Carte blanche à Valérie-Anne Giscard d’Estaing : Mobiliser les femmes d’affaires pour soutenir les femmes artistes 5 heures ago
Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 mars 2025
Interview Clothilde Morette, directrice artistique de la MEP : « Remettre au centre de l’histoire de l’art et de la photographie certains artistes invisibilisés » 4 jours ago
Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 mars 2025
« 13 fois Jackie » par les éditrices Soraya Hocine & Sandy Berthomieu (Éditions de l’Épair) 5 heures ago
Le bruissement entre les murs de Clara Chichin et Sabatina Leccia par Céline Pévrier (sun/sun éditions) 2 jours ago
Cyrielle Lévêque. Les Joueurs par les éditrices Soraya Hocine & Sandy Berthomieu (Éditions de l’Épair) 7 mars 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 5) 4 mars 2025
Nouvelle Saison au Palais de Tokyo : Radioscopie de la joie collective, Raphaël Barontini… 1 jour ago
Un nouveau chapitre pour le Centre d’Art Contemporain, Genève : Interview Andrea Bellini, directeur 3 jours ago
Partager Partager Temps de lecture estimé : 4minsIl y a des artistes qui connaissent d’un coup une sorte d’épiphanie, c’est le cas du marseillais Thomas Mailaender représenté par la galerie londonienne Michael Hoppen qui cumule les actualités et s’exporte remarquablement à l’international (Rencontres d’Arles, Tate, FOMU, SFMOMA, Saatchi Gallery…). Simon Baker, directeur de la MEP lui donne carte blanche sur les 3 étages de l’institution parisienne, soit 800 m², un vrai cadeau. On frise parfois l’overdose devant ces archives de nos vies collectées, disséquées et transformées selon de multiples processus. Un flux en continu qui avale et qui recrache, miroir tendu à nos addictions et pulsions scopiques. De la série « Illustrated People », 2013 © Thomas Mailaender L’artiste ouvre le parcours en mangeur de négatifs, geste subversif autant que blasphématoire, tandis qu’un voilier de seconde main (merci le Bon Coin, partenaire de l’exposition, comme on le répète lors du vernissage) vogue sur les eaux tumultueuses de nos déchets fossilisés. La matérialité de l’image, son régime de diffusion et sa valeur sont passés à la moulinette et nous devenons partie prenante d’un jeu aussi séduisant que pervers. Serez-vous vous l’heureux gagnant de la super loterie imaginée par l’artiste ou allez-vous prendre la pause instagram devant un wall- paper en lave de volcan prêt à vous cuire un œuf ? De la série « Extrem Tourism », 2011 © Thomas Mailaender Pratiques inhabituelles (l’argile, la lave, la résine, le papier mâché, le placoplatre, l’émail), supports non conventionnels (la peau, une salle d’exposition devenue photosensible), les séries défilent, certaines plus anciennes, d’autres conçues pour l’occasion : « Fail Anthology », « Extrem Retouch », « Chemical Room », véritable laboratoire in process, transformant l’espace d’exposition en studio de travail comme il l’avait fait au Centre photographique de Marseille (Grand Arles Express). De « Belles Images », titre de l’ensemble qui reprend cette série d’images de presse puisées dans la rubrique fait divers qui se voient magnifiées et rehaussées dans des cadres fabriqués à la main et émaillés. Une archéologie visuelle en devenir alimentée par la propre collection de l’artiste qui est un amateur compulsif d’images et d’artefacts « The Fun Archeology » est le titre de sa collection. On se croirait chez Martin Parr par endroits même si Thomas Mailaender ne se retrouve pas totalement dans la comparaison. Plus il y a d’imperfections dans les cadrages ou les montages, plus cela est recherché par l’artiste qui va jusqu’à envoyer à des studios de retouche en Inde des images ratées. Si le soleil couchant reste un motif récurrent de notre panthéon d’images, dès lors qu’il fait la couverture de divers livres, sérieux ou non, il perd son potentiel évocateur. De la série « Life and Adventures of a Silver Woman on Planet Earth », 2024 © Thomas Mailaender Séquence émotion avec l’histoire de Rosemary Jacobs, victime d’empoisonnement au nitrate d’argent suivant recommandation médicale que l’artiste est allée rencontrer au Etats-Unis. Elle lui a confié ses propres archives. Et quand on sait que Thomas Mailaender participe à de nombreuses campagnes publicitaires, cela boucle la boucle de l’obsolescence programmée et du temps de cerveau captif. Chapeau l’artiste ! Anne-Lise Seusse Les enfants du Palais sous la mer, le gant 2024 A ne pas manquer également lors de votre visite