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L'Invité·e Salomé d’Ornano, directrice de la Fisheye Gallery est notre invitée La Rédaction27 novembre 2023 Partager Partager Temps de lecture estimé : 3minsPortrait d’enfance de Salomé d’Ornano Cette semaine, dans notre rubrique L’Invité·e, nous accueillons la directrice de la Fisheye galerie, Salomé d’Ornano. À la tête de la galerie depuis 2021, Salomé poursuit la volonté de la galerie de conserver son rôle de défricheur de nouvelles écritures photographiques. Actuellement et jusqu’au 6 janvier, on peut (re)découvrir l’exposition « The Pigment Change » de l’artiste espagnole Almudena Romero, un travail qui explore nos relations à la nature mais également le rôle de l’artiste dans le contexte de la crise climatique actuelle. Née en 1994, Salomé d’Ornano étudie l’Histoire de l’Art et Archéologie à la Sorbonne en licence où elle se passionne pour l’art préislamique et islamique. Pendant son cursus elle réalise un échange à l’université de Warwick qui lui ouvre les portes de l’histoire de la photographie. Elle ponctue ses études par de longs voyages en Inde, Iran, UAE, Asie, Australie etc. et obtient un master en étude de la culture puis en Photographie à Paris 8. Elle part travailler et vivre à Beyrouth au Liban, mais suite à la crise économique et le Covid, elle rentre à Paris où elle débute sa carrière en tant qu’assistante de galerie à la Fisheye Gallery en 2021. Elle en devient la directrice la même année. Depuis quelques temps, elle se passionne pour l’art du vivant et engagé et souhaite en faire un fil rouge dans les années à suivre. https://fisheyegallery.fr/ Le portrait chinois de Salomé d’Ornano Si j’étais une œuvre d’art : Une œuvre du mouvement ‘Geometry of Fear’ et très probablement ‘People in the Wind’ de Kenneth Armitage 1950. Si j’étais un musée ou une galerie : Dalloul Art Foundation à Beyrouth, qui rassemble la collection la plus intéressante (ou peut être la seule ?) d’art moderne des artistes du monde arabe + diaspora. Si j’étais un·e artiste (tous domaines confondus): Louise Bourgeois. Si j’étais un livre : « La moustache » d’Emmanuel Carrère. Si j’étais un film : « Jules et Jim » de Truffaut, un grand classique et pour tout l’amour que je porte pour cette merveilleuse actrice qui est Jeanne Moreau. Si j’étais un morceau de musique : un morceau de l’album ‘Birds on a wire’ de Rosemary Standley et Dom La Nena. Si j’étais un photo accrochée sur un mur : un anthotype. Si j’étais une citation : Je ne connais pas vraiment de citation, c’est toujours quelques choses que mes professeurs, ou parents ont dit. Sans jamais que je comprenne vraiment le sens… Si j’étais un sentiment : la joie. Si j’étais un objet : mon vélo. Si j’étais une expo : « the pigment Change » d’Almudena Romero à voir à la galerie Fisheye jusqu’au 6 janvier. Si j’étais un lieu d’inspiration : Le parc ornithologique du Marquenterre en baie de Somme. Si j’étais un breuvage : café. Si j’étais un vêtement : surtout pas des baskets, j’ai horreur des baskets. CARTES BLANCHES DE NOTRE INVITÉE • Carte blanche à Salomé d’Ornano : hommage aux femmes iraniennes (mardi 28 novembre 2023) • Carte blanche à Salomé d’Ornano : Férale – Réensauvager l’art pour mieux cultiver la terre (mercredi 29 novembre 2023) • Carte blanche à Salomé d’Ornano : Nouvelle génération d’artistes engagées pour l’écologie – Laure Winants (jeudi 30 novembre 2023) • Carte blanche à Salomé d’Ornano : Almudena Romero « the Pigment Change » (vendredi 1 décembre 2023) INFORMATIONS PRATIQUES Fisheye Gallery2, rue de l’Hôpital-Saint-Louis 75010 Paris ven03nov(nov 3)14 h 00 min2024sam20jan(jan 20)19 h 00 minAlmudena RomeroThe Pigment ChangeFisheye Gallery, 2, rue de l’Hôpital-Saint-Louis 75010 Paris Détail de l'événementÀ l’occasion de la sortie de son second livre The Pigment Change, édité par Fisheye Editions. la Fisheye Gallery est heureuse de présenter le travail de l’artiste espagnole Almudena Romero. L’exposition Détail de l'événement À l’occasion de la sortie