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Centre Pompidou Metz : « Après la fin. Cartes pour un autre avenir » vers un sud global émancipé 11 février 2025
Partager Partager Temps de lecture estimé : 17minsNous poursuivons aujourd’hui, la publication du journal de bord du photographe Pierre-Elie de Pibrac, actuellement en Israël dans le cadre de son projet « Exil ». Un périple qui le mena à Cuba puis au Japon, en pleine crise sanitaire du coronavirus avant de clore cette trilogie familiale en Israël. Ces pays ont le même point commun, celui d’interroger la place de l’individu au sein du corps social, dans des pays aux frontières fragiles et/ou souvent isolés dans leurs régions. Shalom, shalom! A l’heure où le langage des bombes tente de régler les conflits un peu partout dans le monde, je vous souhaite une année 2025 placée sous le signe de l’espoir et de la paix et d’un monde plus fraternel. Cette nouvelle newsletter revient sur la période que nous avons vécue entre fin novembre et fin décembre. Ce mois a été très intense, ma newsletter sera un peu plus longue que d’habitude. Les Kinés du Coeur en train de réconforter des soldats à la frontière de Gaza Rencontre avec les Kinés du Cœur, aux portes de Gaza Comme mentionné dans ma précédente newsletter, j’ai rencontré Didier et les membres des Kinés du Cœur, une association qui aide les militaires actuellement sur le front en leur prodiguant des soins tels que la kinésithérapie, la sophrologie, l’ostéopathie, l’aromathérapie ou encore la chiropractie. Nous sommes allés dans un camp situé en bordure de Gaza, où de nombreux soldats se préparaient à partir pour le front ou en revenaient. Au cœur d’une guerre interminable et dévastatrice, j’ai rencontré de jeunes soldats profondément affectés par leur mission, pour qui l’intervention des Kinés représente un réconfort précieux. Un char israélien partant à Gaza. / Un soldat d’un camp en bordure de Gaza surveillant la frontière. Ruelle du paisible village circassien de Kfar Kama. / Le drapeau circassien flottant au-dessus du musée de l’histoire circassienne. Découverte des Circassiens : une culture entre traditions et intégration Juste après, je suis parti avec Guila à la rencontre de Zuher et des Circassiens, une petite communauté d’origine caucasienne principalement installée dans les villages de Kfar Kama et Rehaniya. Ils ont été déplacés au XIXᵉ siècle suite à la conquête russe du Caucase, durant laquelle plus de deux millions d’entre eux ont été massacrés dans une immense épuration ethnique. Les Circassiens ont adopté l’islam comme religion tout en préservant leur culture unique et leur langue, l’adyguéen. En Israël, ils sont connus pour leur loyauté envers l’État et leur engagement à maintenir leurs traditions ancestrales. La frontière israélo-syrienne dans le village de Majdal Shams. C’est de chaque côté de cette frontière, sur ces collines, surnommées les collines des cris, que les familles druzes séparées par la guerre des Six Jours et vivant de chaque côté de la frontière, se sont parlés pendant des décennies à l’aide de mégaphones. Rassemblement druze dans le village de Majdal Shams pour célébrer la fin du régime de Bachar al-Assad et rendre hommage aux victimes de son régime. Voyage au cœur de la vie des Druzes du Golan Avec David, à l’annonce du cessez-le-feu avec le Hezbollah, nous avons décidé de partir au début du mois de décembre à la frontière nord pour aller à la rencontre des Druzes du Golan. Le jour de notre arrivée, nous avons appris que Bachar Al-Assad venait de tomber. Nous avons ainsi été plongés au cœur de l’actualité avec l’arrivée massive de l’armée israélienne à la frontière syrienne, son entrée dans la zone tampon, et les manifestations de joie des Druzes, soulagés de voir disparaître ce régime barbare, bien qu’incertains face à ce que réservera le nouveau gouvernement islamiste. Depuis 1967 et la guerre des Six Jours, une partie du plateau du Golan est passée sous contrôle israélien, cette partie a été annexée en 1981. Pour la petite histoire, Donald Trump l’a reconnu comme territoire israélien en 2019, au point qu’une colonie et un mont portent son nom ! Avec Salman, juste après la réalisation de la mise en scène de son histoire. Nous avons passé plusieurs jours à Majdal Shams et Kiryat Shmona avec deux Druzes d’une vingtaine d’années, Shadi et Salman. Les Druzes du Golan se distinguent des Druzes