la démarche d’ Anne-Lise Seusse (Studio) « Les enfants du Palais sous la mer » à partir de ses recherches autour des colonies de vacances des classes populaires et loisirs en plein air de l’après-guerre. Des vestiges intimes et collectifs saisis de nostalgie autour de la mémoire visible et invisibles des lieu. INFORMATIONS PRATIQUES La Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris mer12jui(jui 12)11 h 00 mindim29sep(sep 29)20 h 00 minThomas MailaenderLes Belles ImagesLa Maison Européenne de la Photographie, 5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris Détail de l'événementLa MEP invite l’artiste français Thomas Mailaender à investir ses espaces pour une Carte Blanche qui pousse le champ des expérimentations photographiques. Située au croisement de plusieurs disciplines, la pratique artistique Détail de l'événement La MEP invite l’artiste français Thomas Mailaender à investir ses espaces pour une Carte Blanche qui pousse le champ des expérimentations photographiques. Située au croisement de plusieurs disciplines, la pratique artistique de Thomas Mailaender interroge le rôle et la fonction première de l’image par une approche protéiforme de la photographie. Artiste multimédia basé à Marseille, Mailaender poursuit de nombreuses recherches visuelles par l’utilisation de différentes techniques photographiques mais aussi par l’ajout de matériaux singuliers réinvestis dans un contexte muséal. Ses installations, souvent monumentales, questionnent la place de l’image et sa matérialité dans nos sociétés par l’incorporation de photographies trouvées sur internet mais aussi dans des brocantes et des marchés aux puces. Collectionneur invétéré d’images anonymes, Thomas Mailaender a rassemblé un corpus de plus de 11 000 documents dans une importante collection intitulée « The Fun Archive », dont une partie sera présentée. Explorant les archives du numérique, l’artiste y déniche des images vernaculaires, souvent insolites, qui mettent en exergue l’absurdité des comportements humains. Symptomatiques de nos sociétés ultra-connectées, les sujets explorés par l’artiste questionnent leur rôle et leur fonction première de l’image en tant qu’objet institutionnel et sa réappropriation à des fins artistiques. Cette Carte Blanche se présentera sous la forme d’un laboratoire photographique expérimental en évolution constante où la richesse des propositions visuelles questionnera notre rapport aux images et ses conséquences quotidiennes. Évoluant au gré des propositions de l’artiste, l’exposition remettra au centre de ses préoccupations le processus créatif et sa légitimation en tant que tel. S’éloignant du cadre traditionnel d’une monstration plastique et visuelle, l’exposition Les Belles Images donnera lieu à un grand remue-ménage dans les espaces de la MEP. L’exposition réunira un vaste ensemble d’anciennes et de nouvelles pièces spécialement conçues pour l’occasion, telles que « Fail Anthology », « Extreme Retouch » ou encore « Chemical Room », une installation immersive pensée comme une exploration du support photographique. Le parcours, étendu sur les deux étages des Galeries, présentera entre autres « Les Belles Images », série éponyme, dans laquelle l’artiste réinvestit des photographies provenant d’agences de presse, mais également les séries majeures « Extreme Tourism », « Gone Fishing », ou d’autres, comme « Illustrated People ». Enfin, la série « Life and Adventures of a Silver Woman on Planet Earth » revient sur la vie et l’engagement de Rosemary Jacobs, une militante américaine victime des ravages du nitrate d’argent, qui a utilisé la photographie pour documenter son histoire et dénoncer l’utilisation de ce composé chimique à des fins médicales. Thomas Mailaender est né à Marseille en 1979. Il a étudié aux Arts Décoratifs de Paris puis à la Villa Arson de Nice. Il vit et travaille entre Marseille et Paris et est représenté par la galerie Michael Hoppen à Londres. Connu pour son utilisation d’un large éventail de techniques, il emploie divers matériaux, se réappropriant des images provenant d’Internet ou issues de ses propres archives. Collectionneur obsessionnel et passionné par les installations immersives, Thomas Mailaender met son ingéniosité au service de sa capacité à concevoir des expositions créatives toujours teintées d’humour et d’originalité. Le travail de Thomas Mailaender a été exposé dans de nombreuses institutions françaises et internationales et présenté au sein d’expositions collectives