de son second livre The Pigment Change, édité par Fisheye Editions. la Fisheye Gallery est heureuse de présenter le travail de l’artiste espagnole Almudena Romero. L’exposition The Pigment Change vise a présenter les chapitres qui structurent ce grand projet: The Act of Producing (I), Family Album (II) et Faire une photographie (IV). Fruits d’expériences lumineuses, chaque série explore nos relations à la nature mais également le rôle de l’artiste dans le contexte de la crise climatique actuelle. Pour son projet photographique et de recherche Almudena Romero invente de nouvelles techniques écologiques. Afin d’obtenir des images, elle expose des végétaux à des quantités spécifiques de lumière et des longueurs d’onde particulières (grâce aux procédés de photopériodisme, de photoblanchiment et de la photosynthèse). Ainsi, elle forme une œuvre littéralement vivante, mais aussi éphémère. En résultent des images absolument uniques qui mettent à mal les conceptions traditionnelles de la photographie – in fine vouées à la disparition, car très polluantes. « Je n’utilise pas la photographie pour documenter les faits. Il ne s’agit pas de faire une photo, mais de la cultiver. La photo est vivante ! », explique Almudena Romero. Pour le premier chapitre de The Pigment Change, appelé The Act of Producing (I), l’artiste a par exemple identifié plus d’une trentaine d’espèces végétal du jardin de sa grand-mère pouvant être utilisées pour créer des oeuvres photographiques. En exploitant simplement l’action blanchissante du soleil sur les pigments chlorophylliens des feuilles, Almudena Romero imprime des photographies de ses mains dans une mise en abyme de l’acte photographique, révélant notre interdépendance avec les plantes. Si les oeuvres issues de The Act of Producing sont figées, l’image éphémère prend une part très importante dans le projet The Pigment Change. Partant de ce paradoxe entre l’éphémère illimité et l’archivage limité, les impressions de cresson vivant de Family Album (II), basées sur la photosynthèse, amènent une réflexion sur les notions de filiation, de documentation, de continuité, de propriété, d’héritage et de patrimoine. Vit et travaille entre Londres et Valence. Almudena Romero (née à Madrid en 1986) est une artiste visuelle basée à Londres qui travaille avec un large éventail de procédés photographiques. Sa pratique fait appel à des procédés photographiques pour proposer une réflexion sur des questions d’identité, de représentation et d’idéologie. Elle promeut une approche élargie de la photographie, au-delà de l’analogique ou du numérique, où la photographie est un processus, plutôt qu’une fin, qui existe sous une pluralité de formes et de matériaux. Son travail explore le rôle d’une artiste dans la crise environnementale actuelle ainsi que notre relation à la nature. Elle utilise des processus photographiques naturellement présents dans les plantes et la matière organique, tels que la photopériodicité, le photoblanchiment et la photosynthèse. Elle développe ainsi une réflexion scientifique, artistique, philosophique et intime sur la production, la reproduction et la durabilité. Son travail a été exposé dans des institutions publiques internationales, notamment le Victoria and Albert Museum (Royaume-Uni), la National Portrait Gallery (Royaume-Uni), la TATE Modern-TATE Exchange (Royaume-Uni), la Photographers’ Gallery (Royaume-Uni), le Tsinghua Art Museum (CH), Le Cent-Quatre Paris (FR), University of the Arts London (UK) et des festivals de photographie internationaux tels que Unseen Amsterdam (NL), Les Rencontres d’Arles (FR), Paris Photo 2021 (FR), PhotoLondon 2021 (Royaume- Uni), Circulations (FR), Belfast Photo Festival (Royaume-Uni) et Brighton Photo Biennale (Royaume-Uni). Dates3 Novembre 2023 14 h 00 min - 20 Janvier 2024 19 h 00 min(GMT-11:00) LieuFisheye Gallery2, rue de l’Hôpital-Saint-Louis 75010 ParisOther Events Fisheye Gallery Get Directions CalendrierGoogleCal Marque-page0
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