du nord d’Israël dont je vous parlerai dans une prochaine newsletter. Certains demandent aujourd’hui la citoyenneté israélienne, alors que d’autres se sentent encore syriens. Leur situation est hautement complexe et évolue avec les générations. Depuis la chute de Bachar Al-Assad, certains Druzes habitants en Syrie souhaitent même que leur village devienne israélien. Le terrain de football de Majdal Shams où une roquette du Hezbollah a explosé tuant 12 enfants et faisant 30 blessés. La douleur est toujours très présente dans le village. La guerre avec le Hezbollah les a durement affectés. En juillet dernier, l’une de leurs roquettes a explosé sur un terrain de football dans le village de Majdal Shams, tuant 12 enfants et blessant 30 personnes. Lors de notre traversée du Golan, nous avons croisé de nombreux anciens camps syriens en ruine et même exploré un faux village palestinien spécialement créé pour servir de camp d’entraînement militaire à l’armée israélienne. Frontière libanaise : une traversée inattendue et de belles rencontres Après notre séjour chez les Druzes du Golan, nous avons longé la frontière libanaise en traversant plusieurs villages. Sans le savoir, nous avons fini par entrer au Liban, dans le village de Ghajar, partagé entre Israël et le Liban. En franchissant un deuxième checkpoint, que nous avions pris pour un simple contrôle routier, nous avons traversé la frontière sans nous faire arrêter. Ce n’est qu’en apercevant les guérites de l’ONU que nous avons compris la situation. Un agent nous a rapidement escortés hors de la ville. Pour quelqu’un qui s’intéresse à la notion de frontière, cette expérience a été particulièrement intéressante. Tout au long de notre trajet, les stigmates de la guerre étaient visibles : une forte présence militaire, des villages en grande partie désertés, et un calme étrange planant sur ces lieux où la majorité des habitants n’a pas encore pu revenir. C’est dans le village d’Arab al-Aramshe que nous avons enfin pu échanger avec des résidents. Ce village arabe, durement touché par les tirs de roquettes et d’armes antichars, a vu ses habitants se réfugier à Nazareth pendant le conflit. Pourtant, beaucoup ont choisi de revenir rapidement, malgré les dangers. Leurs récits, empreints de courage et de résilience, nous ont profondément marqués. Nous prévoyons d’y retourner prochainement pour mieux comprendre leur vécu et leur réalité quotidienne. Camp d’entraînement de Tsahal ressemblant à un village palestinien dans le Golem.(Photo @ David Kashtan). Zone grise dans le village de Ghajar peuplé de Syriens alaouites. Ce village, autrefois syrien, est à la fois en Israël et au Liban. Après la guerre des Six Jours, ses habitants ont préféré vivre sous la souveraineté d’Israël que du Liban. Le village n’est pas coupé en deux mais est situé en partie en Israël et en partie au Liban selon l’ONU. Sur la photo vous pouvez voir une guérite de l’ONU dans un ravin en contrebas de la rue principale. A l’arrière plan vous pouvez apercevoir des maisons libanaises servant de point de départ à des tunnels du Hezbollah. Checkpoint à l’entrée de Ghajar. / Un bout du mur de la frontière israélo-libanaise. Les Refuzniks : un engagement courageux pour leurs convictions De retour à Tel-Aviv, nous avons rencontré une Refuznik, une jeune transgenre de 17 ans, prête à risquer la prison pour son refus de faire son service militaire. Elle m’a parlé des répercussions que ce choix pourrait avoir sur son avenir et m’a raconté son combat. Je prépare prochainement une photo avec un autre Refuznik, qui lui a déjà purgé plusieurs mois de prison. Zakie, un Bédouin face à l’effondrement du tourisme Avec Zakie devant son entreprise de transport touristique, aujourd’hui à l’arrêt, après la réalisation de la mise en scène. En décembre, nous avons également rencontré Zakie, un Bédouin du Mont Thabor dont l’entreprise de transport touristique est à l’arrêt depuis la guerre. Pour subvenir aux besoins de sa famille, il jongle entre ce métier et un emploi d’agent de sécurité. Il croit en l’avenir et reste positif malgré la période difficile qu’il vit. Entre le Covid-19 et le conflit, le tourisme s’est effondré, entraînant avec lui une partie importante de l’économie. Israël est aujourd’hui le pays de l’OCDE comptant le plus grand nombre de personnes vivant sous le seuil de pauvreté. Kibboutz autour de Gaza : une douleur abyssale Avec