telles que Do Disturb (Palais de Tokyo, Paris, 2017), Iconoclasts: Art Out of the Mainstream (Saatchi Gallery, Londres, 2017-2018), Performing for the Camera (Tate Modern, 2016), From Here On (Rencontres d’Arles, 2011), Back to the Future show (FOAM, Amsterdam, 2018), Don’t! Photography and Art of Mistakes (SFMOMA, 2019) ou encore lors d’une installation déambulatoire de The Fun Archeology (MUCEM, 2021). Sa première rétrospective européenne, The Fun Archive, est organisée au NRW Forum de Düsseldorf en 2017, deux autres expositions personnelles suivront, Ultraviolets à la Chambre, Strasbourg en 2022 puis, Lumière Passion au Centre Photographique Marseille en 2022. Les œuvres de Thomas Mailaender sont conservées dans des institutions du monde entier, notamment au Musée National de l’Histoire de l’Immigration à Paris, au Fonds national d’art contemporain à Paris, au Musée régional d’art contemporain Occitanie / Pyrénées-Méditerranée, Sérignan ou encore au MONA, en Tasmanie. Thomas Mailaender a également publié de nombreux livres d’artistes et a bénéficié de plusieurs résidences, notamment à la Société Française de Photographie (2013), à l’Archive of Modern Conflict (2014), ou encore au LVMH Métiers d’Art (2018). En qualité de curateur, il a signé les expositions Hara Kiri (Rencontres d’Arles 2016) et Photo Pleasure Palace avec Erik Kessels (Unseen, Amsterdam, 2017). En 2015, il a reçu le prix du livre photo de l’année lors de l’édition 2015 des Aperture Foundation PhotoBook Awards. Dates12 Juin 2024 11 h 00 min - 29 Septembre 2024 20 h 00 min(GMT-11:00) LieuLa Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 ParisOther Events La Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 ParisMardi, mercredi et vendredi de 11h à 20h , le Jeudi de 11h à 22h et le week-end de 10h à 20h. Fermeture des caisses 30 minutes avant Fermeture. Entrée : Plein Tarif : 10 € / Tarif Réduit : 6 € La Maison Européenne de la Photographie Get Directions CalendrierGoogleCal La Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris mer12jui(jui 12)11 h 00 mindim14jul(jul 14)20 h 00 minAnne-Lise SeusseLes enfants du palais sous la merLa Maison Européenne de la Photographie, 5/7 Rue de Fourcy 75004 Paris Détail de l'événementDu 12 juin au 14 juillet, le Studio de la MEP, espace dédié à la création émergente, accueille le projet Les enfants du palais sous la mer, de la photographe Détail de l'événement Du 12 juin au 14 juillet, le Studio de la MEP, espace dédié à la création émergente, accueille le projet Les enfants du palais sous la mer, de la photographe et vidéaste Anne-Lisse Seusse. Initiée suite à une invitation de la sociologue et enseignante-chercheuse Amélie Nicoles, ce projet s’intéresse à deux problématiques liées au territoire de la région vendéenne : le devenir d’anciennes colonies de vacances qui en bordaient le littoral et la menace représentée par le réchauffement climatique entrainant la montée des eaux. La photographe et vidéaste Anne-Lise Seusse présente, dans l’espace du Studio, son projet « Les enfants du palais sous la mer », initié suite à l’invitation de la sociologue et enseignante chercheuse Amélie Nicolas à questionner le devenir des anciennes colonies de vacances sur le littoral vendéen, ainsi que les projections de submersion à venir. Anne-Lise Seusse prend comme lieu de recherche Saint-Hilaire-de-Riez, commune vendéenne qui comptait jusque dans les années 1970 plus d’une dizaine de centres de vacances, nés d’une volonté politique d’accueillir les enfants issus de la « banlieue rouge » (villes communistes entourant Paris) après la Seconde Guerre mondiale, et s’intéresse plus particulièrement à l’une de ses colonies, abandonnée en 2018. Travaillant en deux temps, l’artiste réalise de nombreuses recherches qui mêlent la sociologie urbaine, l’histoire et la politique territoriale, mais également des récits intimes via la collecte de cartes postales, de photographies et de lettres. Dans un second temps, elle investit durant la nuit la colonie inhabitée pour en faire son atelier de « plein air ». Illuminant l’espace à l’aide de gélatines colorées, elle livre des images au croisement de la photographie documentaire et de la photographie judiciaire, mais également de l’installation et de la sculpture. « Les enfants du palais sous la mer » donne à voir un dédale d’objets abandonnés de natures variées ; du mobilier mais également des couvertures, des matelas, des jouets et même des chaussures qui semblent saturer