ornano et Kinuko Asano 7 avril 2025
S’élever au milieu des ruines, danser entre les balles de Maryam Ashrafi par Brigitte Trichet (éditions Hemeria) 26 mars 2025
Masterclass Oeildeep : « Syncopée Méditerranée / Marseille », une série de Pierryl Peytavi 4 avril 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 6) 31 mars 2025
Art Brut d’Iran à la Halle Saint Pierre, entre traditions millénaires et cosmogonies contemporaines 3 jours ago
Entretien avec Nele Verhaeren, Art Brussels, 41e édition : Un programme artistique très exigeant ! 6 jours ago