Guila, nous avons commencé à aborder le sujet très sensible du 7 octobre dans les kibboutz situés le long de la bande de Gaza. Ce jour, gravé à jamais dans la mémoire collective d’Israël, a été marqué par des attaques d’une violence inouïe qui ont frappé plusieurs kibboutz autour de Gaza, provoquant un traumatisme national profond. Pour mieux « comprendre » ces évènements, nous avons décidé de partir à la rencontre des survivants qui, aujourd’hui, tentent de se reconstruire. Nous avons d’abord rendu visite à Ruthi et Maymon, un couple du kibboutz Tze’elim, situé à proximité de la bande de Gaza. Bien que leur kibboutz ait été moins durement touché que d’autres, ses habitants portent le poids des traumatismes de leurs voisins qui y ont trouvé refuge. Ruthi nous a raconté avec émotion cette journée tragique, tout en soulignant l’importance cruciale de la solidarité qui unit leur communauté. Maymon, quant à lui, a évoqué les défis logistiques, psychologiques et émotionnels auxquels ils font face depuis le 7 octobre. Grâce à leur aide, nous avons pu planifier une future visite dans les kibboutz de Nir Oz et Be’eri, parmi les plus meurtris par ces attaques. Ces lieux, encore fermés pour des raisons de sécurité et de reconstruction, restent empreints d’un silence lourd de sens. Une nouvelle menace : les missiles hypersoniques du Yémen L’école détruite par un missile du Yémen, située à Ramat Gan, dans la banlieue de Tel-Aviv. / Un parc situé à Jaffa également détruit par un missile du Yémen. (Photo : Heidi Levine). En parallèle, alors que nous espérions que le cessez-le-feu instauré avec le Hezbollah apporterait un répit, une nouvelle menace est apparue. Les Houthis du Yémen, considéré comme l’un des bras armés de l’Iran dans la région, a intensifié ses attaques. Des missiles balistiques hypersoniques, particulièrement difficiles à intercepter, ont été tirés sur Israël, provoquant des réveils en sursaut presque chaque nuit à Tel-Aviv, entre 2h et 3h du matin, pendant plusieurs semaines. Bien que technologiquement avancé, le Dôme de fer a parfois eu du mal à neutraliser certaines de ces menaces. Heureusement, aucune perte humaine n’a été à déplorer, mais une école a été entièrement détruite et un parc pour enfants, situé à proximité de notre domicile à Jaffa, a également été touché. Ces événements ajoutent une tension quotidienne, même loin du front. Au total 40 missiles et 320 drones ont été lancés. Des vacances de Noël sur les traces de Jésus Grotte de l’Annonciation où Marie a dit “oui” à l’archange Gabriel. / Le tombeau présumé de Joseph sous le couvent des sœurs de Nazareth. Sur une note plus légère, décembre est un grand mois de vacances et de célébrations. En plus de Noël et du jour de l’An, nous avons également célébré Hanoukka, une fête lumineuse et joyeuse marquée par l’allumage des bougies chaque soir. Cette année, avec Olivia et les enfants, nous avons décidé de partir sur les traces de Jésus, explorant des lieux emblématiques en Israël et en Cisjordanie. La ville de Capharnaüm où se situe la Maison de Saint Pierre, sur la rive nord du lac de Tibériade. Jésus s’y est rendu pour y vivre après l’arrestation de son cousin, Jean le Baptiste. Vue de la Cisjordanie depuis les hauteurs de Hérodion, la cité du roi Hérode, érigée au 1er siècle avant J.C. Les ruines de la cité se situent à 6 km au sud de Bethléem. Notre périple a débuté à Nazareth, où nous avons visité la majestueuse Basilique de l’Annonciation, édifiée sur le lieu où Marie a répondu “oui” à l’archange Gabriel. Nous nous sommes également rendus au puits où l’archange lui serait apparu pour la première fois, ainsi que dans les soubassements du couvent des sœurs de Nazareth qui abritent des vestiges fascinants : la maison où Jésus aurait grandi, un village antique, et même le tombeau supposé de Joseph. L’hôtel Walled Off de Banksy est situé en face du mur de séparation de Bethléem, mur sur lequel Hugo et Thao sont en train d’écrire un message de paix. Nous avons ensuite pris la route vers Megiddo, lieu associé dans la tradition biblique à l’Armageddon, avant de poursuivre vers le lac de Tibériade. Là, nous avons exploré Capharnaüm, lieu où Jésus trouva refuge après sa traversée du désert et où il vécut une grande partie de son ministère en Galilée, ainsi que Tabgha, site des miracles de la multiplication des pains et des poissons. À proximité, nous avons visité le lieu où