l’espace. On ne sait si une catastrophe est imminente ou si elle a déjà eu lieu. Au milieu de ces objets, des traces de vie se lisent par la présence de graffitis qui racontent un autre récit ; celui de ces lieux dépréciés qui deviennent à nouveau désirables. Anne-Lise Seusse nous fait parcourir cette colonie que nous ne saisissons que par fragments, comme dans une sorte de déambulation hallucinée. Clin d’œil au projet photographique « Vandalism » de John Divola qui, entre 1974 et 1975, se rendit dans des maisons délabrées qu’il vandalisa à l’aide de peinture aérosol et d’autres outils avant d’immortaliser ses créations, « Les enfants du palais sous la mer » évoque aussi l’imaginaire dystopique de James Graham Ballard, notamment dans Le Monde englouti, où la civilisation humaine finit irrémédiablement submergée par les eaux. Anne-Lise Seusse Anne-Lise Seusse est née à Lyon en 1980, elle vit et travaille à Paris. Elle a d’abord étudié la philosophie avant de rejoindre l’École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon et s’intéresse aux territoires comme espaces fictionnels et à leur sociologie. Son travail a été exposé dans de nombreux musées et centres d’art, notamment au Creux de l’enfer à Thiers (2008), à l’Institut D’Art Contemporain de Villeurbanne (2011), à La National Gallery de Cape Town (2012), au Palais de Tokyo (2012), au Centre International d’Art et du Paysage de Vassivière (2013), à l’ESA Paris (2014), au MuMa (2017) et au Frac Limousin (2018). Anne-Lise Seusse a travaillé en Afrique du Sud avec le soutien de la Fnagp. Plusieurs de ses photographies et vidéographies ont été acquises par le FRAC Limousin. Le projet « Les enfants du Palais sous la mer » a bénéficié du soutien du CNAP. Dates12 Juin 2024 11 h 00 min - 14 Juillet 2024 20 h 00 min(GMT-11:00) LieuLa Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 ParisOther Events La Maison Européenne de la Photographie5/7 Rue de Fourcy 75004 ParisMardi, mercredi et vendredi de 11h à 20h , le Jeudi de 11h à 22h et le week-end de 10h à 20h. Fermeture des caisses 30 minutes avant Fermeture. Entrée : Plein Tarif : 10 € / Tarif Réduit : 6 € La Maison Européenne de la Photographie Get Directions CalendrierGoogleCal A LIRE 70 ans du Laboratoire Picto : Entretien avec Thomas Mailaender, artiste plasticien Marque-page0
Photo Masterclass Oeildeep : Je n’ai pas traversé la mer par Francesco Calabrese Cette semaine nous poursuivons la restitution de la Masterclass Oeildeep qui s’est achevée en décembre 2024 sous l’égide de Raphaële Bertho, Bruno ...
L'Edition « 13 fois Jackie » par les éditrices Soraya Hocine & Sandy Berthomieu (Éditions de l’Épair) Tout au long du mois de mars, à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, nous partagerons avec vous une ...
L'Invité·e Carte blanche à Valérie-Anne Giscard d’Estaing : Mobiliser les femmes d’affaires pour soutenir les femmes artistes Pour sa quatrième et dernière carte blanche, notre invitée de la semaine, la fondatrice et directrice de la Galerie XII, Valérie-Anne Giscard d’Estaing souhaite ...
Evénements Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture !
Le bruissement entre les murs de Clara Chichin et Sabatina Leccia par Céline Pévrier (sun/sun éditions)
Carte blanche à Valérie-Anne Giscard d’Estaing : Mobiliser les femmes d’affaires pour soutenir les femmes artistes 5 heures ago
Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 mars 2025
Interview Clothilde Morette, directrice artistique de la MEP : « Remettre au centre de l’histoire de l’art et de la photographie certains artistes invisibilisés » 4 jours ago
Interview Guillaume Piens, Art Paris 2025 de retour au Grand Palais : inclusivité et ouverture ! 6 mars 2025
« 13 fois Jackie » par les éditrices Soraya Hocine & Sandy Berthomieu (Éditions de l’Épair) 5 heures ago
Le bruissement entre les murs de Clara Chichin et Sabatina Leccia par Céline Pévrier (sun/sun éditions) 2 jours ago
Cyrielle Lévêque. Les Joueurs par les éditrices Soraya Hocine & Sandy Berthomieu (Éditions de l’Épair) 7 mars 2025
Dernier chapitre d’une trilogie familiale, le photographe Pierre-Elie de Pibrac en Israël (Episode 5) 4 mars 2025
Nouvelle Saison au Palais de Tokyo : Radioscopie de la joie collective, Raphaël Barontini… 1 jour ago
Un nouveau chapitre pour le Centre d’Art Contemporain, Genève : Interview Andrea Bellini, directeur 3 jours ago
Carte blanche à Valérie-Anne Giscard d’Estaing : Mobiliser les femmes d’affaires pour soutenir les femmes artistes