Pierre bâtit la première église, avant de gravir le Mont Thabor, lieu de la Transfiguration du Christ. Nous en avons également profité pour visiter la magnifique ville de Saint-Jean-d’Acre, l’une des plus anciennes villes au monde. Célébration de la messe de Noël dans l’église du monastère Saint-Sauveur à Jérusalem Est. Après quelques jours à Tel-Aviv, nous avons continué nos explorations en Cisjordanie, visitant Hérodion puis Bethléem. En chemin, nous avons traversé le checkpoint de Gilo Junction et longé l’imposant mur de séparation, une structure perçue par certains comme une barrière de sécurité et par d’autres comme un symbole de division et d’enfermement. À Bethléem, après avoir pris un thé au Walled Off Hotel de Banksy et inscrit des messages de paix sur le mur avec les enfants, nous avons visité la Basilique de la Nativité et la grotte où Jésus est né. Nous avons choisi de célébrer Noël à Jérusalem-Est, dans l’église du monastère Saint-Sauveur, où nous avons rejoint la communauté arabe chrétienne pour une messe empreinte de ferveur et d’émotion. Le lieu du baptême du Christ, Kasser al Yahoud, où le Jourdain sert également de frontière entre Israël / la Cisjordanie et la Jordanie. Plongée dans le Jourdain : entre foi et frontière Quelques jours plus tard, nous avons traversé la Cisjordanie d’ouest en est pour aller à Kasser al Yahoud, lieu où Jésus a été baptisé. Chargé d’histoire et de spiritualité – c’est aussi ici que le prophète Elie est monté aux cieux dans un chariot de feu et que le peuple juif est rentré en Terre Promise lors de l’Exode hors d’Egypte – cet endroit est également une frontière : d’un côté, la Jordanie ; de l’autre, Israël et la Cisjordanie. Les soldats qui surveillent la frontière ajoutent une dimension quelque peu surréaliste à cet endroit biblique. Hugo et moi avons profité de l’occasion pour nous immerger partiellement dans le fleuve. Petite anecdote : j’avais déjà eu l’occasion de me plonger dans les eaux du Jourdain, mais depuis la rive jordanienne. Sur la route, nous avions prévu de visiter le monastère Saint Jérôme, et celui de la Tentation, mais notre itinéraire a été soudainement interrompu. La route était bloquée, et un homme issu d’une colonie juive s’est approché pour savoir ce que nous faisions là. Lorsque je lui ai expliqué nos intentions, il m’a affirmé que nous ne pouvions pas continuer en raison de la guerre. Cette explication nous a laissés perplexe. Face à l’impossibilité d’avancer, nous avons finalement rebroussé chemin et décidé d’aller découvrir le monastère Saint Gérasime. Exploration du désert du Néguev Alma, Hugo et Thao jouent les explorateurs dans d’anciennes mines de cuivres égyptiennes. / Alma faisant une arabesque devant les imposants piliers du Roi Salomon. Hugo passant à travers une arche dans une falaise du Néguev. / Vue impressionnante sur le Néguev depuis les hauteurs d’une falaise du parc national de Timna. Route longeant la frontière égyptienne dans le désert du Néguev. Nous avons poursuivi notre chemin en descendant la Cisjordanie le long de la Mer Morte vers le désert du Néguev israélien où ses magnifiques canyons aux roches rouges, baignés dans la lumière douce et dorée de l’hiver, offraient un spectacle envoûtant. Nous avons passé cinq jours dans ce décor majestueux entre balades, escalade et découverte de la vie en kibboutz. Notre voyage s’est terminé à Eilat, où nous avons célébré le passage à la nouvelle année, avant de retourner chez nous, à Tel-Aviv, en longeant la frontière égyptienne. Yalla Yalla ! Toutes les photographies © Pierre-Elie de Pibrac À LIRE Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 3) Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 2) Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël L’aventure de Pierre-Elie de Pibrac au pays du soleil levant Premier Chapitre, l’installation et la découverte L’aventure de Pierre-Elie de Pibrac au pays du soleil levant Deuxième Chapitre, face au coronavirus L’aventure de Pierre-Elie de Pibrac au pays du soleil levant Troisième Chapitre à Yūbari L’aventure de Pierre-Elie de Pibrac au pays du soleil levant Quatrième Chapitre à Fukushima L’aventure de Pierre-Elie de Pibrac au pays du soleil levant Cinquième Chapitre retour de Fukushima L’aventure de Pierre-Elie de Pibrac au pays du soleil levant Sixième Chapitre, clap de fin Marque-page0
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